26.01.2014 Views

testing - International Labour Organization

testing - International Labour Organization

testing - International Labour Organization

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

d'encadrement et administratives qui représentent la moitié des projets de recrutement, contre<br />

environ un quart sur les autres sites, alors que les métiers de la construction et de l'industrie<br />

sont nettement sous représentés dans les projets de recrutement exprimés sur la capitale. Une<br />

autre différence notable concerne Marseille, où la proportion de projets de recrutement dans<br />

les fonctions sociales et médico-sociales est nettement plus importante que sur les autres sites.<br />

Sinon, il apparaît que les fonctions liées à la vente, aux services et au tourisme composent<br />

environ un tiers des projets de recrutement, cette proportion atteignant même 44 % à Lyon.<br />

Tableau 3<br />

Répartition (en %) par groupe de métiers des projets de recrutement envisagés<br />

par les employeurs pour 2006 dans chacune des zones d'emploi testées<br />

Groupes de métiers Lille Lyon Marseille Nantes Paris Strasbourg<br />

Fonctions d'encadrement 17 14 15 15 28 14<br />

Fonctions administratives 11 15 11 7 22 9<br />

Fonctions sociales et médico-sociales 12 10 18 13 9 10<br />

Fonctions liées à vente / services / tourisme 35 44 33 35 32 39<br />

Autres techniciens et employés 3 3 3 4 2 3<br />

Ouvriers de la construction et du bâtiment 9 4 7 12 2 7<br />

Ouvriers des secteurs de l'industrie 7 4 5 9 2 9<br />

Autres 6 6 8 5 3 9<br />

Ensemble 100 100 100 100 100 100<br />

(nombre de projets de recrutement) (13 230) (14 118) (15 430) (16 269) (93 065) (11 385)<br />

Source : UNEDIC-CREDOC, Enquête Besoins en Main-d'Oeuvre, 2006<br />

Champ : employeurs affiliés à l'UNEDIC, interrogés fin 2005 sur leurs projets de recrutement pour 2006<br />

3.3. Taux de chômage<br />

Comme les sections 4 et 5 ci-après vont recourir à des données provenant du recensement<br />

général de la population de 1999, le Tableau 4 ci-dessous indique des taux de chômage qui<br />

remontent jusqu'à cette date.<br />

Les taux de chômage observés en 1999 dans les six zones d'emploi sur lesquelles seront<br />

menés des tests apparaissent très contrastés. Avec 18.8 %, Marseille présente alors un taux de<br />

chômage nettement supérieur à celui de Lille, 12.5 %, et plus encore à ceux de Lyon, Nantes<br />

et Paris, qui se situent entre 10.2 et 11.0 %. C'est à Strasbourg que le niveau de chômage est le<br />

plus faible en 1999 avec un taux de 8.1 %.<br />

Ces écarts de chômage entre les sites ont eu tendance à se réduire entre 1999 et 2005, en<br />

raison notamment des trajectoires contraires suivies par les zones de Marseille et Strasbourg.<br />

Alors que le taux de chômage a diminué de 4.4 points dans la cité phocéenne pour se fixer à<br />

14.4 % en 2005, celui de Strasbourg a augmenté et se situe à 9.9 % à la même date. C'est<br />

désormais Nantes qui, des six zones d'emploi, présente le taux le plus bas avec 8.8 %, tandis<br />

que le niveau de chômage à Lyon, Lille et Paris est légèrement plus faible que celui de 1999.<br />

27

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!