7 RapportASSEMBLÉE GÉNÉRALEdu <strong>Conseil</strong> d’Administration sur les résolutions présentées à l’Assemblée Générale Mixtejuridique, communication interne, études et statistiques, contrôlede gestion…). Cette mise à disposition est facturée à chaquefi liale en application de deux clés de répartition, à savoir auprorata des effectifs et des chiffres d’affaires sociaux des sociétésdu Groupe. Au titre de l’exercice 2010, la facturation totales’élève à 11,1 millions d’euros. En outre, les prestations réaliséesà la demande sont facturées à des conditions de marché ;− en vertu d’une convention en date du 12 octobre 2005, LCI peutà l’occasion d’événements majeurs décrocher son Antenne surcelle de TF1 pour lui permettre une couverture immédiate del’information. En 2010, LCI a perçu une rémunération forfaitaire<strong>annuel</strong>le d’un montant de 5,0 millions d’euros ;− les autres conventions (contrats de location-gérance notamment)sont détaillées dans le <strong>rapport</strong> spécial des Commissaires auxComptes.Les conventions réglementées décrites dans le <strong>rapport</strong> spécial desCommissaires aux Comptes entre TF1 et Bouygues concernent :− la mise à disposition de TF1 de services communs par Bouygues.En 2010, les sommes facturées par Bouygues à TF1 à ce titres’élèvent à 3,5 millions d’euros, ce qui représente 0,13 % duchiffre d’affaires total du groupe TF1 (à comparer à 3,4 millionsd’euros pour l’année 2009, soit 0,14 % du chiffre d’affaires).Bouygues met, en effet, à la disposition des différentes sociétésde son Groupe des services experts dans différents domainestels que la fi nance, le juridique, les ressources humaines,l’administration, l’informatique, les nouvelles technologies…En fonction de ses besoins et conformément aux termesde la convention approuvée <strong>annuel</strong>lement par le <strong>Conseil</strong>d’Administration, TF1 peut décider de faire appel à ces servicesen les sollicitant, au fi l du temps et des problèmes qui surgissent. Ils’agit d’un droit de tirage que chaque structure peut utiliser à toutmoment pour discuter d’une problématique avec un expert plusrompu à cet exercice qu’elle. Par exemple TF1, qui ne disposepas de spécialiste en droit des assurances, fait appel au ServiceAssurances de Bouygues pour mettre en place une nouvellepolice. Il en est de même en matière d’audit informatique.Au-delà des conseils prodigués et de l’assistance apportée, lesservices communs assurent l’animation des fi lières, notammenten organisant des rencontres entre professionnels d’une fi lière(juridique contrats par exemple) pour favoriser les échanges, lesdiscussions techniques, s’approprier les évolutions (en matièrede normes comptables par exemple).Les coûts réels de ces services communs sont refacturés à TF1selon des clés de répartition, adaptées à la nature du servicerendu, par exemple en matière de ressources humaines, auprorata des effectifs de TF1 par <strong>rapport</strong> aux effectifs du Groupe,les capitaux permanents pour tout ce qui relève du domainefi nancier et, pour les autres services, le chiffre d’affaires.− les autres conventions avec Bouygues (la campagne decommunication institutionnelle, l’utilisation des avions et lecomplément de retraite consenti aux dirigeants) sont détailléesdans le <strong>rapport</strong> spécial des Commissaires aux Comptes.Le <strong>rapport</strong> spécial des Commissaires aux Comptes fait également étatd’une nouvelle convention établissant la mise à disposition de TF1par le GIE « 32 avenue Hoche », de bureaux de réception et de sallesde réunion du 1 er étage du 32 avenue Hoche, ainsi que la facturationdes services liés à la mise à disposition, tels que notamment l’accueil,l’informatique et le secrétariat. La rémunération du GIE pour l’année2010 s’est élevée à 12 718 euros HT.p de ratifi er la cooptation, en qualité d’Administrateur, de LaurenceDanon, effectuée par le <strong>Conseil</strong> d’Administration lors de sa séancedu 22 juillet 2010.Laurence DANON. Ancienne élève de l’École Normale Supérieure(Ulm), ingénieur du Corps des Mines, agrégée de Sciences Physiqueset titulaire d’un DEA de Chimie Organique, Laurence Danon, 54 ans,démarre sa carrière en 1984 au Ministère de l’Industrie comme chefde la division Développement Industriel de la Direction Régionalede l’Industrie et de la Recherche de Picardie puis rejoint en 1987, laDirection des Hydrocarbures du Ministère de l’Industrie, comme chefde la Direction Exploration-Production. En 1989, elle entre dans legroupe Elf où elle exerce des responsabilités commerciales au seinde la Division Polymères. En 1991, elle devient Directeur à la DivisionSpécialités Industrielles, avant d’être nommée en 1994 Directeur dela Division Mondiale des Polymères Fonctionnels. En 1996, elle se voitconfi er la Direction générale de Ato Findley Adhésives qui deviendraBostik après la fusion avec Total à partir de 1999. Bostik est n° 2 mondialdes adhésifs. En 2001, elle est nommée Président directeur général duPrintemps. Après la cession réussie du Printemps en octobre 2006,elle quitte son poste en février 2007. Laurence Danon rejoint ensuiteEdmond de Rothschild Corporate Finance en 2007, comme membredu directoire et est aujourd’hui présidente du directoire. Laurence Danonpréside la commission « Prospectives » du MEDEF.Les renseignements concernant Laurence DANON sont présentés à lapage 46 du document de référence.p de renouveler pour une durée de deux ans, les mandatsd’Administrateur de Patricia Barbizet, Claude Berda, MartinBouygues, Olivier Bouygues, Laurence Danon, Nonce Paolini, GillesPélisson, la société Bouygues et la société SFPG-Société Françaisede Participations et de Gestion, qui arrivent à expiration à l’issue de laprésente Assemblée.Patricia BARBIZET, diplômée de l’École supérieure de commerce deParis (ESCP), en 1976 a débuté sa carrière au sein du groupe Renaulten tant que Trésorier de Renault Véhicules Industriels, puis Directeurfi nancier de Renault Crédit International. Elle a rejoint le groupe Pinaulten 1989 en tant que Directeur fi nancier puis devient en 1992 Directeurgénéral d’Artémis, puis devient en 2004 Directeur général de FinancièrePinault. Elle a été Président du <strong>Conseil</strong> de Surveillance du groupe PinaultPrintemps Redoute jusqu’en mai 2005 et est devenue Vice-président du<strong>Conseil</strong> d’Administration de PPR depuis mai 2005.Claude BERDA fonde en 1977 une maison de disques indépendante,AB Productions. En 1987, il décide de diversifi er son activité sur lemarché de la production audiovisuelle : son groupe devient rapidementleader et y adjoint une nouvelle activité de distribution de droits deprogrammes télévisés. En 1996, Claude Berda introduit Groupe AB auNew York Stock Exchange pour fi nancer sa croissance sur le nouveaumarché de la télévision numérique par satellite en France. Il met ensuiteson groupe en position de bénéfi cier du développement de la TNTgratuite, avec la création de NT1 en 2002 et l’acquisition de TMC,aux côtés de TF1, en 2005. Parallèlement, Claude Berda diversifi e sesactivités patrimoniales, notamment dans l’immobilier. En 2007, il cède238DOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2010
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Rapport du <strong>Conseil</strong> d’Administration sur les résolutions présentées à l’Assemblée Générale Mixte33,5 % de Groupe AB à TF1. En 2010, il fi nalise la cession de NT1 etTMC à TF1, recentrant ainsi Groupe AB autour de son catalogue et seschaînes de télévision payante.Martin BOUYGUES entre dans le groupe Bouygues en 1974 en qualitéde conducteur de travaux. En 1978, il fonde la société Maison Bouygues,spécialisée dans la vente de maisons individuelles sur catalogue.Administrateur de Bouygues depuis 1982, Martin Bouygues est nomméVice-président en 1987. Le 5 septembre 1989, Martin Bouygues,succédant à Francis Bouygues, est nommé Président directeurgénéral de Bouygues. Sous son impulsion, le Groupe poursuit sondéveloppement dans la construction, ainsi que dans la communication(TF1) et lance Bouygues Telecom en 1996. En 2006, Bouygues acquiertune participation dans Alstom et entre ainsi dans de nouveaux métiers àforte croissance : les transports et l’énergie.Olivier BOUYGUES, ingénieur de l’École nationale supérieure dupétrole (ENSPM), entre dans le groupe Bouygues en 1974. Il débute sacarrière dans la branche Travaux Publics du Groupe. De 1983 à 1988,chez Bouygues Offshore, il est successivement Directeur de Boscam(fi liale camerounaise) puis Directeur Travaux France et projets spéciaux.De 1988 à 1992, il occupe le poste de Président directeur généralde Maison Bouygues. En 1992, il prend en charge la division Gestiondes services publics du Groupe, qui regroupe les activités France etInternational de Saur. En 2002, Olivier Bouygues est nommé Directeurgénéral délégué de Bouygues.Laurence DANON(se reporter à la cinquième résolution).Nonce PAOLINI, titulaire d’une maîtrise de Lettres et diplômé del’Institut d’Études Politiques de Paris (1972), commence sa carrièrechez EDF-GDF où il exerce des responsabilités opérationnelles(clientèle-commercial), puis d’état-major (organisation, formation,emploi, communication corporate). Il entre dans le groupe Bouyguesen 1988, où il prend en charge la Direction du Développement desRessources Humaines, puis, en 1990, la Direction centrale de laCommunication Externe du Groupe. Il rejoint TF1 en 1993 commeDirecteur des Ressources Humaines et devient, en 1999, Directeurgénéral adjoint du groupe TF1. Il est nommé Directeur général adjointde Bouygues Telecom en janvier 2002, en charge du commercial, dela relation clients et des ressources humaines, puis Directeur généraldélégué en avril 2004 et Administrateur en avril 2005.SFPG – Société Française de Participation et de GestionAdministrateur, représenté par Olivier ROUSSAT, diplômé de l’INSA deLyon. Olivier Roussat commence sa carrière en 1988 chez IBM où iloccupe différentes fonctions dans les activités de services de réseaude données, de production de service et d’avant-vente. Il entre chezBouygues Telecom en 1995 pour mettre en place le cockpit réseau etles process de la Direction des Opérations Réseau et prend ensuite laDirection des Opérations Réseau puis des activités de production deservices télécoms et informatiques. En mai 2003, Olivier Roussat estnommé Directeur du Réseau et devient membre du Comité de Directiongénérale. En janvier 2007, il prend en charge le pôle Performanceset Technologies. Celui-ci rassemble les structures techniques etinformatiques transverses de Bouygues Telecom : réseau, systèmesd’information, développement projets métiers, achats, moyens générauxet immobilier. Il a en outre la responsabilité du nouveau siège et dutechnopôle, les futures implantations de Bouygues Telecom. Directeurgénéral délégué de Bouygues Telecom depuis le 20 février 2007, ildevient Directeur général à compter du 29 novembre 2007.BOUYGUES, Administrateur, représenté par Philippe MARIEN,diplômé de l’École des Hautes Études Commerciales (HEC),Philippe Marien est entré dans le Groupe Bouygues en 1980, en tantque cadre fi nancier International. Chargé de mission en 1984 dans lecadre de la reprise du groupe AMREP (parapétrolier), il est nommé en1985 Directeur fi nancier de Technigaz (construction de terminaux gaznaturel liquéfi é). En 1986, il rejoint la Direction fi nancière du Groupe pourprendre en charge les aspects fi nanciers du dossier de reprise de Screg.Il est nommé successivement Directeur Finances et Trésorerie de Scregen 1987 et Directeur fi nancier de Bouygues Offshore en 1991. Directeurgénéral adjoint Finances et Administration de Bouygues Offshore en1998, il rejoint Bouygues Bâtiment en 2000 en tant que Secrétairegénéral. En mars 2003, Philippe Marien devient Secrétaire général dugroupe Saur dont il a géré la cession par Bouygues à PAI Partners,puis par PAI Partners à un nouveau groupe d’actionnaires conduitpar la Caisse des dépôts et consignations. En septembre 2007, il estnommé Directeur fi nancier du Groupe Bouygues. Le 18 février 2009,Philippe Marien est nommé Président du <strong>Conseil</strong> d’Administration deBouygues Telecom et succède ainsi à Philippe Montagner.Gilles PÉLISSON, diplômé de l’ESSEC et titulaire d’un MBA de HarvardBusiness School, a débuté sa carrière dans le groupe Accor en 1983,aux États-Unis, puis en Asie-Pacifi que et a été notamment coprésidentde la chaîne hôtelière Novotel. Directeur général d’Euro Disney en1995, puis Président directeur général en 1997, il rejoint en 2000 legroupe Suez, puis Bouygues Telecom en tant que Directeur général,puis Président directeur général (de février 2004 à octobre 2005). Ilest nommé Directeur général d’Accor en janvier 2006 puis Présidentdirecteur général jusqu’à décembre 2010.Patricia BARBIZET, Laurence DANON et Gilles PELISSON sontindépendants au regard des critères du Code de Gouvernementd’Entreprise AFEP / MEDEF. Après le renouvellement des Administrateursproposés dans ces résolutions, votre <strong>Conseil</strong> serait ainsi composé de3 Administrateurs indépendants sur 12.Ces renouvellements de mandats sont pour une durée de deux ans,soit jusqu’à l’issue de l’Assemblée Générale appelée à statuer en 2013sur les comptes de l’exercice clos le 31 décembre 2012. Les tableauxde synthèse des renseignements concernant les administrateurs, sontprésentés aux pages 44 et suivantes du document de référence.p de nommer KPMG <strong>Audit</strong> IS S.A.S et KPMG <strong>Audit</strong> ID S.A.respectivement en qualité de Commissaire aux Comptes titulaire etsuppléant, en remplacement de KPMG et Bernard VIALATTE, pourune durée de six exercices, prenant fi n à l’issue de l’AssembléeGénérale statuant sur les comptes de l’exercice 2016 ;Les honoraires versés aux Commissaires aux Comptes par TF1 etses fi liales fi gurent dans le présent document de référence et <strong>rapport</strong>fi nancier <strong>annuel</strong>, chapitre 4, en note 35 des annexes des comptesconsolidés, page 169.p d’autoriser la mise en œuvre d’un programme de rachat d’actions,permettant à votre société d’acheter en bourse ses propres actions ;DOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2010 239
- Page 1 and 2:
DOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2010ETRAPPO
- Page 3 and 4:
DOCUMENTDE RÉFÉRENCE 2010ET RAPPO
- Page 5 and 6:
MESSAGE DU PRÉSIDENT DIRECTEUR GÉ
- Page 7 and 8:
1PRÉSENTATIONDU GROUPE TF11.1 L’
- Page 9 and 10:
PRÉSENTATION DU GROUPE TF11Organig
- Page 11 and 12:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Activit
- Page 13 and 14:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Activit
- Page 15 and 16:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Faits m
- Page 17 and 18:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Faits m
- Page 19 and 20:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Indicat
- Page 21 and 22:
PRÉSENTATION DU GROUPE TF11Dépens
- Page 23 and 24:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 25 and 26:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 27 and 28:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 29 and 30:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 31 and 32:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 33 and 34:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 35 and 36:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 37 and 38:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 39 and 40:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 41 and 42:
1PRÉSENTATION DU GROUPE TF1Point s
- Page 43 and 44:
RAPPORT DUPRÉSIDENT DU CONSEILD’
- Page 45 and 46:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 47 and 48:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 49 and 50:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 51 and 52:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 53 and 54:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 55 and 56:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 57 and 58:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 59 and 60:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 61 and 62:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 63 and 64:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 65 and 66:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 67 and 68:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 69 and 70:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 71 and 72:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 73 and 74:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 75 and 76:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 77 and 78:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 79 and 80:
2RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D
- Page 81 and 82:
RAPPORT DEGESTION DU CONSEILD’ADM
- Page 83 and 84:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 85 and 86:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 87 and 88:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 89 and 90:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 91 and 92:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 93 and 94:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 95 and 96:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 97 and 98:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 99 and 100:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 101 and 102:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 103 and 104:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 105 and 106:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 107 and 108:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 109 and 110:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 111 and 112:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 113 and 114:
3RAPPORT DE GESTION DU CONSEIL D’
- Page 115 and 116:
4ÉTATS FINANCIERS 20104.1 COMPTES
- Page 117 and 118:
4ÉTATS FINANCIERS 2010Comptes cons
- Page 119 and 120:
4ÉTATS FINANCIERS 2010Comptes cons
- Page 121 and 122:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 123 and 124:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 125 and 126:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 127 and 128:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 129 and 130:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 131 and 132:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 133 and 134:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 135 and 136:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 137 and 138:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 139 and 140:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 141 and 142:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 143 and 144:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 145 and 146:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 147 and 148:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 149 and 150:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 151 and 152:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 153 and 154:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 155 and 156:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 157 and 158:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 159 and 160:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 161 and 162:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 163 and 164:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 165 and 166:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 167 and 168:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 169 and 170:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 171 and 172:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 173 and 174:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 175 and 176:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 177 and 178:
4ÉTATS FINANCIERS 2010Comptes indi
- Page 179 and 180:
4ÉTATS FINANCIERS 2010Comptes indi
- Page 181 and 182:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 183 and 184:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 185 and 186:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 187 and 188:
ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 189 and 190: ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 191 and 192: ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 193 and 194: ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 195 and 196: ÉTATS FINANCIERS 20104Annexes des
- Page 197 and 198: RAPPORTS DESCOMMISSAIRESAUX COMPTES
- Page 199 and 200: RAPPORTS DES COMMISSAIRES AUX COMPT
- Page 201 and 202: RAPPORTS DES COMMISSAIRES AUX COMPT
- Page 203 and 204: RAPPORTS DES COMMISSAIRES AUX COMPT
- Page 205 and 206: RAPPORTS DES COMMISSAIRES AUX COMPT
- Page 207 and 208: RAPPORTS DES COMMISSAIRES AUX COMPT
- Page 209 and 210: RAPPORTS DES COMMISSAIRES AUX COMPT
- Page 211 and 212: 6INFORMATIONS SUR LASOCIÉTÉ ET LE
- Page 213 and 214: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 215 and 216: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 217 and 218: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 219 and 220: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 221 and 222: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 223 and 224: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 225 and 226: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 227 and 228: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 229 and 230: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 231 and 232: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 233 and 234: 6INFORMATIONS SUR LA SOCIÉTÉ ET L
- Page 235 and 236: 7ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7.1 PARTICIPA
- Page 237 and 238: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Participation
- Page 239: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Rapport du Co
- Page 243 and 244: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Rapport du Co
- Page 245 and 246: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Présentation
- Page 247 and 248: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Présentation
- Page 249 and 250: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Présentation
- Page 251 and 252: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Présentation
- Page 253 and 254: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Présentation
- Page 255 and 256: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Présentation
- Page 257 and 258: ASSEMBLÉE GÉNÉRALE7Présentation
- Page 259 and 260: 8INFORMATIONSCOMPLÉMENTAIRES8.1 RE
- Page 261 and 262: INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES8Respo
- Page 263 and 264: INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES8Adres
- Page 265 and 266: INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES8Table
- Page 267 and 268: Le document de référence est disp