Une autre tendance intéressante à suivre est celle <strong>de</strong> l’accroissement<strong>de</strong> la concentration <strong>de</strong>s acteurs. <strong>Le</strong>s 10 meilleurs acteursreprésentaient : en 2008, 89 milliards <strong>de</strong> la production (27%du marché), en 2009, 70 milliards (33,3% du marché), en 2011,ils représentent 78 milliards (57% du marché). <strong>Le</strong>s 20 meilleursacteurs représentaient : en 2008, 131 milliards <strong>de</strong> la production(39,5% du marché), en 2009, 98 milliards (46,7% du marché),en 2011, ils représentent 110 milliards (81% du marché).Enfin, après avoir salué la participation <strong>de</strong>s plus grandsétablissements qui ont accepté <strong>de</strong> répondre à l’enquête, <strong>Le</strong>aseuropeest en mesure <strong>de</strong> publier dans son in<strong>de</strong>x <strong>de</strong>s informationsimportantes que sont le ratio <strong>de</strong> profitabilité qui atteint 30,2%en 2011 ; le ratio coûts sur revenus <strong>de</strong> 47,6% en 2011 et leratio coût du risque qui s’établit à 0,65% en 2011. De même le« RoA » (résultat net sur actif net) atteint 1% en 2011 et le « RoE »(résultat net sur capitaux propres) atteint 17,1% en 2011.En conclusion, Jean-Marc Mignerey souligne que le marchéeuropéen du leasing est le plus important dans le mon<strong>de</strong>et qu’il représente l’une <strong>de</strong>s clés essentielles du financementpour les PME. <strong>Le</strong> leasing a également un meilleur profil <strong>de</strong> risque(c’est-à-dire moins risqué) que le financement traditionnel. C’estune industrie profitable avec <strong>de</strong>s RoE sensiblement au-<strong>de</strong>ssus <strong>de</strong>ceux du secteur bancaire traditionnel. Malgré ces éléments trèspositifs, le régulateur reste très vigilant sur cette industrie. Celle-cireste un outil efficient du financement <strong>de</strong>s PME, au service <strong>de</strong>l’économie réelle.Table ron<strong>de</strong> : les lea<strong>de</strong>rs <strong>de</strong> l’industrie du leasing partagentleur vues sur l’état <strong>de</strong>s marchés du leasing en EuropeJohn Benett, Managing Director,Hitachi Capital Business Finance, <strong>Le</strong>aseuropeGeorge Ashworth,Managing Director, Asset Finance, Al<strong>de</strong>rmoreKai Ostermann; Chairman of the Board, Deutsche <strong>Le</strong>asingAlexandre Schmi<strong>de</strong>cker, CEO, Raiffeisen <strong>Le</strong>asingA une première interrogation sur les éléments clés du métieraujourd’hui, l’ensemble <strong>de</strong>s participants conviennent que, dans uncontexte <strong>de</strong> crise économique marquée, <strong>de</strong>s éléments classiquespeuvent être cités comme la compétition intense qui s’exerceentre spécialistes, l’évolution <strong>de</strong> plus en plus rapi<strong>de</strong> <strong>de</strong>s cycleséconomiques qu’il faut savoir accompagner, la question dumanagement <strong>de</strong>s équipes <strong>de</strong> l’entreprise afin <strong>de</strong> mettre en valeurleur expérience, leur réactivité et leur créativité, ou encore laconnaissance client et la relation avec les partenaires industrielset <strong>de</strong> services qui, avec le financement lui-même, participent <strong>de</strong>l’offre <strong>de</strong> leasing.Mais la préoccupation majeure aujourd’hui partagée par lesétablissements est <strong>de</strong> souligner le fait que les différents métierssont autant <strong>de</strong> business mo<strong>de</strong>ls qui ont besoin <strong>de</strong> réglementationet régulations différentes. La véritable question aujourd’hui n’estpas tant <strong>de</strong> vendre le leasing aux clients, mais aux autorités <strong>de</strong>contrôle et aux sociétés mères bancaires, ce qui n’est pas l’ordre<strong>de</strong> choses.L’indépendance <strong>de</strong>s établissements spécialisées au regard <strong>de</strong>leurs sociétés mères est également évoquée. Sur ce point pourcertains participants, l’indépendance peut apparaître comme unobjectif difficile à tenir, notamment si l’on pense aux contraintespru<strong>de</strong>ntielles qui s’exercent et en particulier dans l’immobilierd’entreprise qui engagent <strong>de</strong>s sommes élevées. Pour d’autres celarelève avant tout <strong>de</strong> la qualité <strong>de</strong>s actionnaires et <strong>de</strong>s circonstances,et en particulier <strong>de</strong> la santé financière <strong>de</strong> l’établissement. Il estessentiel d’être toujours attentif à la définition et au positionnementdu métier et notamment <strong>de</strong> savoir si le leasing est seulement unsimple produit bancaire ou pas.L’indépendance d’un métier passe également par sa capacitéà accroître son taux <strong>de</strong> pénétration sur le marché, en particuliersur celui du financement aux PME. Outre les éléments classiques<strong>de</strong> coûts, <strong>de</strong> liquidité, <strong>de</strong> communication et <strong>de</strong> renforcement <strong>de</strong>la présence d’un personnel qualifié, les participants signalent<strong>de</strong>s éléments nouveaux. Ainsi, alors que l’industrie <strong>de</strong> la financedans son ensemble souffre d’un manque <strong>de</strong> confiance aiguë,le leasing est perçu comme le partenaire <strong>de</strong> l’économie réelle.<strong>Le</strong> leasing n’est pas non plus une activité spéculative. Ces <strong>de</strong>uxéléments constituent une chance pour le leasing en termes <strong>de</strong>positionnement et <strong>de</strong> communication auprès <strong>de</strong>s clients. Par ailleurs,l’amélioration du taux <strong>de</strong> pénétration du leasing passe égalementpar un choix clair que les établissements veulent établir avec leursclients : s’agit-il d’une transaction, d’une relation commerciale oud’un partenariat.FundingLa BEI soutient le financement <strong>de</strong>s PME en EuropeMark Pevsner,Head of SME lending policy, European Investment BankMark Pevsner rappelle tout d’abord que la Banque européenned’investissement (EIB) est l’une <strong>de</strong>s institutions <strong>de</strong> l’Unioneuropéenne, détenue par les 27 Etats membres. Elle est dotée<strong>de</strong> l’autonomie financière et se procure l’essentiel <strong>de</strong>s fonds qu’elleprête par <strong>de</strong>s émissions obligataires sur les marchés internationaux<strong>de</strong> capitaux. Son capital est <strong>de</strong> 232 milliards d’euros, souscritpar les 27 Etats membres <strong>de</strong> l’UE. Bénéficiant d’une excellentenotation (AAA), elle peut emprunter aux meilleurs taux et en faireà son tour bénéficier les promoteurs <strong>de</strong> projets.<strong>Le</strong> financement <strong>de</strong>s PME est l’un <strong>de</strong>s six objectifs majeurs <strong>de</strong> laBanque. Ainsi en 2011 elle a signé pour environ 10,5 milliardsd’euros <strong>de</strong> crédits intermédiés et alloué environ 14,5 milliardsd’euros à plus <strong>de</strong> 70 000 PME. <strong>Le</strong> statut <strong>de</strong> la BEI impose <strong>de</strong>recueillir <strong>de</strong>s garanties adéquates ou <strong>de</strong> disposer <strong>de</strong> contrepartiesfinancières fortes.<strong>Le</strong>s principaux moyens <strong>de</strong> financement mis en place sont lesprêts directs, notamment pour les projets dont le coût excè<strong>de</strong>25 millions d’euros. <strong>Le</strong>s initiatives <strong>de</strong> petite et moyenne dimensionet les projets d’infrastructure <strong>de</strong> petite taille sont financés par <strong>de</strong>slignes <strong>de</strong> crédit mises en place en collaboration avec <strong>de</strong>s banquesintermédiaires nationales et régionales, les prêts intermédiaires.La BEI ne prête pas plus <strong>de</strong> 50% <strong>de</strong>s fonds nécessaires à laréalisation d’un projet. La BEI peut également intervenir sousforme <strong>de</strong> garantie ou <strong>de</strong> contre-garantie (via <strong>de</strong>s intermédiairesfinanciers), cela notamment pour la couverture <strong>de</strong> portefeuille<strong>de</strong> prêts aux PME et <strong>de</strong> contrats <strong>de</strong> leasing.La BEI a fait ses meilleurs efforts pour intervenir lors <strong>de</strong> la crise <strong>de</strong>2008-2010 et poursuit cette initiative <strong>de</strong>puis. Elle a notammentaidé 70 000 entreprises dont 20 000 microcrédits <strong>de</strong> moinsRapport ASF – juin 2013 94
<strong>de</strong> 25 000 euros (soit 28% <strong>de</strong>s allocations). L’un <strong>de</strong>s objectifsest d’accroître les possibilités <strong>de</strong> financements aux PME <strong>de</strong> 3,5à 5 milliards d’euros par an sur la pério<strong>de</strong> 2013/2015 pourrépondre aux nouveaux investissements attendus <strong>de</strong> l’ordre <strong>de</strong>40 milliards supplémentaires. Un autre objectif est <strong>de</strong> tenterd’élargir le champ <strong>de</strong>s intermédiaires financiers afin d’inclure <strong>de</strong>sétablissements spécialistes <strong>de</strong> la finance susceptibles <strong>de</strong> diffuserdu financement, comme les crédit-bailleurs.En conclusion, la BEI indique que ses différentes formes <strong>de</strong>concours financiers sont <strong>de</strong>s sources attractives <strong>de</strong> financementslong terme pour les PME, notamment via les prêts mais aussiles contrats <strong>de</strong> location. Elle s’emploie sur la pério<strong>de</strong> à venir àaccroître son intervention auprès <strong>de</strong>s PME.Analyse <strong>de</strong>s taux <strong>de</strong> récupération en crédit-bail.L’exemple italienPietro Penza, PwCL’association italienne regroupant les sociétés <strong>de</strong> leasing (Assilea)suit <strong>de</strong>puis 2005 les taux <strong>de</strong> récupération <strong>de</strong>s biens donnés enleasing après défaillance du locataire. L’objectif <strong>de</strong> cette analyseest <strong>de</strong> mieux cerner les facteurs explicatifs <strong>de</strong>s taux <strong>de</strong> récupération.En 2011, l’échantillon comprend 25 sociétés <strong>de</strong> leasing etcouvre tous les secteurs : mobilier (matériel roulant et équipement)et immobilier.L’étu<strong>de</strong> suit <strong>de</strong>ux types <strong>de</strong> données :- la probabilité <strong>de</strong> récupérer le bien après défaillance <strong>de</strong> lacontrepartie ;- <strong>de</strong>ux ratios : le prix <strong>de</strong> vente du bien récupéré / encours et leprix <strong>de</strong> vente / prix d’origine.<strong>Le</strong>s résultats permettent <strong>de</strong> fournir l’estimation d’une LGDréglementaire, <strong>de</strong> déterminer la courbe d’obsolescenceprévisionnelle <strong>de</strong>s actifs par catégorie et d’évaluer la fongibilité<strong>de</strong>s actifs loués, et par conséquent le risque <strong>de</strong> valeur résiduelle.Cette analyse se différencie <strong>de</strong> la LGD réglementaire car elle neprend notamment pas en compte les coûts directs ou indirects.Elle permet <strong>de</strong> répartir les biens selon la probabilité <strong>de</strong> reprised’une part, et le niveau du prix <strong>de</strong> vente par <strong>rapport</strong> au prixd’origine d’autre part, et d’i<strong>de</strong>ntifier les actifs présentant un risqueélevé <strong>de</strong> valeur résiduelle (forte obsolescence et récupérationdifficile) et les actifs fongibles, présentant un moindre risque (faibleobsolescence et récupération facile).Une analyse par type d’actif montre que les immeubles présententun taux <strong>de</strong> récupération <strong>de</strong> 100%, le matériel roulant un taux<strong>de</strong> 77% et les autres actifs mobiliers un taux <strong>de</strong> près <strong>de</strong> 48%.<strong>Le</strong> financement d’un mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> plus en plus sans actifsou d’actifs dématérialisésAntoine d’Har<strong>de</strong>mare, Deputy managing director,Econocom GroupTransformer notre industrie en une société du leasing durableet différenciéeElmar Lukas, Equipment finance, GE Capital EMEAFinancer le Futur ?Stephen Knuppertz, Head, Division financial services,Hei<strong>de</strong>lberger DruckmaschinenDans son intervention, Artti Aurasmaa fait part <strong>de</strong> sa convictionselon laquelle les nouveaux actifs sont tous <strong>de</strong>stinés à intégrerune part d’actif incorporel croissante. <strong>Le</strong>s nouvelles technologies<strong>de</strong> l’information et <strong>de</strong> la communication directement incorporéesaux biens sont <strong>de</strong>venues une <strong>de</strong>s attentes <strong>de</strong>s clients à laquelleles établissements doivent pouvoir répondre. Elles permettent eneffet aux clients <strong>de</strong> bénéficier d’équipements plus efficients quileur donnent la possibilité <strong>de</strong> se concentrer davantage sur leurcœur <strong>de</strong> métier. A titre d’exemple, la progression <strong>de</strong> la détention<strong>de</strong> smart phone ou <strong>de</strong> tablettes qui ouvrent l’accès instantanémentet en tout lieu aux informations recherchées ou souhaitées éviteénervement, précipitation, déplacements et perte <strong>de</strong> temps.Il appartient aux établissements <strong>de</strong> façonner <strong>de</strong>s modèles ou lessalariés s’approprient ces technologies pour mieux les vendre etrépondre aux clients qui cherchent eux aussi à mieux maîtriserces moyens mo<strong>de</strong>rnes <strong>de</strong> performance.Dans le même esprit, Antoine d’Har<strong>de</strong>mare indique que notammenten raison <strong>de</strong> l’application <strong>de</strong>s règles pru<strong>de</strong>ntielles, fortementconsommatrices en fonds propres, et <strong>de</strong> la concentration <strong>de</strong>sacteurs bancaires, qui, dans une certaine mesure, favorise lacréation <strong>de</strong> captives initiées par les ven<strong>de</strong>urs ou les constructeurs,on observe une croissance sensible <strong>de</strong> financements pour <strong>de</strong>nouveaux types d’actifs notamment <strong>de</strong>s solutions mixtes actifs /services et <strong>de</strong>s solutions « sans-actifs » ou d’actifs dématérialisés,comme le « cloud » ou « SaaS » (1).<strong>Le</strong>s établissements <strong>de</strong> leasing doivent dès lors être vigilants etassocier fortement dans leurs solutions <strong>de</strong> financements tout àla fois les aspects d’innovation en matière <strong>de</strong> refinancement, <strong>de</strong>risque et <strong>de</strong> documentation juridique, mais aussi les innovationstechnologiques et <strong>de</strong> coopération avec toutes les parties prenantes(constructeurs, fabricants, ven<strong>de</strong>urs, distributeurs), sans oublierqu’il faut agir vite dans un marché sans cesse évolutif. La questionL’ACTIONPROFESSIONNELLEFinancer le FuturL’atelier dédié au « financement du Futur » a permis, au travers<strong>de</strong> quatre présentations, <strong>de</strong> se projeter dans les nouveaux défiset opportunités qui s’ouvrent aux crédit-bailleurs et bailleursd’équipements. L’idée selon laquelle le leasing n’est plus seulementun actif mais un service est non seulement confirmée mais doit enplus s’insérer dans un mon<strong>de</strong> qui intellectuellement tend à réduirela place <strong>de</strong> l’actif physique et promouvoir l’actif dématérialisé.<strong>Le</strong> financement d’un actif « <strong>de</strong> consommation »Artti Aurasmaa, CEO, 3 Step IT Group(1) <strong>Le</strong> logiciel en tant que service - ou en anglais le Software as aService (SaaS) - est un concept qui propose un abonnement à unlogiciel plutôt que l’achat d’une licence. Avec le développement<strong>de</strong>s technologies <strong>de</strong> l’information et <strong>de</strong> la communication, <strong>de</strong> plusen plus d’offres SaaS se font au travers du web. Il n’y a alors plusbesoin d’installer une application <strong>de</strong> bureau, mais d’utiliser unprogramme client-serveur.<strong>Le</strong> logiciel en tant que service (SaaS) est un modèle <strong>de</strong> livraison<strong>de</strong> solution où l’éditeur/constructeur fournit <strong>de</strong>s moyens et où lefournisseur <strong>de</strong> service propose (généralement dans le cadre d’unabonnement récurrent) la fonctionnalité intégrée et gérée à ses clientsqui l’utiliseront. <strong>Le</strong>s clients ne paient pas pour possé<strong>de</strong>r le logicielen lui-même mais plutôt pour l’utiliser.95Rapport ASF – juin 2013
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