classification internationale des handicaps et santé mentale - ctnerhi
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Activités de communication<br />
a 250<br />
a 255<br />
a 259<br />
a 298<br />
a 299<br />
Activités de conversation<br />
Activités d’utiliser les appareils<br />
<strong>et</strong> les techniques de<br />
conversation<br />
Autres activités précisées <strong>et</strong><br />
non précisées de conversation<br />
<strong>et</strong> d’utilisation <strong>des</strong><br />
appareils <strong>et</strong> <strong>des</strong> techniques<br />
de communication<br />
Autres activités de communication<br />
précisées<br />
Autres activités de communication<br />
non précisées<br />
Participation à l’échange d’information<br />
p 310<br />
p 320<br />
p 330<br />
p 340<br />
p 350<br />
p 398<br />
p 399<br />
Participation à l’échange parlé<br />
d’information<br />
Participation à l’échange d’information<br />
écrit<br />
Participation à l’échange d’information<br />
en langage gestuel<br />
Participation à l’échange d’information<br />
non verbal<br />
Participation à l’échange d’information<br />
au moyen d’appareils<br />
<strong>et</strong> de technologies de communication<br />
Autre participation précisée à<br />
l’échange d’information<br />
Participation non précisée à<br />
l’échange d’information<br />
En revanche, il existe un critère précis dès lors qu’il s’agit de difficultés<br />
: la restriction de participation se définit par le fait qu’elle<br />
résulte d’un obstacle venant de l’environnement ; en l’absence d’un<br />
tel obstacle, il s’agit d’une limitation d’activité. La causalité est érigée<br />
en critère de classement. Il en résulte que la <strong>classification</strong> ne pourra<br />
pas servir à rechercher la causalité, puisque, au moment de classer, on<br />
a déjà décidé ce qu’elle était. Certes, la causalité sociale est devenue<br />
très visible en vue d’un usage militant, mais c’est au prix d’une perte<br />
considérable d’utilité de la <strong>classification</strong> pour la recherche. De plus, la<br />
CIH-2 repose sur l’hypothèse selon laquelle il est possible, dès la<br />
phase de recueil <strong>des</strong> données, de faire la part entre ce qui relève de la<br />
personne, <strong>et</strong> ce qui relève de l’environnement. D’un point de vue<br />
strictement pratique, l’hypothèse reste à vérifier. D’un point de vue<br />
théorique, l’environnement est conçu comme parfaitement séparable<br />
de la personne ; les relations entre l’environnement <strong>et</strong> la personne se<br />
résument à deux modalités : obstacle ou « facilitateur ». C<strong>et</strong>te vision<br />
est qualifiée de « sociale » : elle propose une conception à la fois mécanique<br />
<strong>et</strong> simpliste de la vie en société, qui fera sourire plus d’un sociologue.<br />
Une conception en tout point identique a été la base de la clas-<br />
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