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Le 34e Congrès annuel de la SQRP

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Forgivers (N=118) are unforgiving individuals who socialize with forgiving peers; (IV) Collective Un-<br />

Forgivers (N=74) are unforgiving individuals who socialize with unforgiving peers. Finally, Collective<br />

Forgivers and Individual Forgivers had higher levels of Agreeableness and Openness than Individual Un-<br />

Forgivers and Collective Un-Forgivers.<br />

A159. L’impact <strong>de</strong> l’inquiétu<strong>de</strong> face à l’image corporelle sur <strong>la</strong> prévision affective chez les femmes.<br />

LEBLANC, Samuel (2) ; MASK, Lisa (1) ; BLANCHARD, Céline (2) ; WHEELER, Jennifer; ATANCE, Cristina (2)<br />

(1) Université Bishop's; (2) Université d'Ottawa<br />

La prévision affective est définie comme <strong>la</strong> prévision <strong>de</strong> son état émotionnel dans une situation future<br />

(Wilson & Gilbert, 2003). Ce type <strong>de</strong> prédiction serait influencé, notamment, par divers types <strong>de</strong> biais<br />

cognitifs (Dunn & Laham, 2006). De plus, le contexte à partir duquel un individu prédit un état émotif<br />

semble influencer cette prédiction et diminuer <strong>la</strong> précision <strong>de</strong> celle-ci par rapport à l’état émotif réel<br />

ressenti lors <strong>de</strong> l’événement futur (Gilbert, Gill, & Wilson, 2002; Wilson & Brekke, 1994). À l’heure<br />

actuelle, peu d’étu<strong>de</strong>s sur <strong>la</strong> précision <strong>de</strong> <strong>la</strong> prévision affective comprennent un <strong>de</strong>vis expérimental avec<br />

mesures répétées (Mathieu & Gosling, 2010). Il appert également qu’aucune étu<strong>de</strong> n'examine<br />

l’inquiétu<strong>de</strong> face à l’image corporelle comme distraction nuisible à <strong>la</strong> prévision affective. La présente<br />

étu<strong>de</strong> tente donc <strong>de</strong> déterminer l’impact <strong>de</strong> <strong>la</strong> distraction cognitive liée à l’inquiétu<strong>de</strong> face à l’image<br />

corporelle chez les femmes sur <strong>la</strong> précision <strong>de</strong> <strong>la</strong> prévision affective. Cent quarante-trois femmes âgées<br />

<strong>de</strong> 17 à 34 ans (M = 19.31, ÉT = 2.87) participent à l’étu<strong>de</strong>. Selon les données obtenues, les participantes<br />

ne faisant pas face à une situation amorçant l’inquiétu<strong>de</strong> par rapport à leur image corporelle auraient<br />

une précision <strong>de</strong> prévision affective significativement supérieure à celles faisant face à une telle<br />

situation (i.e., groupe expérimental). Ces résultats sont discutés.<br />

A160. La mise en marché d’une expérience <strong>de</strong> travail : étu<strong>de</strong> diachronique <strong>de</strong>s critères utilisés par les<br />

entreprises dans les annonces <strong>de</strong> recrutement<br />

MATTE, Sophie Hélène; LAUZIER, Martin; MELANÇON, Stéphanie; ANNABI, Dorra<br />

Université du Québec en Outaouais<br />

La marque employeur est une forme <strong>de</strong> marketing appliquée à l’entreprise exploitant son image dans le<br />

but d’attirer <strong>de</strong>s candidats potentiels (Bouhris, 2007). Dans une perspective <strong>de</strong> pénurie <strong>de</strong> maind’œuvre,<br />

les rôles ten<strong>de</strong>nt à s’inverser sur le marché <strong>de</strong> l’emploi : il revient maintenant à l’entreprise <strong>de</strong><br />

séduire les meilleurs candidats, d’où l’importance pour elle <strong>de</strong> soigner son image. Non seulement elle<br />

doit se concentrer sur l’attraction <strong>de</strong>s candidats les plus talentueux, mais aussi sur <strong>la</strong> rétention <strong>de</strong> ses<br />

employés actuels. C’est pourquoi bâtir une marque employeur est une solution envisagée par <strong>de</strong><br />

nombreuses entreprises (Davies, 2008; Moroko & Uncles, 2008), comme Siemens ou Google. Par<br />

conséquent, l’expérience <strong>de</strong> travail offerte par une entreprise donnée doit maintenant être considérée<br />

comme un produit <strong>de</strong>vant être c<strong>la</strong>irement défini (donc <strong>de</strong>stiné à un groupe cible <strong>de</strong> candidats<br />

potentiels), puis mis en marché via une marque employeur en accord avec les valeurs <strong>de</strong> l’entreprise<br />

(Lauzier & Roy, 2011). Quels critères utilisent les entreprises pour se valoriser et attirer <strong>de</strong> nouveaux<br />

candidats? Ces critères varient-ils en fonction du secteur d’activité? Est-il possible d’i<strong>de</strong>ntifier <strong>de</strong>s<br />

tendances évolutives dans le domaine? À <strong>la</strong> lumière <strong>de</strong> ces questions, nous avons étudié les critères<br />

employés par les entreprises pour promouvoir l’expérience d’emploi qu’elles offrent. Ainsi, nous avons<br />

analysé <strong>de</strong>s publicités d’offres d’emploi publiées dans <strong>la</strong> revue Jobboom, spécialisée dans l’ai<strong>de</strong> à <strong>la</strong><br />

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