Programme Coexist : lutte contre le racisme et l'antisémitisme par l ...

Cependant je ne pense pas avoir découvert d’autres intérêts mais je dirais que ce
programme n’a fait que confirmer les miens.
Pour finir, je conseillerais évidemment à un ami de participer à cette activité, surtout
s’il est parfois extrême dans ses idées, peu ouvert, avec beaucoup de préjugés, et
bien sûr je le conseillerais à l’ami qui veut se sentir utile pour lutter contre les
préjugés antisémites et racistes car il s’agit d’un véritable travail de terrain.
Réponse de Marie Midler
1. Nom, âge, association représentée, ville de résidence
MILDER Marie ; affiliée à aucune association ; Ormesson-sur-marne (94).
2. Comment as-tu rencontré le programme coexist ? par qui ?
Par Sarah MENAL la nièce de Joëlle BORDET, qui m’a parlé vaguement du stage.
3. Qu’as-tu pensé de la formation initiale et en cours ?
Je l’ai trouvée suffisante, dans la mesure où je ne me suis pas vraiment sentie en
difficulté devant les élèves.
4. Qu’as-tu pensé de l’organisation du programme ?
J’ai beaucoup aimé ce temps qui a été pris pour former un groupe, même si tout le
monde n’est pas retenu.
5. Comment as-tu participé au programme ? Combien de fois es-tu intervenu ?
où ?
Je suis intervenue une fois dans une classe de cinquième du V ème arrondissement de
Paris.
6. Quelles réflexions t’ont suggéré ton intervention dans la classe ? Juste après ?
Après coup ?
Peut-être que les interventions pourraient être plus ciblées ; les enfants que j’ai eus
en intervention avaient des propos très consensuels, néanmoins ils ne semblaient
pas forcés. Il y a certainement des thèmes qui les auraient fait réagir différemment.
7. A posteriori, que retiens-tu de cette expérience ? Que t’a-t-elle apporté ? En
quoi te paraît-elle intéressante pour les élèves ?
Je me suis intéressée à ce programme parce que je pensais pouvoir l’appliquer aux
C \Dossier:\j.Bordet travail:\Etudes:\Programme Coexist…\rapport de synthèse coexist dec 2006.
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