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On pourrait encore allonger cette liste, mais il reste que<br />

généralement, on s'accorde pour reconnaître quatre<br />

principales sources de pouvoir 2<br />

:<br />

• l'expertise ou <strong>la</strong> possession d'une compétence parti­<br />

culière (peut varier, des compétences intellectuelles à<br />

<strong>la</strong> force physique, selon le système ou le milieu où on<br />

se trouve);<br />

• <strong>la</strong> maîtrise des re<strong>la</strong>tions entre l'organisation et son<br />

environnement (celles des gens ou des groupes les<br />

mieux p<strong>la</strong>cés pour saisir ou créer des liens entre les<br />

divers facteurs qui ont de l'influence sur une société);<br />

• <strong>la</strong> maîtrise de l'information ;<br />

• <strong>la</strong> fonction occupée dans un système donné.<br />

CES SOURCES DE POUVOIR DONNENT À DES INDIVIDUS (OU À DES GROUPES DE PERSONNES, LE CAS ÉCHÉANT)<br />

LA CLÉ DES DIVERSES POSSIBILITÉS DE RÉALISER DES CHOSES. CES CLÉS PEUVENT SOIT ÊTRE UTILISÉES DE FAÇON<br />

DISCRÉTIONNAIRE, SOIT ÊTRE ACCEPTÉES OU NÉGOCIÉES AVEC LES AUTRES. CHAQUE ORGANISATION (GROUPES<br />

POPULAIRES Y INCLUS) POSSÈDE SA PROPRE CULTURE ORGANISATIONNELLE, C'EST-À-DIRE SA PROPRE STRUCTURE<br />

DE POUVOIR, SON PROPRE MODÈLE DE RAPPORTS ENTRE LES PERSONNES ET LES GROUPES QUI LA COMPOSENT.<br />

2 CROZIER ET FRIEDBERG, opus Cité, p. 71-77.

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