Le manuel du maître - Cerbere.org

terrestres, maritimes et aériens.
Véhicules terrestres :
1 Les tonneaux arrivent quand le véhicule vire
à 90° et se met à rouler sur lui même dans la
direction où il allait. Les dommages sont de 22 à
tout le véhicule à chaque round de tonneau ainsi
qu’à ses occupants s’ils ne sont pas attachés. S’ils
sont attachés, ils subissent la moitié des dégâts.
Le véhicule ralentit de 100km/h par round et est
incontrôlable. Lorsqu’il s’arrête, il a une chance
sur 2 de retomber sur les roues, ce qui permet de
repartir s’il le peut encore.
2 Le véhicule saute d’1d10/2 mètres et s’écrase
contre un côté aléatoire (devant, derrière,
droite, gauche, dessus, dessous). Il se prend
automatiquement une blessure mort sur ce côté.
Véhicules maritimes :
1 Lorsqu’il y a une inondation mineure, il y a une
chance sur cinq que le bateau coule, à moins de
trouver un moyen de vite trouver un moyen de
retirer l’eau.
2 Lorsqu’il y a une inondation majeure, il y a une
chance sur trois que le bateau coule, impossible
de l’éviter. Toute personne se trouvant sur le pont
doit faire un jet de dextérité contre un FD égal à
la marge d’échec ou tomber à la mer.
Véhicules aériens :
1 Lorsque le véhicule part en vrille, il chute à
vitesse de 900 à 1000km/h (environs 250 à 275m
par seconde). Les ailes ou les hélices se prennent
un score de dommage de 20 à chaque rounds. Le
pilote doit faire un jet de conduite FD13 tout les
rounds pour rattraper l’appareil.
2 Une aile se casse (pour un avion), le rotor tombe
en panne (pour un hélicoptère. Impossible de
rattraper le véhicule, il tombe comme une
pierre.
Il faut faire attention au fait que si le véhicule
descend en dessous de sa vitesse limite il peut
décrocher et commencer à chuter, voir partir en
vrille. Lorsqu’un véhicule chute par décrochage,
un jet de conduite FD10 tous les rounds permet
de le rattraper.
Les collisions
Pour qu’il y aie collision, il faut que 2 objets se
percutent et donc qu’au moins un des 2 objets soit
en mouvement. Il y a différent types de collisions :
Collision frontale : 2 véhicules entre en contact
alors qu’ils se dirigeaient l’un vers l’autre.
L’avant des 2 véhicules se prend comme score de
dommage, le total des dizaines de la vitesse des 2
véhicules X2. Sauf si l’une des 2 roulait à reculons
auquel cas elle se prendra les dommages sur
l’arrière. Exemple : Voiture A percute voiture
B, voiture A roule à 70km/h, voiture B roule à
90km/h. (7+9)X2 = 32 points de dommages à
l’avant des 2 voitures, aïe !
Collision tête à cul : Un véhicule plus rapide
rentre dans l’arrière d’un véhicule plus lent. Le
véhicule plus lent se prend des dommages à
l’arrière et le plus rapide, à l’avant. On les calcule
en soustrayant les dizaines du véhicule le plus
lent aux dizaines du véhicule le plus rapide X2.
De plus, le véhicule le plus lent verra sa vitesse
augmentée de la moitié de l’écart de vitesse par
rapport véhicule le plus rapide et il devra faire
un jet de conduite contre un FD lut sur la table
des excès de vitesse. Exemple : Voiture A fonce
dans l’arrière de voiture B en ville. Voiture A
roule à 100km/h et voiture B à 60km/h. (10-6) X2
= 8 points de dommages, l’arrière est amoché
mais rien de grave. Cependant le conducteur de
voiture B voit sa vitesse passer à 80km/h (40km/h
de différence divisé par 2) et doit faire un jet de
conduite FD8 (conduite en ville).
Collision en T : Un véhicule fonce dans le côté
d’un autre. Le véhicule harponné se prend des
dommages sur le côté et l’autre à l’avant. Les
dommages sont égaux aux dizaines de sa vitesse
X2. Le conducteur du véhicule harponné doit
117