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1 - base TEMIS

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Cette forme d'animation n'est actuellement pas prévue par la loi Vivien,<br />

en particulier dans la mesure où il n'existe aucune ligne dans le bilan<br />

des opérations prévues à cet effet. Ceci semble être une lacune importante<br />

qui pourrait éventuellement être comblée et trouver des solutions dans<br />

l'avenir.<br />

2ême niveau : Animation du relogement.<br />

Cette animation est complémentaire à la précédente et vise à favoriser<br />

le relogement en intervenant :<br />

- auprès des familles pour les aider à choisir un logement équitable et<br />

adapté, à saisir les opportunités, à suivre de façon attentive le déroulement<br />

administratif des opérations de. relogement en leur apportant<br />

1'aide nécessaire ;<br />

- auprès des décideurs locaux pour favoriser l'adéquation entre "l'offre<br />

et la demande".<br />

Cette animation est actuellement prise en charge par des assistantes sociales<br />

mais pourrait être développée avec des moyens plus importants. Malheureusement<br />

cette action socio-éducative n'est, comme dans le cas précédent, pas encore<br />

prévue dans le bilan des opérations.<br />

3ème niveau : Animation après relogement.<br />

C'est à ce niveau qu'il existe le plus de réalisations concrètes dans le<br />

domaine de l'action socio-éducative. Pour l'essentiel, il s'agit d'animation<br />

en cités.<br />

Il faut distinguer deux cas, correspondant chacun â deux types de problèmes<br />

différents et ainsi qu'à deux sources de financement :<br />

]§r_ǧ§ : ]§§_Çlt§§_ d . e _B r .9 m .2£l9 n ._l§Qt§ s .» qui sont réservées aux familles<br />

ïôûrdii. IÏ"iëmbïë"d T âprès~ïis"fispônsables, que ce soit dans ces familles<br />

que l'on rencontre le plus de cas sociaux, car elles renferment un très<br />

fort pourcentage de cas dits asociaux. Cette action nécessite des moyens<br />

très importants car elle exige un encadrement permanent, nombreux et très<br />

spécialisé (éducateurs, psychiatres, médecins, psychologues, etc ...).<br />

Les fonds nécessaires à ces actions proviennent des C.A.F. et le budget<br />

moyen par famille varie dé 2.000 à 5.000 francs (Troyes et Sens). Il existe<br />

actuellement 200 familles qui sont réellement prises en charge par cette<br />

action,(cf. cas n° 16).<br />

66.

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