tableau indiquait, pour chaque option, quels seraient les bénéficiaires, les catégories dont lasituation resterait équivalente et les perdants. Un tableau de cette nature dans le rapportfinal d'analyse d'impact (voir le point II.9) devrait aider les décideurs politiques à établir lescatégories susceptibles d'être concernées par leur décision sur l'opportunité et la manièred'agir.AvantagésDésavantagésStatu quoTSA, Balkans, raffineurs, importateursAgriculteurs, sucriers, environnementBrésil, budgetIAA, ACP, consommateurs, édulcorants, intrants agricoles, zones ruralesBaisse des prixIAA, consommateurs, environnement, budgetÉdulcorants, BrésilTSA, Balkans, ACP, agriculteursSucriers, raffineurs, importateurs, intrantsagricoles, zones ruralesQuotas fixesRaffineurs, importateursTSA, Balkans, agriculteursÉdulcorants, BrésilSucriers, environnementIAA, ACP, consommateurs, intrants agricoles, zones rurales, BrésilLibéralisationIAA, importateurs, consommateursBrésil, environnementTSA, Balkans, ACP, agriculteurs, sucriers,raffineurs, intrants agricoles, zones ruralesédulcorants, budget* L'impact sur les parties prenantes est évalué par rapport à la situation actuelle.5.2. Critères d'évaluationLes critères d’évaluation varieront selon le() domaine() concerné (s) et la nature des objectifsproposés. Cependant, certains critères généraux s’appliquent à toutes les propositions de laCommission; ce sont l'efficacité, l’efficience et la cohérence.D’autres critères sont établis par les Traités. Parmi ces derniers, les principes de subsidiaritéet de proportionnalité sont probablement les plus importants.Pour respecter le principe de subsidiarité, la comparaison des options stratégiques devrait 1)confirmer que l'objectif proposé ne pouvait pas être suffisamment atteint par les Étatsmembres (test de nécessité) 48 et 2) indiquer que l'objectif proposé pouvait être mieux réalisépar l'Union (test de la valeur ajoutée) 49 .48N.B. : lors de l’évaluation de la nature du problème et de son évolution probable, c'est ce point qui doit être examiné enpremier (voir le point III.1).49En d’autres termes, aucune action (proposition d’action) de l’UE ne doit être prévue s’il n’apparaît pas clairement qu’au moinsune option stratégique est susceptible de déboucher sur un meilleur résultat que celui qu’obtiendraient seuls les États membres.N.B. : si le problème relève de la compétence exclusive de la Communauté, le principe de subsidiarité ne s'applique pas.50<strong>Lignes</strong> <strong>directrices</strong> <strong>concernant</strong> l’analyse d’impact – Commission européenne
L’efficacité n’est pas le seul critère d’évaluation défini par le protocole sur l’application desprincipes de subsidiarité et de proportionnalité. Le Traité requiert aussi que la forme d’actionproposée soit aussi simple que possible et que les mesures suggérées laissent le plus deplace possible aux décisions nationales (à titre d’exemple, les directives sont préférables auxrèglements et les directives-cadres aux directives spécifiques). Les options stratégiquesdevraient également être classées en fonction des contraintes administratives etfinancières 50 qu’elles imposent à la Communauté, aux gouvernements nationaux, auxautorités régionales et locales, aux opérateurs économiques et aux citoyens. Ces contraintesdoivent être aussi limitées que possible et restées en rapport avec l’objectif ou les objectifsproposés.Le tableau ci-dessous illustre comment présenter une comparaison succincte des optionsstratégiques en fonction de leur efficacité, efficience et cohérence et, le cas échéant,d’autres critères. Les bonnes pratiques exposées à la fin du point III.4.3 sont égalementapplicables ici.50La Commission a adopté un modèle d’évaluation des coûts administratifs imposés par la législation de l’UE −voir l’annexe10.<strong>Lignes</strong> <strong>directrices</strong> <strong>concernant</strong> l’analyse d’impact – Commission européenne 51
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