04 67 79 15 42 2012-2013 SEMEST - University of Minnesota

MERTON Robert K., Éléments de théorie et de méthode sociologique, trad. Henri Mendras, Paris, Armand Colin, 1997 (éd.
orig. 1953).
NISBET Robert A., La Tradition sociologique, trad. Martine Azuelos, Paris, PUF, 2005 (éd. orig. 1993).
Cours de M. RAMOS :
DE TERSSAC Gilbert & TREMBLAY Diane-Gabrielle. Où va le temps de travail ? Octarès, 2000.
ELIAS Norbert . Du Temps. Fayard, 1996.
MERCURE Daniel. Les Temporalités sociales. L’Harmattan, 1995.
PRONOVOST Gilles. Sociologie du temps. De Boeck, 1996.
RAMOS J-M. (2006). Les propriétés sociologiques des représentations temporelles. In J. Thoemmes et G. de Terssac (Eds), Les
temporalités sociales : repères méthodologiques. Toulouse, Octarès Éditions, 175-187.
ZAWADZKI Paul. Malaise dans la temporalité. Publications de la Sorbonne, 2002.
Sur Internet : les articles de la revue Temporalités : http://temporalites.revues.org/
Mercredi 16h15-19h15 Amphi F J.B. Renard/ J.M Ramos
E41SO3 Sociologie contemporaine (39h) – 3 c
- Le cours porte dans un premier temps sur l’approche freudo-marxiste (Reich, Marcuse) de la société.
- Pour s’attacher ensuite à la théorie culturaliste du social.
- Les approches interactives du social sont évoquées à partir des recherches développées par George-Herbert Mead, Alfred
Schütz, Howard Becker et Erving Goffman. L’ethnométhodologie est également abordée(Harold Garfinkel).
- Par ailleurs, l’individualisme méthodologique (Raymond Boudon) est l’objet d’une étude.
- L’analyse sartrienne du social conjuguant histoire et individualité est présentée.
- Enfin, l’interrogation portant sur la relation entre « identité » et « organisation » sera menée à partirdes recherches de R.
Sainsaulieu.
BIBLIOGRAPHIE
Première partie du cours :
Blin (Thierry) – 2010, Requiem pour une phénoménologie. Sur Alfred Schütz, Merleau-Ponty et quelques autres, Paris, Editions
du Félin, collection « Poche ».
Châtelet, Duhamel, Pisier-Kouchner – 1982 Histoire des idées politiques, Paris, PUF.
Durand (Jean-Pierre), Weil (Robert) – 1989, Sociologie contemporaine, Paris, Vigot.
Lallement (Michel) – 1993, Histoire des idées sociologiques, tome 2, Paris, Nathan.
Schütz (Alfred) – 2007, Essais sur le monde ordinaire, Paris, Editions du Félin, collection « Poche ».
Valade (Bernard) – 1996, Introduction aux sciences sociales, Paris, PUF.
Mardi 13h15-16h15 Amphi F T. Blin
LICENCE 3
E61SO3 – 9c
Mythologies contemporaines (39h
§ Rumeurs et légendes urbaines.
§ Expression de la pensée sociale et de l’imaginaire collectif.
§ Rupture et continuité avec le folklore narratif traditionnel.
BIBLIOGRAPHIE :
CAMPION-VINCENT Véronique et RENARD Jean-Bruno, Légendes urbaines. Rumeurs d1aujourd1hui, Paris,Payot, coll. "
Petite Bibliothèque Payot " n° 338, 2002 (1ère éd. 1992), 436 p.
CAMPION-VINCENT Véronique et RENARD Jean-Bruno, De source sûre. Nouvelles rumeurs d'aujourd'hui,Paris, Payot, coll.
"Petite Bibliothèque Payot" n° 570, 2005 (1ère éd. 2002), 490 p.
KAPFERER Jean-Noël, Rumeurs. Le plus vieux média du monde, Paris, Éditions du Seuil, coll. " Points Actuels" n° 92, 1990
(1ère éd. 1987), 339 p.
MORIN Edgar et alii, La Rumeur d1Orléans, Paris, Éditions du Seuil, coll " Points " n° 143, 1982 (1ère éd.1969), 256 p.
RENARD Jean-Bruno, Rumeurs et légendes urbaines, Paris, PUF, coll. " Que sais-je ? " n° 3445, 2002 (1ère éd.1999), 128 p.
ROUQUETTE Michel-Louis, Les Rumeurs, Paris, PUF, coll. " Le Sociologue " n° 40, 1975, 128 p.
Examen : écrit en fin de semestre (disseration sur un sujet de cours et sur la bibliographie).
Vendredi 9h15-12h15 C121 JB Renard
Sociologie des médias (39h) – 3 c
Les médias connaissent depuis plusieurs décennies une lente dégradation de leur image et de leur crédit. Presse écrite, radio,
télévision semblent désormais associés dans l’imaginaire collectif, et qualifiés – souvent par les jeunes – d’instruments de
domination, de propagande et de manipulation. Les différents supports d’information sont pourtant à apprécier de manière plus
subtile. Si les médias audiovisuels – principalement la télévision – ont longtemps vécu sous le contrôle effectif ou implicite du
pouvoir politique, la presse écrite, puis un large spectre de radios et enfin certaines chaînes de TV appartiennent désormais à des
intérêts bien distincts.
Au point qu’il faut sans doute rechercher aujourd’hui une éventuelle dépendance des médias et de ceux qui les font, c’est-à-dire
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