1 - base TEMIS

) Les relations de ces populations avec l'ensemble de la ville
On se contentera de rappeler ici les principales difficultés rencontrées
dans l'application de la loi, qui tiennent particulièrement au facteur
humain ou contribuent à l'affecter. Ces points font l'objet de développements
plus approfondis dans les autres chapitres.
. - Très souvent, l§s_çoncentratigns_d^habitat_insalubre_génèrent_]eur
B!22BC§ïl§Ë*liyÛïl2C2BEiIIiçilïltiI"d T B!22BC§_ïl§-Ë_liyÛïl2C2BEiIIiçilïliI ûni"mânïèri~reïâtîvimint"~
aûtonômë~pâr~fâppôrt âû rèitë~dë~ï 7 âgglomération. Ainsi en est-il,
par exemple, du développement de commerces spécifiques. Ces manifestations
constituent des éléments_de_rigidité_su2glémentaire_dans
î2y$ê_§Ç5i2!]_^§_ï!§§2!2Bîi2Q_^bIbllit"însâïubre~et"pôsent~dës "problèmes
âccrùi~di~rêcônvërITôn7
Les caractéristiques particulières de ces populations déterminent
l'importance et la nature des_efforts_d^ençadrement_soçio;éduçatifs qu'il
est jugé nécessaire de conduire avant, pendant et après toute action
de résorption d'habitat insalubre. Or K|ipByls|on_donnée_2ar_]a_]çi
î i f f l i
Cas n° 4 7 - Sur ce plan, on peut citer le cas de Marseille où les
responsables présentent le problème de l'action socioéducative
en ces termes :
, 10 % environ des familles ne posent pas de véritables
problèmes de reconversion et peuvent être directement
relogées dans des logements sociaux ;
. de l'ordre de 60 à 65 % de ces familles peuvent être
"reconditionnées" à un logement social dans un laps de
temps de 1 'ordre de S mois à 2 ans ;
46.
. le restet 25 à 30 %, est constitué par des familles
"dont on ignore si l'évolution est possible".
P.§r.t_!_égui
vTTÏëT
Du moins en est-il ainsi lorsqu'il s'agit vraiment de Résorption de
l'habitat insalubre et non de simple transfert d'habitat insalubre.
Ce point fait ressortir qu'il n'est pas sain de concevoir l'action de
Résorption de 1'habitat insalubre d'une manière ponctuelle et isolée,
indépendamment de l'ensemble de l'environnement. Sur ce plan, il faut
reconnaître que la loi présente une dimension plus "construction"
qu'urbanisme". Par exemple, dans ce contexte, les terrains libérés
présentent des problèmes d'utilisation dans la mesure où le bilan des
opérations n'inclut pas la réalisation d'équipements.