12.07.2015 Views

estimation des effets propres des mesures agroenvironnementales ...

estimation des effets propres des mesures agroenvironnementales ...

estimation des effets propres des mesures agroenvironnementales ...

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

Chapitre 4. Les données utilisées4.1.1 Les variables de résultatDeux bases de données produites par le SCEES contenant <strong>des</strong> informations permettant demesurer les pratiques agricoles susceptibles d’avoir <strong>des</strong> conséquences environnementales sontutilisées dans ce qui suit : l’Enquête sur les Pratiques Culturales, réalisée en 2001 et 2006 (PK2001 et 2006) et l’Enquête sur la Structure <strong>des</strong> Exploitations Agricoles réalisée en 2003 et 2005(STRU 2003 et 2005).4.1.1.1 Les Enquêtes sur les Pratiques CulturalesLes enquêtes sur les pratiques culturales <strong>des</strong> exploitations agricoles ont été réalisées en1994, 2001 et 2006. Le mode d’échantillonnage <strong>des</strong> enquêtes 2001 et 2006 est présenté dansSCEES (2001) et SCEES (2006). Etant concentrées sur un nombre restreint de cultures, ces enquêtesne couvrent pas l’ensemble <strong>des</strong> terres agricoles. Chacune <strong>des</strong> cultures n’est enquêtéeque dans les départements où elle occupe une surface supérieure à un certain seuil. Lescultures enquêtées et la part de la SAU totale pour laquelle les surfaces enquêtées sont représentativessont présentées dans le tableau 4.1. Les céréales et oléo-protéagineux sont largementreprésentés. L’univers de l’enquête couvre respectivement 83 et 84 % de la surface enoléo-protéagineux (SCOP) nationale 1 en 2001 et 2006. Les cultures industrielles et les prairiestemporaires sont également représentées. Au total, respectivement 78 et 75 % <strong>des</strong> terres arablesappartiennent à l’univers de l’enquête en 2001 et 2006. Le faible taux de sondage <strong>des</strong> prairiespermanentes implique que l’univers de l’enquête ne couvre respectivement que 59 et 56 % dela SAU <strong>des</strong> exploitations en 2001 et 2006. Ce faible taux de sondage est la conséquence de lacomplexité <strong>des</strong> enquêtes sur les pratiques sur prairies permanentes, déjà relevée lors de l’enquêteréalisée sur les prairies en 1998. Par ailleurs, l’enquête PK étant <strong>des</strong>tinée au suivi de ladirective nitrate, ses concepteurs ont choisi de se focaliser sur la partie la plus intensive <strong>des</strong>prairies permantes : les prairies de l’arc nord-ouest de la France (Bretagne, Pays de Loire, Normandie,Picardie et Nord Pas de Calais).En pratique, l’échantillon de l’enquête PK est tiré à partir de la base de sondage utiliséepour l’enquête sur l’utilisation du sol (TERUTI en 2001 et TERUTI-LUCAS en 2006). Cette baseest composée d’un ensemble de points positionnés sur <strong>des</strong> segments en 2006 (photographiesaériennes en 2001). Le tirage se déroule en deux étapes : une sélection de segments, puis unesélection de points sur chaque segment. L’enquêteur se rend sur les points sélectionnés et neles inclut dans le champs de l’enquête que s’ils portent l’une <strong>des</strong> cultures qui doit être enquêtéedans le département. Il est important de souligner que l’échantillon <strong>des</strong> parcelles en 2001 estdifférent de l’échantillon en 2006.1. Le maïs fourrage est compris dans le calcul de la SCOP.34

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!