Bibliographie von Texten zur Physiognomik, 400 v. Chr. - 1999: 561 ...

Buffon 1749:
Georges - Louis Leclerc, Comte de Buffon [1707 - 1788], « Histoire naturelle, générale et particulière.
[...] avec la description du cabinet du Roy.» Paris, de l impr. Royale, 1749 - 1804 - 1804. 44 Bde. 4°,
Taf. ; Bd. 1 - 3, « Histoire naturelle de l' homme.» Paris 1749; Reprint Paris 1971. (Bd. 2).
Affekte, Passionen nach Merkmalen geordnet, Bd. 2, S. 532 - 534
"Comme tout les passions sont des mouvemens de l' âme, la plupart relatifs aux impressions des
sens, elles peuvent être exprimées par les mouvemens du corps, & sur - tout par ceux du visage; on
peut juger de ce qui passe à l' intérieur par l' action extérieur, & connoître à l' inspection des
Changemens du visage, la situation actuelle de l' âme; mais comme l' âme n' a point de forme qui
peut être relative à aucune forme du visage, on ne peut pas la juger par la figure du corps ou par la
forme du visage [...] on ne doit pas juger du bon ou du mauvais naturel d' une personne par les traits
de son visage, car ces traits n' ont aucun rapport avec la nature de l' âme, aucune analogie sur
laquelle on puisse fonder des conjectures raisonnables."
S. 38: "Wie denn die Seele überhaupt keine Gestalt hat, die etwa in einer stofflichen Form
Entsprechungen finden könnte, so kann man denn auch nicht nach Körpergestalt oder Gesichtsform
ein Urteil über sie fällen [...]. Es hat wohl zu allen Zeiten Männer gegeben, die aus ihren vorgeblichen
Kenntnissen der Physiognomik eine divinatorische Wissenschaft machen wollten, dennoch ist ganz
deutlich, daß die Gestalt von Nase, Mund und anderen Merkmalen der Seele am Naturell der Person
nicht mehr zu ändern vermag als etwa die Länge oder Dicke der Gliedmaßen am Denken."
Exempl.: Köln, UB, Sign.: YY B 44 23.
Lit.: Lavater 1775:IV, 331 ff; Courtine (1987) 1996:215; Courtine (1988) 1992:77 (Ablehnung der
Physiognomik und des Tier - Vergleichs); Getrevi 1991:111 - 114 (4. Auflage 1752, bricht mit
mechanistischem, versucht ein biologisch - vitalistisches Modell); Kirchner 1991:310 (an Parsons
1747 orientiert, wörtlich in die Encyclopédie 1765 übernommen, unterscheidet zwischen spontanem
und willentlichem Ausdruck); Le Breton 1992:89; Campe in: Behrens 1993:169; Caroli 1995:265;
Magli 1995:297 f (bei lebenden Wesen liegen Differenzen auf der Oberfläche, während das Innere
gleichförmig ist), 330 (Unterscheidung von Physiognomik und Pathognomik, aber ob der Temporalität
nicht erfaßbar, S. 305).
Bibl.: Quérard 1:557.
Buffon 1750:
Georges - Louis Leclerc, Comte de Buffon, « De l' homme. Histoire naturelle. Introd. de Jean
Rostand. = Coll. Prestige de l' Académie française. [1750] Présentation et notes de Michèle Duchet.»
Paris, Vialetay, 1971. 8°, XX, 339 SS., Taf. « [...]» Présentation et notes de Michèle Duchet.» Paris,
Vialetay, 1971. 8°, XX, 339 SS., Taf.
bes. S. 39, 110 - 111.
Lit.: Campe 1990:445, 447, 451 (Rezeption bei Lichtenberg), 557; Schmölders 1995:243; Campe
1996:614.
Bibl.: LB 1971:113.
Buffon 1785:
Georges - Louis Leclerc, Comte de Buffon [1707 - 1788], « Histoire Naturelle.» Paris 1785, Bd. 4, S.
224: "Comme toutes les passions sont des mouvemens de l' âme, la plupart relatifs aux impressions
des sens, elles peu vent être exprimées par les mouvemens du corps, et surtout par ceux du visage;
on peut juger de ce qui se passe à l' intérieur par l' action extérieur, et connoître à l' inspection des
changemens du visage, la situation actuelle de l' âme; mais comme l' âme n' a point de forme, qui
puisse être relative à acune forme matérielle, on ne peut pas la juger par la figure du corps ou par la
forme du visage; un corps mal - fait peut renfermer une fort belle ame, et l' on ne doit pas juger du
bon ou du mauvais naturel d' [...] personne par les traits de son visage; car ces traits n' ont aucune
rapport avec la nature de l' âme, aucune analogie sur laquelle ou puisse fonder des conjectures
raissonnables."
Lit.: Pernety 1776; Schmölders 1995:193 - 194 (Vom Menschen, 1750).
Bibl.: Cat.Gen 21:70; Quérard 1700 - 1826 1:557.
Bulle 1586:
Bulle Sixtus V gegen die Astrologie und die divinatorischen Wissenschaften. In: « Magnum bullarium
romanum.» tom. 7, Roma 1586, S. 646 - 650.