les ruines - Notes du mont Royal

2o6 LES RUINES.
par celui d'un font** ayant les pieds Uèt et jointe,
pour signifier Vexistence immuable; euveloppé d'un
manteau de toutes le* couleurs, comme le spectacle
de la nature, et portant sur sa tête une sphère d'or,
emblème de la sphère des étoiles : ou par celui d'un
autre homme quelquefois assis sur la fleur du lotos
portée sur l'abîme des eaux, quelquefois couché
sur une pile de douée correaug, figurant les douce
signes célestes. Et voilà, Indiens, Japonais, Siamois,
Tibétains, Chinois! la théologie qui, fondée par lea
Egyptiens, s'est transmise et gardée chez TOUS dans
lès tableaux que TOUS tracez de Brahtna, de Beddou,
de Sommonmoodom -, à'Omito : voilà même, hébreux
et chrétiens i l'opinion dont TOUS ares conservé une
parcelle dans votre dieu, souffle porté sur les eaus,
par une allusion au ce»*, qui, à l'origine du monde,
c'est-à-dire au départ des sphère» du signe du cancer,
annonçait l'inondation du Nil, et semblait préparer
la création.
J VII. Septième système. Culte de F âme du monde,
c'est-à-dire de l'élément du feu, principe vital de
Funivers.
i
• m Mais d'autres, répugnant à cette idée d'un être
à la fois effet et eauee-, agent et patient, et rassemblant
en une même nature des natures contraires,
distinguèrent le principe moteur, de la chose «MM;
et, posant que la matière était inerte en eUe-mènu,
il» prétendirent que> ses propriétés lui étaient com-