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simulation acoustique par la methode des sources images

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ANNEXE C.Discussion sur les temps de calcul mis en jeu.Les algorithmes utilisés <strong>par</strong> le programme sont tous très différents et posent <strong>des</strong>problématiques de temps de calcul spécifique pour chacun. Les fonctions de construction <strong>des</strong>ources stochastiques ou d’extension 3D sont lour<strong>des</strong> en termes de gestion <strong>des</strong> variables carces dernières occupent rapidement beaucoup d’espace mémoire. En revanche, à condition debien traiter cette question 1 en stockant les données au fur et à mesure <strong>des</strong> calculs, lesmémoires <strong>des</strong> ordinateurs actuels sont telles que ce point n’est jamais problématique. Lavitesse d’exécution de ces deux fonctions est assez rapide et rarement critique dans <strong>la</strong> mesureoù le nombre de <strong>sources</strong> demandées au programme influe peu sur <strong>la</strong> complexité <strong>des</strong>opérations à réaliser.En revanche, les temps de calcul mis en jeu dans le programme pour <strong>la</strong> construction<strong>des</strong> <strong>sources</strong> géométriques sont fortement liés au nombre de <strong>sources</strong> générées. La Figure 72 quicomplète le tableau de <strong>la</strong> Figure 40 montre comment les temps de calcul suivent les quantitésde <strong>sources</strong> à traiter. Nous remarquons que les temps de calcul <strong>des</strong> <strong>sources</strong> <strong>images</strong> vali<strong>des</strong> sontdu même ordre de grandeur que les temps de calcul de visibilité (cf. Figure 73). Cecis’explique <strong>par</strong> le fait que, dans les deux cas, un calcul élémentaire de <strong>la</strong> même complexité doitêtre appliqué à chaque source valide. Ceci explique aussi que les temps de calcul mis en jeusoient proportionnels au nombre de <strong>sources</strong>. Cette affirmation est vraie pour tous les ordres deréflexion excepté pour l’ordre 10 : lorsque le programme fonctionne longtemps, les processusnécessaires au <strong>la</strong>ncement de l’application MatLab ne ralentissent plus les algorithmes ce quiexplique que les calcul s’optimisent à <strong>par</strong>tir d’un certain ordre.En fait, <strong>la</strong> seule étape véritablement critique reste l’analyse de <strong>la</strong> réponseimpulsionnelle qui convertit <strong>la</strong> réponse en dB. En effet, le programme doit opérer un calcullogarithmique sur tous les échantillons du signal impulsionnel de sortie. Comme <strong>la</strong> longueurde celui-ci est proportionnelle au nombre de réflexions géométriques et statistiquesdemandées <strong>par</strong> l’utilisateur (en fonction du temps de réverbération qu’il souhaite obtenir),cette opération à elle seule peut prendre jusqu’à plusieurs minutes. Mais en pratique, dans <strong>la</strong>1 Ce qui n’est que <strong>par</strong>tiellement fait pour le prototype du programme.126

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