jeudi - Commission d'étude sur la gestion de la forêt publique ...

jeudi
d'arriver à un consensus et de pouvoir communiquer sans nécessairement
brimer le droit des autres, sans nécessairement appliquer des
nouvelles contraintes. Le projet de forêt habitée fonctionne bien à l'intérieur
d'un projet témoin. Lorsqu'on veut l'exporter, on se frappe aux contraintes qu'a
soulevées monsieur Girard. C'est un défi énorme et c'est ça la gestion intégrée auxquelles
les ressources font face. Qui va payer, combien il faut payer? Qui va verser la
compensation à l'industrie ou aux bénévoles? C'est beau le concept de forêt habitée mais
essayez-donc de sortir de la frontière de la CGFA… Si on fait de la gestion intégrée des ressources et
que le mandataire d'une aire commune et qu'il nous demande de ne pas couper ce secteur-là de cette
façon, c'est là que ça se complique. À l'intérieur des projets de forêt habitée, on a développé une
expertise en concertation. Cette expertise peut-être mis au profit à l'extérieur des limites de projets de
forêt habitée. Quand on fait de la gestion intégrée des ressources, c'est de la gestion de processus, c'est
de la gestion d'opinions des individus et ça prend des compétences pour faire ça. Ce n'est pas n'importe
qui qui est capable d'obtenir un consensus d'individus ou d'entreprise. Les gens de la forêt habitée ont
développé une expertise dans le domaine et c'est ça qui peut devenir exportable. Attaquez-vous pas au
CAAF, attaquez-vous aux lots intramunicipaux où il n'y a pas de droits consentis jusqu'à maintenant. Vous
allez avoir beaucoup plus de facilité.
Corporation de Gestion de la Forêt de l'Aigle
19 Octobre: Atelier-2
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