d’une réglementation <strong>de</strong> plus en plus contraignante qui pèse surces <strong>de</strong>ux <strong>de</strong>rniers acteurs. De plus, les banques <strong>de</strong> détail ontune vision plus globale sur les finances <strong>de</strong> leurs clients grâce auxcomptes courants.Comme pour les <strong>de</strong>ux autres intervenants, pour développer une offrecompétitive, Compass fait appel à <strong>de</strong>s partenaires économiqueslocaux. <strong>Le</strong> poids <strong>de</strong> ses partenaires n’a cessé d’augmenter par<strong>rapport</strong> à son propre réseau <strong>de</strong> distribution en passant <strong>de</strong> 26%pour la pério<strong>de</strong> juillet-décembre 2008 à 45% sur la pério<strong>de</strong>janvier-juin <strong>2012</strong>. En associant <strong>de</strong>s compétences et <strong>de</strong>s actifs,Compass a réussi notamment à augmenter <strong>de</strong> 35% sa pénétrationsur le marché du crédit à la consommation.<strong>Le</strong>s partenariats permettent également <strong>de</strong> mieux contrôler le risqueet fidéliser la clientèle. De son côté, le client bénéficie <strong>de</strong> prixcompétitifs, d’un taux d’acceptation plus élevé et d’une procédured’octroi et <strong>de</strong> transfert <strong>de</strong>s fonds bien calibrée (accord dans lajournée qui suit la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> et versement <strong>de</strong>s fonds dans un délai<strong>de</strong> trois jours à compter <strong>de</strong> la <strong>de</strong>man<strong>de</strong>).L’exemple <strong>de</strong> partenariat avec la BancoPosta, banque, filiale à100% <strong>de</strong> la Poste est le plus parlant. Premier réseau <strong>de</strong> distributionen Italie avec plus <strong>de</strong> 14 000 agences, 5 millions <strong>de</strong> comptecourants et 8 millions <strong>de</strong> cartes prépayées, la banque postaleitalienne n’est toutefois pas autorisée à délivrer <strong>de</strong>s crédits.Compass est ainsi associé avec elle <strong>de</strong>puis 2006 pour proposeraux clients <strong>de</strong> la Poste <strong>de</strong>s crédits à la consommation. De plus,plusieurs initiatives innovantes ont été mises en place grâce àce partenariat :- « Prontissimo » : le premier prêt personnel accordé en 48 heureset proposé à tous les consommateurs (non seulement aux clients<strong>de</strong> la Banque Postale), lancé en 2007 ;- « Carte BP+ » : la première carte <strong>de</strong> crédit avec option créditamortissable (lancée en 2010) ;- « Prontissimo Impresa » : le premier prêt <strong>de</strong>stiné aux PME accordéen 48 heures (lancé en 2011).Assurances : et maintenant ?Assurance emprunteur : l’expérience britanniqueMaximilian Mertes, GMAC UKSuite à <strong>de</strong>s graves manquements dans la commercialisation<strong>de</strong>s assurances emprunteur au Royaume-Uni, les banques fontactuellement face à <strong>de</strong>s actions en remboursement <strong>de</strong>s primesindûment versées pour un montant cumulé estimé à 10 milliards <strong>de</strong>livres sterling, avec provisionnement en conséquence. L’impact <strong>de</strong>sremboursements aux emprunteurs est estimé par l’Institut nationalpour la recherche économique et sociale à une augmentationdu PIB d’au moins 0,1% pour <strong>2012</strong>.Gérer le passéUne décision <strong>de</strong> justice d’août <strong>2012</strong> sur le sujet a mis en placeun cadre équilibré pour régler les dossiers passés. Elle indiquenotamment qu’une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> marché exhaustive ne doit pasêtre attendue dans tous les cas <strong>de</strong> la part <strong>de</strong> l’intermédiaire enassurance et qu’une commission d’un montant <strong>de</strong> 87% <strong>de</strong> laprime n’est pas nécessairement abusive.Préserver l’activité futureLa Commission <strong>de</strong> la concurrence a fixé en mars 2011 (entrée envigueur en avril <strong>2012</strong>) les conditions dans lesquelles l’assuranceemprunteur doit désormais être commercialisée.<strong>Le</strong>s professionnels doivent respecter <strong>de</strong>s règles strictes :- en matière d’information du client (notamment <strong>rapport</strong> coût/avantages, possibilité <strong>de</strong> résilier, estimation personnalisée ducoût <strong>de</strong> l’assurance, y compris en équivalent TAEG) ;- lors <strong>de</strong> la commercialisation : il est interdit <strong>de</strong> faire souscrirel’assurance emprunteur avant ou à l’occasion <strong>de</strong> la souscriptiondu crédit (et pendant une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 7 jours après) ;- concernant le type d’assurance proposé : les assurances avecprime unique sont interdites.Il est probable que le nouveau régime anglais <strong>de</strong> l’assuranceemprunteur serve <strong>de</strong> modèle à la future réglementation européenneen la matière.La secon<strong>de</strong> directive intermédiation en assuranceBert Reitsma, Secrétaire général, VFNLa révision <strong>de</strong> la directive sur l’intermédiation en assurance(adoptée en 2002) est en cours. La Commission européennea rendu publique sa proposition en juillet <strong>2012</strong>, le travail auParlement européen et au Conseil vient <strong>de</strong> commencer.<strong>Le</strong> champ d’application du projet <strong>de</strong> la Commission est très large.<strong>Le</strong> texte institue <strong>de</strong> nouvelles règles ou renforce les dispositions<strong>de</strong> la première directive sur :- l’enregistrement <strong>de</strong>s intermédiaires ;- leur capacité professionnelle ;- l’information à fournir aux clients ;- les conflits d’intérêt et la transparence ;- les sanctions.<strong>Le</strong> texte présente <strong>de</strong>s enjeux importants pour les établissementsspécialisés, notamment pour ce qui concerne la transparence, lesexigences professionnelles et les ventes croisées. Par conséquent,Eurofinas en a fait une <strong>de</strong>s priorités <strong>de</strong> son lobbying.<strong>Le</strong>s limites du modèle actuel <strong>de</strong> distribution <strong>de</strong> l’assuranceemprunteur, pistes d’amélioration et d’innovationMarkus Benke, BNP Paribas Cardif GermanyL’assurance emprunteur présente <strong>de</strong> nombreux avantages pourle prêteur en lui permettant <strong>de</strong> sécuriser ses encours grâce à unmo<strong>de</strong> <strong>de</strong> commercialisation efficace, et à la mutualisation permisepar les contrats groupe.<strong>Le</strong> consommateur, <strong>de</strong> son côté, est mieux protégé. Il doit se sentirtraité <strong>de</strong> manière équitable. <strong>Le</strong>s mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> commercialisationactuels <strong>de</strong> l’assurance emprunteur, s’ils permettent d’optimiser lescoûts, ne sont pas nécessairement les mieux à même <strong>de</strong> garantir lasatisfaction du consommateur, notamment en termes d’information.Il est important pour le prêteur <strong>de</strong> s’assurer que l’assuranceemprunteur apporte un véritable service au consommateur (contenu<strong>de</strong>s garanties, etc.). La distribution d’assurance par l’intermédiairedu prêteur risque <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir <strong>de</strong> plus en plus coûteuse, du faitnotamment <strong>de</strong>s exigences réglementaires à venir. Aussi, lesprofessionnels sont-ils en train <strong>de</strong> réfléchir à <strong>de</strong> nouveaux canauxRapport ASF – juin 2013 92
<strong>de</strong> distribution : vente par téléphone, en ligne ou en ayant recoursà <strong>de</strong>s interfaces permettant la dématérialisation complète <strong>de</strong> laprocédure d’adhésion.L’avenir du crédit à la consommationDes lea<strong>de</strong>rs sur le marché européen partagent leurs points <strong>de</strong> vuesur ce qu’ils considèrent être les principaux défis et opportunitéspour l’avenir du crédit à la consommation.Maurizio Mondino,Head of Global Products and Business Development,Consumer Finance, Uni Credit GroupAndrea Poletto, General Manager, Consum.itBruno Salmon, Chairman, BNP Paribas Personal FinanceEric Spielrein,Company Secretary and Chief Risk Officer, RCI BanqueJan W. Wagner, CEO, Credit Plus BankDans la situation économique actuelle et les nouvelles contraintesrèglementaires, le grand défi <strong>de</strong> la profession est <strong>de</strong> trouver <strong>de</strong>ssources <strong>de</strong> refinancement. En effet, les règles <strong>de</strong> Bâle III obligentles établissements <strong>de</strong> crédit à renforcer leurs fonds propres etrespecter <strong>de</strong>s ratios <strong>de</strong> liquidité et <strong>de</strong> solvabilité dans une pério<strong>de</strong>où l’on constate une baisse constante <strong>de</strong> la production.Pour augmenter le volume d’activité, les établissements peuvent sefon<strong>de</strong>r sur une industrialisation, une optimisation <strong>de</strong>s procéduresinternes et la recherche <strong>de</strong> marchés prometteurs à développer.Par ailleurs, le comportement <strong>de</strong>s consommateurs est en train <strong>de</strong>changer. <strong>Le</strong>ur confiance dans le crédit à la consommation est enbaisse. En Allemagne par exemple, les consommateurs préfèrentépargner pour payer leurs achats en liqui<strong>de</strong> au lieu <strong>de</strong> souscrireun crédit et lorsqu’ils le font, ils sont pru<strong>de</strong>nts et <strong>de</strong>man<strong>de</strong>nt plus<strong>de</strong> protections et transparence. Cela incite les professionnels àproposer <strong>de</strong>s nouveaux produits mieux adaptés aux besoins <strong>de</strong>sconsommateurs.A côté <strong>de</strong> ces défis, les opportunités peuvent se trouver dansl’utilisation <strong>de</strong>s nouvelles technologies, le développement duvéhicule électrique dans le secteur <strong>de</strong> l’automobile, ou encoredans l’utilisation <strong>de</strong> nouveaux canaux <strong>de</strong> distribution pour la vente<strong>de</strong>s crédits à la consommation.<strong>Le</strong>s répondants à la question posée aux personnes présentesdans la salle considèrent que, les opportunités pour les prêteursviendront à 41,7% <strong>de</strong>s moyens <strong>de</strong> paiement, à 27,8% <strong>de</strong>sservices annexes et à 19,4% <strong>de</strong>s partenariats.LEASEUROPE<strong>Le</strong> marché du leasing en EuropeEtat du marché européen <strong>de</strong> la locationJean-Marc Mignerey, Board Member, <strong>Le</strong>aseurope<strong>Le</strong>s membres <strong>de</strong> <strong>Le</strong>aseurope représentent 92% du total du leasingeuropéen en 2011, ce qui permet à l’Association européenne<strong>de</strong> s’appuyer sur <strong>de</strong>s statistiques représentatives <strong>de</strong> la profession,sachant qu’elles intègrent à la fois le crédit-bail mobilier, immobilieret la location. L’association européenne représente 34 associationsnationales issues <strong>de</strong> 28 pays.Au niveau mondial, l’Europe enregistre une croissance <strong>de</strong>svolumes <strong>de</strong> 11% alors que les Etats-Unis progressent <strong>de</strong> 13%,le Canada et l’Australie <strong>de</strong> 16% et la Chine <strong>de</strong> 100%. Malgrécela, le marché européen arrive en tête (232 milliards d’euros<strong>de</strong> production hors immobilier) <strong>de</strong>vant le marché américain(154 milliards d’euros) et <strong>de</strong>vant le marché chinois (106 milliardsd’euros). <strong>Le</strong> Japon atteint 41 milliards d’euros <strong>de</strong> production (encroissance <strong>de</strong> 1%) <strong>de</strong>vant le Canada (27 milliards) et l’Australie(16 milliards).Pour ce qui concerne le marché européen, la production <strong>de</strong>smembres <strong>de</strong> <strong>Le</strong>aseurope (256 milliards d’euros, immobilier compris)représentent donc la quasi-totalité <strong>de</strong> la production européenne(285 milliards d’euros). Cette production se décompose à hauteur<strong>de</strong> 24 milliards pour l’immobilier et 232 milliards pour le mobilier.En termes d’encours, la situation est proche : les membres <strong>de</strong><strong>Le</strong>aseurope regroupent 698 milliards d’euros d’encours sur800 milliards ; la part <strong>de</strong> l’immobilier atteint 196 milliards et lemobilier 502 milliards.L’évolution <strong>de</strong> la production est globalement positive à +7,4% entre2010 et 2011 mais qu’elle masque une évolution contrastée entrel’immobilier, en chute <strong>de</strong> –18,6%, et le mobilier en progression<strong>de</strong> +11,2%. Sur longue pério<strong>de</strong> (1996-2011), la croissance<strong>annuel</strong>le globale est <strong>de</strong> +4,8%. Elle est <strong>de</strong> +5,1% pour le mobilieret <strong>de</strong> +2,9% pour l’immobilier.Géographiquement, les pays européens n’ont pas tous enregistréles mêmes progressions. L’Allemagne, l’Autriche, la France, laRépublique Tchèque, le Royaume-Uni, la Suè<strong>de</strong> et la Suisse ontconnu <strong>de</strong>s progressions comprises entre 0 et 10%. La plupart<strong>de</strong>s autres pays <strong>de</strong> l’Europe <strong>de</strong> l’Est et du Nord se situent entre+10 à +30% voire plus, notamment en Russie, Estonie, <strong>Le</strong>ttonieet Ukraine. <strong>Le</strong>s pays d’Europe du Sud enregistrent entre –10% et–20%, voire au-<strong>de</strong>là notamment en Grèce et au Portugal.La répartition du leasing par type d’actif en 2011 montre quele secteur automobile représente 60% (contre 56% en 2010),suivi du secteur <strong>de</strong> l’équipement à 16% (i<strong>de</strong>ntique en 2010).<strong>Le</strong> secteur <strong>de</strong> l’immobilier passe <strong>de</strong> 13% en 2010 à 10% en2011, celui <strong>de</strong>s nouvelles technologies et <strong>de</strong>s « big tickets »restent stable à 7%.<strong>Le</strong> marché spécifique du véhicule compte 5,6 millions <strong>de</strong> véhiculesfinancés en 2011 pour un montant <strong>de</strong> 108 milliards d’euros. <strong>Le</strong>portefeuille total atteint 14 millions <strong>de</strong> véhicules. <strong>Le</strong> marché ducamion compte 1,4 million <strong>de</strong> camions financés pour 44 milliardsd’euros. <strong>Le</strong> portefeuille total atteint 4,3 millions d’unités.Un point d’importance concerne le taux <strong>de</strong> pénétration du leasingen Europe. Sur la pério<strong>de</strong> 1999-2011, en moyenne le taux <strong>de</strong>pénétration global est <strong>de</strong> 12%. Si l’immobilier n’atteint que 3%(le crédit-bail immobilier n’étant pas développé <strong>de</strong> la mêmemanière dans tous les Etats), le mobilier atteint quant à lui 19%.Ces moyennes peuvent cacher <strong>de</strong>s réalités différentes selon lesEtats puisque par exemple, en matière d’équipement la Franceaffiche un taux <strong>de</strong> pénétration supérieur à 30%, <strong>de</strong> même quela Suè<strong>de</strong>. La Finlan<strong>de</strong>, la Pologne, le Portugal et le Royaume-Uni affichent 25 à 30% <strong>de</strong> pénétration. Allemagne, Belgique,Hollan<strong>de</strong>, Norvège notamment atteignent 20 à 25%. <strong>Le</strong>s paysdu Sud affichent en revanche <strong>de</strong>s taux <strong>de</strong> pénétration davantagecompris entre 10 et 20%.L’ACTIONPROFESSIONNELLE93Rapport ASF – juin 2013
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