françois-pierre goy les sources manuscrites de la musique pour luth ...

f. 0v : Cantus et f. : Tenor sur la Vallette, cf. R. Ballard CLF II,
p. - (et n° 283) ; Ballets : f. 0v : Ball[et]:, cf. R. Ballard CLF
I, p. - (Premier Chant des Entrées de luths du Ballet de la Reine) ;
f. v: Ball[et]:, cf. R. Ballard CLF II, p. (Ballet de Monseigneur
le Dauphin, 0) ; f. v : Ballet, cf. BALLARD (Pierre) (éd.). Airs a
quatre de differens auteurs, Paris, , f. v : [Gabriel] BATAILLE /
Ma bergere Non legere ; f. v- : cf. R. Ballard CLF I, p. (Second
chant des Entrées de luths du Ballet de la Reine) ; f. v : Cantus et
: Tenor, cf. Vallet CLF n° II, 0 (La Bourrée).
( ) À la suite de cette pièce, une Courante de Pinel en "nouvel accord ordinaire"
et le diagramme d'accord qui la suit reprennent cette notation,
mais paraissent avoir été notés bien plus tard.
( 0) Cet accord, employé à partir des années 0 comme le pendant par Bécarre
du "nouvel accord ordinaire", lui est en fait bien antérieur. Il
est déjà utilisé vers par Joachim van den Hove, pour un luth à sept
chœurs (D-Bds Mus. ms. autogr. Hove , f. v- : quatre pièces, dont
trois signées Joachim Vanden Hove). La Cour: ( 0-Swan, f. v) apparaît
dans une version pour mandore dans D-Us Ms. Smr Misc. b ( ), f.
[ v- ], et GB-Lbl Sloane 0 contient, outre plusieurs pièces en accord
Radke 0, un Brãsle en accord Radke (f. v), qui doit également
remonter aux alentours de 0.
( ) Accord ré sol si ré sol si . L'Allemande (f. 0) est de Simon Ives :
VdGS Ives 0. Egalement intitulée Queen's Masque, cette pièce, qui se
trouve déjà dans GB-Lbl Add. ms. 0 ( ), doit donc dater du règne
de Charles er, donc d'avant , et certainement même d'avant la guerre
civile. Les deux autres pièces sont des adaptations de Courantes pour
luth : f. : auf der Viol = 0-Rettenwert, f. ; f. v- : Auf der
Viol = 0-Swan, f. - v.
( ) La mélodie de ce Ballet (f. v- 0) est connue aux Pays-Bas sous le nom
de Kits Almande (cf. Starter , p. ).
( ) Accord : ré la ré fa la ré . Le baryton de A devait comporter en outre
dix-huit cordes de basse pincées à vide, accordées chromatiquement de
ré à la - , et notées sous la portée par des chiffres de à , parfois
accompagnées d'un dièse. Ces pièces pour baryton, qui paraissent être
avec celle de Ives déjà citée les seules du manuscrit à ne pas avoir été
transcrites d'après la tablature de luth, sont annoncées par la mention
Auf der Viol, comme celles citées n. , qui ne faisaient pas usage des
cordes pincées.
( ) Elles sont encore une fois signalées par Auf der Viol. Accord : fa si
b ré fa si b ré . Pour trois des pièces ([Allemande], f. v, Aria,
f. et Jesu, mein Geistes heil, f. ), le rythme est noté comme dans
la tablature allemande de clavier, avec un signe au-dessus de chaque
lettre et les valeurs brèves groupées par deux ou quatre (la première et
la troisième sont notées aux f. 0 et 00v en tablature de clavier, la
seconde en tablature de luth au f. ). Une quatrième pièce, déjà notée
pour luth ou baryton (f. v ), a été rajoutée au bas des deux pages.
( ) Le baryton est accordé ici fa # si ré fa # si ré ou fa si b mi b
sol si b ré selon l'accord du luth.
( ) F. : Allem: = D-DS Mus. Ms. , f. v- : Allemande Gumprecht ; f.
v : Sarab. de Gumprecht.
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