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Orientation 3 : Soutenir le développement de filières non-alimentaires Fiche action n°3 (3.3.3) Action n°3 Développer les débouchés des filières no n-alimentaires Descriptif de l'action Soutenir le développement de réseaux de chaleur (chaufferies biomasse par exemple) sur dans les exploitations agricoles et dans les établissements publics et collectivités Communiquer et former sur l’utilisation des agromatériaux dans la construction, en particulier dans la construction publique et sur l’ensemble du marché en impliquant les prescripteurs maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre que sont les aménageurs, les collectivités, les maîtres d’ouvrage de logement social pour la construction neuve, et en démarchant aussi le marché de la réhabilitation (la maison individuelle, le bâti collectif et certains créneaux particulièrement fléchés comme le patrimoine ancien), et dans l’entretien des espaces verts Pilote(s) Principaux partenaires DRIAAF DRIEA DRIEE DDT Chambres d’agriculture Coopératives EPLEFPA Conseil régional Agroparistech ADEME Pôle de recherche, clusters VIVEA et FAFSEA peuvent proposer des formations courtes sur ce sujet ANAH Collectivités locales Professionnels de la construction, architectes, chambre des métiers, chambre de commerce SRCAE Politiques publiques sur Politiques des collectivités : CR, CG, EPCI, PCET lesquelles s’appuyer Pour la filière bois : lien avec le Plan pluriannuel régional de développement forestier (PPDRF) Dispositifs mobilisables Loi sur le Grand Paris Contrat de développement territorial Plan de performance énergétique Calendrier de mise en oeuvre Conditions de réussite Indicateurs de suivi et de résultat 139
Enjeu 4 : Faciliter l’adaptation de l’agriculture francilienne et accompagner ses évolutions Orientation 1 - Adapter les formations initiales et continues à l’évolution des besoins de compétences pour les chefs d’entreprise et les salariés des filières agricoles et alimentaires Rappel de l’analyse atouts / contraintes / menaces / opportunités Les exploitants agricoles franciliens sont de mieux en mieux formés, utilisent des technologies de pointe, et sont en capacité de maîtriser le progrès technique, d’anticiper et de s’adapter. En outre, l’Ile-de-France compte de nombreux établissements de formation initiale et continue : Les formations initiales de l’enseignement agricole (secondaire et supérieur) attirent des élèves et étudiants de toute la France, voire même de toutes les nationalités pour l’enseignement supérieur ; les formations continues qui permettent l’acquisition constante de nouvelles compétences. De plus, le contenu des formations initiales de l’enseignement agricole est adaptable (rénovation fréquente des référentiels de formation prenant en compte les évolutions technico-économiques et les attentes des professionnels). Toutes les voies de formation du champ alimentaire sont possibles, pour tout niveau de qualification et de diplômes, et l’Ile-de-France compte un CFA « sans murs », l’IFRIA ; des formations continues (OPCALIM) qui permettent l’acquisition constante de nouvelles compétences et l’adaptation à de nouveaux métiers. Un manque de formations dédiées à l’encadrement intermédiaire a cependant été relevé. Explication de l’orientation 1 : adapter les formations initiales et continues à l’évolution des besoins de compétences pour les chefs d’entreprise et les salariés des filières agricoles et alimentaires L’évolution des métiers de chef d’entreprise et de salariés dans les filières agricoles et alimentaires vont induire des besoins de nouvelles compétences, auxquelles les formations devront pouvoir répondre. Fiches actions : 1. Proposer des formations spécifiques pour accompagner l’installation 2. Accompagner l’évolution des compétences des chefs d’exploitations agricoles dans leurs projets et dans la mise en œuvre de nouvelles techniques 3. Accompagner la formation des salariés agricoles 4. Faire connaître les formations existantes pour les chefs d’entreprise et les salariés des IAA 140
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Plan régional de l’agriculture d
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Sommaire A) DIAGNOSTIC I- L’Ile-d
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Introduction Dans les prochaines d
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5. Quels modèles alimentaires faut
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I- L’Ile-de-France et son agricul
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Quatre niveaux d’influence urbain
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