jeudi - Commission d'étude sur la gestion de la forêt publique ...

promoteurs. L'autre explication possible c'est que la participation du public
est en fait un fourre-tout qui va de l'information à la cogestion. Donc cet
aspect est peut-être mal défini dans l'esprit des intervenants.
Les écarts qui ont été observés entre la situation idéale et la situation réelle vécue
sont notamment:
• L'état des connaissances, on manque de ressources et de connaissances.
• La distribution inéquitable des retombées des projets.
• La représentativité des intervenants est encore vécue difficilement. La présence de tous les intervenants
importants n'est pas acquise.
• On a de la difficulté à connaître les besoins collectifs de la communauté et donc à les rencontrer.
• L'implication des gouvernements provincial et municipaux est difficile dans plusieurs projets. Leur
gestion manque de souplesse et leur implication est déficiente.
Une conclusion qui ressort de la recherche c'est qu'il existe une vision commune de l'ensemble des
intervenants. Il existe également un écart entre l'idéal et la réalité il y a des faiblesses sur lesquelles il
faut travailler pour atteindre l'idéal.
Panéliste Membre de l’assemblée
mercredi
18 Octobre
PÉRIODE DE DISCUSSION AVEC LES MEMBRES DE L'ASSEMBLÉE
M. Paiement, Service canadien des forêts: Est-ce que les droits acquis ne devaient pas être
respectés? N'est-ce pas là une contrainte aux projets?
Mme Nancy Gélinas, Université de Moncton: Bien sûr, dans les projets, il fallait respecter les droits
acquis, mais je n'ai pas été en mesure d'identifier lesquels les intervenants parlaient quand ils
répondaient au questionnaire. Donc, je ne peux dire s'il y avait des droits à respecter et si c'était des
droits fauniques, forestiers, etc. Mais c'est sûr qu'il fallait respecter les droits plutôt que faire la chicane.
Corporation de Gestion de la Forêt de l'Aigle
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