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IV.2- Les structures des exploitations agricoles
Entre les deux recensements agricoles de 2000 et de 2010, l’Ile-de-France a perdu plus d’une exploitation sur cinq
; 5 000 exploitations en 2010 contre 6 500 en 2000. Cette réduction est plus marquée à l’ouest qu’à l’est de la
région. Les exploitations voient leur taille et leur potentiel de production augmenter.
Par ailleurs, les exploitations se spécialisent. Il a été noté :
Un accroissement du nombre d’exploitations céréalières de plus de 200 ha
Le maintien des plus importantes exploitations horticoles- maraîchères dont les exploitations
vendant en circuit court,
Une forte régression des exploitations mixtes ou de petite taille
La superficie moyenne des exploitations franciliennes est passée de 89 ha à 112 ha entre 2000 et 2010 : soit une
augmentation de 26% (de 42 ha à 55 ha, soit + 31% au niveau national) (cf. figure 13).
Figure 18 : Répartition du nombre d’exploitations en fonction de la SAU (source : premiers résultats du
recensement agricole 2010)
Le nombre d’exploitations franciliennes a connu une baisse de 26% entre 2000 et 2010 (cf. figure 19). Cette baisse
du nombre d’exploitations est plus marquée parmi les moyennes et les petites exploitations franciliennes. Le
potentiel de production moyen par exploitation est de 160 000 euros, chiffre en hausse de plus d’un tiers en dix
ans.
Figure 19: Evolution du nombre d’exploitations entre 2000 et 2010 en Ile-de-France (source : premiers résultats
du recensement agricole 2010)
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