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simulation acoustique par la methode des sources images

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Reconstruction pleine bande de <strong>la</strong> réponse impulsionnelle.Après avoir déterminé les réponses impulsionnelles en atténuation pure dans chacune <strong>des</strong> 9ban<strong>des</strong>, <strong>la</strong> fonction « reconstruction.m » leur appliquera un filtre passe-bande correspondant(cf. Figure 59 pour le synoptique simplifié du programme). Elle appelle <strong>la</strong> sous-fonction« fast_convo.m » qui réalise 9 convolutions. La fonction somme ensuite toutes les réponsesterme à terme pour revenir au spectre pleine-bande.Les filtres à phases linéaires utilisés introduisent un retard de <strong>la</strong> moitié de leuréchantillons. La dernière étape consiste à trans<strong>la</strong>ter dans le temps le signal en supprimant lespremiers échantillons.En conclusion, simuler l'absorption <strong>des</strong> <strong>par</strong>ois d’une salle est essentiel pour obtenir <strong>des</strong>réponses impulsionnelles pertinentes. Or, en ne travail<strong>la</strong>nt pas en fonction de <strong>la</strong> fréquence, letemps de réverbération est le même sur tout le spectre. Ce<strong>la</strong> introduit de nombreux défauts etrend <strong>la</strong> réponse totalement irréaliste dans certains cas. La seule manière de rendre compteconvenablement <strong>des</strong> effets de <strong>par</strong>oi est de pouvoir décrire le comportement plus ou moinsabsorbant de <strong>la</strong> salle <strong>par</strong> ban<strong>des</strong> de fréquences : c’est ce que le programme réalisé dans lecadre de ce mémoire se propose de faire.La maîtrise de l’absorption a un effet <strong>par</strong>ticulièrement important sur le rendu final enterme de décroissance d’énergie. Cependant, d’autres <strong>par</strong>amètres rentrent en jeu dans <strong>la</strong>synthèse de réponse impulsionnelle de salle. C’est le cas de <strong>la</strong> densité d’échos qui est fonctionde <strong>la</strong> ré<strong>par</strong>tition et du nombre de <strong>sources</strong> vues <strong>par</strong> l’auditeur. Or, les constel<strong>la</strong>tions 2D ont unaccroissement linéaire de cette densité (voir Annexe A), il est donc difficile d’obtenir lesdensités supérieures à 10 000 échos/seconde recommandé <strong>par</strong> D. Griesinge. Seules <strong>des</strong>constel<strong>la</strong>tions tridimensionnelles, accroissant le nombre d’échos avec le carré du temps, sont,en réalité, capables de produire une telle densité. Une solution doit donc être trouvée pourobtenir un rendu 3D sans allonger les temps de calcul.III.3 Extension tridimensionnelle.Pour obtenir <strong>des</strong> réponses impulsionnelles compatibles avec une réalité physique, nousne pouvons pas faire abstraction <strong>des</strong> problèmes de densité d’échos engendrés <strong>par</strong> une<strong>simu<strong>la</strong>tion</strong> sur seulement deux dimensions. Cependant, dans le cadre de ce travail qui nepropose qu’un prototype de simu<strong>la</strong>teur <strong>acoustique</strong>, il n’est pas envisageable d’implémenter un93

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