1 - base TEMIS

A ce propos, il convient d'ajouter un point particulier : les crédits
P.R.I. et 65/30 sont connus des responsables locaux visités ; leur
localisation est bien située au niveau central et le pouvoir de décision
quant à leur mise en oeuvre est précisément personnalisé sous le nom des
responsables principaux du G.I.P. Cette situation semble devoir s'expliquer
en partie par le caractère particulier de l'échantillon qui regroupe
des opérations de résorption d'habitat insalubre importantes ayant
mobilisé attention et intervention spécifique dès le départ des responsables
nationaux.
Cette réserve étant faite, il apparaît que les responsables locaux, dans
leur ensemble, connaissent les diverses sources possibles de financement
et n'hésitent pas à les mobiliser. Ce n'est qu'au niveau de leur domaine
d'application que les points de vue et les attitudes divergent.
2. Quelques problèmes posés par le financement de la résorption de l'habitat
insalubre.
Remarque :
r
Ces problèmes font actuellement l'objet d'un examen approfondi dans
les milieux officiels, ce qui pourrait déboucher, à plus ou moins brève
échéance, sur des transformations sensibles du système présent. La
nécessité de terminer ce rapport dans les délais impartis ne permet
malheureusement pas de tenir compte de ces changements éventuels. Cette
contrainte doit être présente à l'esprit dans la lecture de ce chapitre
qui ne peut qu'être partiel et provisoire.
a) Les circuits du financement et les procédures qui les concernent ne
sont ressenties comme véritablement compliquées que par les responsables
nationaux. Au demeurant, ceci s'explique assez aisément, s'agissant
de crédits non déconcentrés de catégorie I, pour lesquels les
prises de décision relèvent du plan national. Rappelons d'ailleurs les
grandes étapes de ce mécanisme :
76.