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Recherches sur le Rite Ecossais Ancien et Accepté précédé d'un ...

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Stm LE RITE ÉCOSSAIS ANCIEN ACCEPTÉ 293<br />

qualité & Administrateur Général (212), <strong>et</strong> à l'intéresser<br />

au réveil des opérations de la Grande Loge [b, 46 ;<br />

AG j, 102].<br />

de la Compagnie des Gens-d'armes du Jioi, Mestro do camp de Cava<strong>le</strong>rie.<br />

Sans doute Henri Louis Marie de Kohan, prince de Guemené, né à Paris <strong>le</strong> 31<br />

Août 1715, mort en Al<strong>le</strong>magne, après 1807, fils de Ju<strong>le</strong>s Hercu<strong>le</strong> Mériadec de<br />

Rotan-Guemené, car noua trouvons <strong>sur</strong> lui certains renseignemens qui concordent<br />

avec <strong>le</strong>s titres qu'il porte dans <strong>le</strong> tab<strong>le</strong>au ci-dessus : il fut pourvu en<br />

1707, a titre de <strong>sur</strong>vivance, do la eharg'e de Capitaine-lieutenant des gendarmes<br />

de la garde <strong>et</strong> devint, <strong>le</strong> 20 Août 1775, Grand Chambellan de Prance. Ce Kohan<br />

est célèbre par une banqueroute dont <strong>le</strong> bilan, en Octobre 1782, se clôturait par<br />

un passif do 33 millions. —• Un autre P.'. du même nom, <strong>le</strong> chevalier Victor do<br />

Rohan, princo do Guemené, membre de L'Heureuse Rencontre, de Brest, visita<br />

souvent, pendant un séjour qu'il fit, en 1785, à l'î<strong>le</strong> de Prance, la loge Za<br />

Trip<strong>le</strong> Espérance, laquel<strong>le</strong>, vu <strong>le</strong> mauvais état de son certificat, lui on remit un<br />

autro. Sa première visite est du 17 Novembre 1785.<br />

Orateur. — Le F.'. Paul Etienne Auguste de Beauvilliers, comte de Buzançois,<br />

Grand d'Espagne de la première classe, Colonel d'infanterie.<br />

[Voir page 106, No. 97]. — Buzançois [Busanliacum) était une p<strong>et</strong>ite vil<strong>le</strong> du<br />

Berry, une ancienne seigneurie.<br />

Secrétaire. — Le P.'. due de Lauzun, Colonel d'infanterie. Capitaine aux Gardes<br />

Françaises.<br />

Sans doute Armand Louis do Gontaut, d'abord duc de Lauzun, puis duc deBiron,<br />

né à Paris, <strong>le</strong> 13 Avril 1747, guillotiné <strong>le</strong> 31 Décembre 1793.<br />

Trésorier. — Le F.-. Pierre Catherine Giraud-Destours, Chevalier de l'Ordre Royal<br />

<strong>et</strong> Militaire de Saint-Louis, Lieutenant-Colonel d'infanterie.<br />

Maître d'hôtel. — Le P. - . Adrien Jean Char<strong>le</strong>s, Chevalier de Launey, Colonel<br />

d'infanterie. Officier major des Gardes Françaises.<br />

Maître des Ceremonies. — Le P.*. Louis Jean Baptiste, marquis de Seignelay,<br />

Bri; _ _ _ , lu régiment de Champagne.<br />

<strong>Ancien</strong> Grand Ollicier de la Grande Loge de France en 1705 <strong>et</strong> fondateur, en 1771,<br />

de 1' Ordre de la Persévérance [AA, 380].<br />

Grand. Expert. — Le P.-, marquis de Pitz-James, Brigadier des Armées du Roi,<br />

Colonel d'infanterie.<br />

MEMBRES<br />

Les PP.-. vicomte-d'Adémar, — marquis de Barbantanne, — S. A. R. de Bourbon,<br />

prince de Condé, — comte de Chabot, •— duc de Coigny, — De la Faye, — chevalicr<br />

de Durfort, -— duc de Fronsac, — marquis de Gamaehes, — marquis de Laval,<br />

—• prince de Ligne, — Jean Br<strong>et</strong>agne, duc de la Trémoil<strong>le</strong> <strong>et</strong> de Thouars, prince<br />

de Tarente, pair de France, maréchal des camps <strong>et</strong> aimées du Roi, — prince de<br />

Montbazon, — prince de Nassau, — comte d'Osmont, — comte d'Ouessant, — comte<br />

de Périgny, — prince Pignatelli, Grand d'Espagne de la première classe, mestre de<br />

camp de dragons, (François Pignatelli, duc de Strongoli, né en 1732, mort à Nap<strong>le</strong>s<br />

en 1812, qui avait reçu en 1770, de la (xrande Loge d Ang<strong>le</strong>terre des constitutions<br />

comme Grand-Maître des loges du Royaume de Nap<strong>le</strong>s <strong>et</strong> de Sici<strong>le</strong>) [kb, 240 ; p, 203]<br />

— comte de Rouault, — Anne Emilie Jean Baptiste, vicomte de Rouault, Colonel<br />

d'infanterie, — <strong>et</strong> Varenne de Béost.<br />

VABENNE (Jacques), seigneur de BÉOST, avocat français <strong>et</strong> membre correspondant<br />

do l'Académie des Sciences, né à Dijon, vers 1710, mort à Paris vers 1780.<br />

Nommé, en 1752, Secrétaire en chef des États de Bourgogne, Varenne de Béost,<br />

homme <strong>d'un</strong> mérite rare, soutint <strong>le</strong> pouvoir administratif contre <strong>le</strong>s prétentions<br />

de la magistrature, ce qui lui valut d'être persécuté par <strong>le</strong> Par<strong>le</strong>ment de Dijon<br />

qui fit brû<strong>le</strong>r ses mémoires par <strong>le</strong> bourreau <strong>et</strong> lit publier, <strong>le</strong> 7 Juin 1762, une<br />

défense "d'entr<strong>et</strong>enir, sous <strong>le</strong>s peines <strong>le</strong>s plus sévères, toute liaison avec aucun<br />

" de ceux qui portaient son nom." Son emploi ayant été supprimé à la suite<br />

de ce conflit, Varenne de Béost obtint, en 1706, par la protection du prince de<br />

Condé, la place de Receveur Général des Finances des États de Br<strong>et</strong>agne. Il<br />

était fils de Claude Varenne, célèbre, avocat au Par<strong>le</strong>ment de Dijon. {Nouvel<strong>le</strong><br />

Biographie Généra<strong>le</strong> deFirmin Didot). —Un autre Varenne figiu'e en 1787 parmi<br />

<strong>le</strong>s députés au Grand Orient (voir page 109, No. 251) : — VAUENNE DE PENILLE<br />

(P. G.)., né en Bresse, s'occupa pendant toute sa vie de recherches <strong>sur</strong> l'Agriculture<br />

<strong>et</strong> en publia <strong>le</strong> résultat dans plusieurs ouvrages. Malgré ses vertus <strong>et</strong><br />

ses ta<strong>le</strong>nts, il fut traduit devant <strong>le</strong> tribunal révolutionnaire de Lyon, qui <strong>le</strong><br />

condamna à mort comme fédéraliste. Il subit <strong>le</strong> supplice avec courage (1794)<br />

— Di<strong>et</strong>, oncyclopédijue usuel de Ch. Saint Laurent, 2o Edit. 1S43.<br />

(213) il résulte, dit <strong>le</strong> P.'. Jyvmust, <strong>d'un</strong>e pièce uuthaitiquo émanée du duc do

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