Le capital de la société mère ne doit pas être détenu directement ou indirectement, à 95 % au moins par une autre personne mora<strong>les</strong>oumise à l’impôt sur <strong>les</strong> sociétés. Ainsi, PREMIER INVESTISSEMENT, qui contrôle la majeure partie du capital et des droits devote de LNC, détient moins de 95 % de LNC.Le régime de l’intégration fiscale est optionnel et lorsqu’il est exercé, il lie l’ensemble des sociétés du Groupe qui l’ont exercé pourcinq ans, renouvelab<strong>les</strong> de cinq ans en cinq ans.Dans un premier temps, chaque société membre du Groupe, y compris la société mère, détermine son propre résultat fiscal tel qu’ildoit être retenu dans le résultat d’ensemble, qu’il s’agisse du résultat ordinaire ou des plus-values ou moins-values d’actifs.Des retraitements fiscaux par ajustements doivent ensuite être opérés pour obtenir le résultat d’ensemble.Les provisions sur <strong>les</strong> créances intra-groupe, <strong>les</strong> subventions, <strong>les</strong> aides financières de toute nature, abandons de créances, provisionspour dépréciations d’éléments d’actif acquis auprès d’autres sociétés du Groupe, <strong>les</strong> plus ou moins-values pour <strong>les</strong> cessions portantsur des immobili<strong>sa</strong>tions ou titres du portefeuille, notamment, sont neutralisés pour la détermination du résultat d’ensemble.Si certaines filia<strong>les</strong> du Groupe réalisent des déficits fiscaux reportab<strong>les</strong> pendant la période de validité de l’option d’intégrationfiscale, ces déficits sont systématiquement transférés à la société mère, qui en bénéficie seule.6.6.5.3 Information financière des SCI ou SNC de programmes françaisLes sociétés d’opérations françaises du Groupe n’ont pas d’obligation particulière en matière d’établissement de leurs compte<strong>sa</strong>nnuels, tant qu’el<strong>les</strong> ne dépassent pas deux des trois seuils prévus par la loi, à <strong>sa</strong>voir employer 50 <strong>sa</strong>lariés, réaliser 3,1 millionsd’euros de chiffre d’affaires annuel, ou présenter 1,55 million d’euros de total de bilan en fin d’exercice.Toutes <strong>les</strong> sociétés d’opérations du Groupe établissent des comptes annuels et LNC, en <strong>sa</strong> qualité de gérante établit systématiquementun Rapport de gestion, même s’il arrive que <strong>les</strong> seuils prévus par la loi ne soient pas atteints.Toutes <strong>les</strong> sociétés d’opérations du Groupe tiennent une comptabilité commerciale. Lorsque deux des trois seuils précités sontatteints, il est procédé à la désignation, conformément à la loi, d’un Commis<strong>sa</strong>ire aux comptes.6.6.5.4 Incitations fisca<strong>les</strong>Les programmes immobiliers du Groupe en France ou à l’étranger, sont majoritairement conçus pour <strong>sa</strong>tisfaire le marché résidentielpour le futur u<strong>sa</strong>ge des propriétaires, et non pas spécialement le marché de l’investissement locatif.D’une manière générale, le Groupe ne cherche donc pas spécialement à tirer avantage des incitations fisca<strong>les</strong> pour augmenter ses prixde vente, <strong>les</strong>quels ont toujours été fixés en fonction des prix du marché local.Par ailleurs, il n’existe pas en Espagne, au Portugal ou en Indonésie, d’incitations fisca<strong>les</strong> accordées aux particuliers pour l’achatd’un logement neuf, qu’il s’agisse d’un investissement locatif ou d’un achat pour u<strong>sa</strong>ge personnel.Dispositifs spécifiques d’incitations fisca<strong>les</strong> en France au titre des revenus fonciersLes dispositifs français d’incitation fiscale à l’achat de logements neufs ont connu plusieurs modifications.Ainsi, aux amortissements PERISSOL et BESSON, dont <strong>les</strong> régimes ont pris fin respectivement le 1 er septembre 1999 et le 3 avril2003, ont succédé <strong>les</strong> dispositifs ROBIEN depuis le 1er janvier 2003, modifié à effet du 1 er septembre 2006 et ayant pris fin le 31décembre 2009, et le dispositif BORLOO entré en vigueur le 1 er septembre 2006. À compter du 1 er janvier 2009, un nouveaudispositif vi<strong>sa</strong>nt à encourager l’investissement locatif a vu le jour : la loi SCELLIER, cumulable, s’il s’agit du « Scellierintermédiaire », avec le « BORLOO neuf » et remplaçant depuis le 1 er janvier 2010 le ROBIEN.Le Robien 2006À effet du 1 er septembre 2006, l’amortissement du prix d’achat TTC que l’investisseur particulier peut pratiquer a été réduit de 12 à9 ans, pour correspondre à 6 % pendant <strong>les</strong> 7 premières années et à 4 % <strong>les</strong> 2 années suivantes, soit un amortissement total de 50 %sur 9 ans, au lieu de 65 % sur 12 ans pour le premier régime Robien.Aucun plafond de ressources des locataires n’est exigé, mais 4 zones de plafond de loyer mensuel sont définies (pour 2010 : zone A à21,72 euros le m 2 , zone B1 à 15,10 euros le m 2 , zone B2 à 12,35 euros le m 2 , zone C à 9,05 euros le m 2 ).Il s’y ajoute que l’abattement forfaitaire de 6 %, en régime Robien 2003 à 2005, sur <strong>les</strong> revenus bruts fonciers des particuliers, a étésupprimé et remplacé par une déductibilité totale des frais réels exposés par le propriétaire.Ce régime a cessé de s’appliquer aux logements acquis à compter du 1 er janvier 2010.Le dispositif BorlooLe dispositif « BORLOO neuf » est réservé aux contribuab<strong>les</strong> ayant opté pour l’amortissement « ROBIEN », ou pour <strong>les</strong>quels laréduction d’impôt « SCELLIER » est applicable. Mais il prévoit des conditions de loyers plus restrictives applicab<strong>les</strong> à des locataires<strong>sa</strong>tisfai<strong>sa</strong>nt à certaines conditions de ressources, et qui ne soient ni ascendants ni descendants du propriétaire. Il est entré en vigueurle 1 er septembre 2006.Document de Référence 2010 – Les Nouveaux Constructeurs -49-
Il permet de compléter la déduction ROBIEN ou la réduction SCELLIER (<strong>sa</strong>uf en zone dite « C »), le propriétaire bénéficiant :- d’une déduction spécifique de 30% sur <strong>les</strong> revenus bruts fonciers, pendant la période d’engagement de location- d’un complément de déduction au titre de l’amortissement ROBIEN, égal à 2,5% par an à compter de la dixième année sil’engagement de location de 9 ans se poursuit pendant 3 ou 6 ans, ce qui peut porter la déduction totale « ROBIEN » de 50% à57,5% ou 65% de la valeur du logement- ou d’un complément de réduction d’impôt annuelle « SCELLIER » égal à 2% du prix de revient du logement à compter de ladixième année si l’engagement de location de 9 ans se poursuit pendant 3 ou 6 ans, la réduction totale pouvant ainsi atteindre, pour<strong>les</strong> logements acquis en 2010, 31 % voire 37% de la valeur du logementEn contrepartie, l’investisseur doit :• louer obligatoirement et au minimum neuf (9) ans, le logement à titre de résidence principale pour le locataire ;• respecter des plafonds de loyer inférieurs aux 4/5 es de ceux du marché du neuf sur quatre (4) zones (pour 2010 :zone A ou 1 à17,38 euros le m 2 , zone B1 à 12,08 euros le m 2 , zone B2 à 9,88 euros le m 2 , zone C à 7,24 euros le m 2 ) ;• prendre en compte <strong>les</strong> plafonds de ressources des locataires à la date de conclusion du bail, selon la composition de leur famille,qui sont fixés par décret.Le dispositif ScellierCe dispositif, qui a remplacé à compter du 1 er janvier 2010 le dispositif ROBIEN et qui pouvait se cumuler avec le « BORLOOneuf » en 2009, permet non plus une déduction du revenu impo<strong>sa</strong>ble, sous forme d’amortissement, mais une réduction temporaired’impôt sur le revenu ; à ce titre, la réduction d’impôt « SCELLIER » est prise en compte pour le calcul du plafonnement global des« niches fisca<strong>les</strong> », qui ne peuvent procurer une réduction du montant de l’impôt sur le revenu excédant, en 2010 pour <strong>les</strong>investissements initiés à compter de cette date, 20.000 € majorés de 8% du revenu impo<strong>sa</strong>ble ; il est entré en application le 1 er janvier2009.Il s’adresse à tous <strong>les</strong> contribuab<strong>les</strong> fiscalement domiciliés en France soumis à l’impôt sur <strong>les</strong> revenus fonciers, quelle que soit leurtranche marginale d’imposition, qui investissent, entre 2009 et 2012, dans un logement neuf qu’ils s’engagent à louer nu à l’u<strong>sa</strong>ged’habitation principale à une personne autre qu’un membre du foyer fiscal pendant une durée minimale de neuf ans. Les plafonds deloyer à respecter sont relevés chaque année (pour 2010 : zone A à 21,72 euros le m 2 , zone B1 à 15,10 euros le m 2 , zone B2 ou 3 à12,35 euros le m 2 ) .Ce dispositif permet une réduction d’impôt, à compter de l’année d’achèvement du logement ou de son acquisition si elle estpostérieure, dont le taux est quant à lui fixé en fonction de l’année de réali<strong>sa</strong>tion de l’investissement (année de signature de l’actenotarié d’acquisition). Cette réduction est égale en Métropole à 25 %, pour <strong>les</strong> logements acquis en 2009 et 2010, puis, compte tenude la réduction générale de 10% des réductions d’impôts prévue par la loi de finances pour 2011, 13 % en 2011 et 10% en 2012 (<strong>les</strong>taux de réduction étant toutefois majorées de 9 points, soit 22 % pour ceux acquis en 2011 et 19 % en 2012, s’ils bénéficient du label« bâtiment basse consommation énergétique, BBC 2005 »).Ces taux s’appliquent au prix de revient du logement, dans la limite d’un seul logement par an et de 300 000 euros, la réductiond’impôt étant répartie de façon linéaire sur <strong>les</strong> 9 années durant <strong>les</strong>quel<strong>les</strong> l’investisseur s’engage à louer le bien.En application de l’article 199 septvicies, IV-6 e al. du CGI, le solde de la réduction d’impôt imputable qui, au titre d’une annéed’imposition, excède l’impôt dû par le contribuable, peut être imputé sur l’impôt sur le revenu dû au titre des années suivantesjusqu’à la sixième inclusivement.Un contribuable acquérant un logement en 2011 au prix de 300 000 euros bénéficiera donc d’une réduction d’impôt de 39 000 euros,étalée sur neuf ans à raison de 4 333 euros par an.Si l’investissement est réalisé dans le cadre d’une société non soumise à l’impôt sur <strong>les</strong> sociétés, telle qu’une SCI, <strong>les</strong> associéspeuvent bénéficier à concurrence de leur quote part de droits sociaux de cette réduction à condition de prendre l’engagement deconserver leurs parts jusqu’au terme de l’engagement de location.Le bénéfice du dispositif est placé sous <strong>les</strong> mêmes conditions que le régime dit Robien.La nouvelle réduction d’impôt n’est pas applicable si la promesse d’achat ou une promesse synallagmatique a été conclue avant le1 er janvier 2009.Les dispositifs d’amortissement Robien et de réduction d’impôt Scellier ne pouvaient être cumulés en 2010. En revanche, laréduction d’impôt « Scellier intermédiaire » (c'est-à-dire en cas de conditions de loyers plus restrictives tel<strong>les</strong> que cel<strong>les</strong> prévues dansle régime « Borloo neuf ») est cumulable avec la déduction spécifique de 30 % sur <strong>les</strong> revenus fonciers, et au même complément deréduction d’impôt de 2% que celui prévu dans le cadre du dispositif « Borloo neuf », à la seule exception de locations en zone « C »du « BORLOO neuf ».Document de Référence 2010 – Les Nouveaux Constructeurs -50-
- Page 1: LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS SASocié
- Page 4 and 5: L Liste des informations publiées
- Page 6 and 7: 1 Personnes responsables du documen
- Page 8 and 9: 3 Informations financières sélect
- Page 10 and 11: 4 Facteurs de risqueLa Société a
- Page 12 and 13: 4.2.1.2 Risques liés à l’Espagn
- Page 14 and 15: L’encours des emprunts du Groupe
- Page 16 and 17: 4.4.3 Contraintes légales et régl
- Page 18 and 19: Il en va de même pour la signature
- Page 20 and 21: • la responsabilité de la Socié
- Page 22 and 23: 5.2 Investissements5.2.1 Principaux
- Page 24 and 25: Ventes nettes de logements neufs en
- Page 26 and 27: Année/trimestre 09.4 10.1 10.2 10.
- Page 28 and 29: Marché de L'Emploi en EspagneSourc
- Page 30 and 31: Variation du PIB (en %)%4,0 3,62,00
- Page 32 and 33: Les principales métropoles alleman
- Page 34 and 35: 6.3 Description des activités du G
- Page 36 and 37: 6.3.1.5 Implantations géographique
- Page 38 and 39: • en France, par l’intermédiai
- Page 40 and 41: Modes de commercialisationLe Groupe
- Page 42 and 43: • nantissement des droits sociaux
- Page 44 and 45: À ce titre, l’essentiel du chiff
- Page 46 and 47: Un autre indicateur favorable du ma
- Page 48 and 49: 6.6.2.2 Recours des tiers contre le
- Page 50 and 51: 6.6.4 ResponsabilitéLe Groupe a so
- Page 54 and 55: 7. Organigramme et principales fili
- Page 56 and 57: 7.2 Tableau des principales filiale
- Page 58 and 59: LNC entretient d’étroites relati
- Page 60 and 61: 8.1.2 Immeubles de ZAPFLes sociét
- Page 62 and 63: 10 Trésorerie et capitaux10.1 Info
- Page 64 and 65: 12 Informations sur les tendances12
- Page 66 and 67: 14 Organes de direction et de surve
- Page 68 and 69: Anne-Charlotte RousseauDate de prem
- Page 70 and 71: - Olivier Mitterrand, président ;-
- Page 72 and 73: Les Plans en cours sont les suivant
- Page 74 and 75: 16 Fonctionnement des organes d’a
- Page 76 and 77: 16.2.5 Convention avec Monsieur Hen
- Page 78 and 79: Seront présumés indépendants les
- Page 80 and 81: 17.2 Participations des mandataires
- Page 82 and 83: Historique des attributions d’opt
- Page 84 and 85: 18 Principaux actionnaires18.1 Acti
- Page 86 and 87: La fusion ou la scission de la Soci
- Page 88 and 89: En décembre 2010, le Conseil d’a
- Page 90 and 91: II.Justification des appréciations
- Page 92 and 93: Etat des gains et pertes comptabili
- Page 94 and 95: Tableau de variation des capitaux p
- Page 96 and 97: * L’impact du mouvement de périm
- Page 98 and 99: - Amendement d’IFRIC 14 relatif a
- Page 100 and 101: En France, du fait de la législati
- Page 102 and 103:
Les immobilisations incorporelles s
- Page 104 and 105:
1.3.13 Trésorerie et équivalents
- Page 106 and 107:
1.3.22 Conversion des monnaies étr
- Page 108 and 109:
2.3 Périmètre de consolidationLa
- Page 110 and 111:
3.2 Coût de l’endettement et aut
- Page 112 and 113:
3.3.3 Preuve d’impôt(en milliers
- Page 114 and 115:
Le compte de résultat détaillé d
- Page 116 and 117:
La période d’évaluation de l’
- Page 118 and 119:
Amortissements(en milliers d'euros)
- Page 120 and 121:
4.4 Autres actifs financiers évalu
- Page 122 and 123:
4.5.2 Détails des stocks étranger
- Page 124 and 125:
4.7 Contrats de construction et VEF
- Page 126 and 127:
5 Note d’information sur l’éta
- Page 128 and 129:
5.2.3 Actions gratuitesL’Assembl
- Page 130 and 131:
5.4 Engagements avec le personnelLe
- Page 132 and 133:
Variations du passif netcomptabilis
- Page 134 and 135:
Il s’agit de crédits affectés
- Page 136 and 137:
Allemagne (hors Zapf) : activité d
- Page 138 and 139:
La politique de gestion des risques
- Page 140 and 141:
Les engagements souscrits au titre
- Page 142 and 143:
31.12.2009 En SalairesEuros bruts *
- Page 144 and 145:
8 Périmètre de consolidation au 3
- Page 146 and 147:
N° NOM SOCIETE SIEGE N° SIRENCont
- Page 148 and 149:
N° NOM SOCIETE SIEGE N° SIRENCont
- Page 150 and 151:
N° NOM SOCIETE SIEGE N° SIRENCont
- Page 152 and 153:
Il n’existe pas d’autre procéd
- Page 154 and 155:
21 Informations complémentaires co
- Page 156 and 157:
La période de conservation est fix
- Page 158 and 159:
21.1.7 Options ou accords condition
- Page 160 and 161:
À l’égard des tiers, le Directo
- Page 162 and 163:
Seront réputés présents pour le
- Page 164 and 165:
Le montant de ces acomptes ne peut
- Page 166 and 167:
Un engagement identique a été sou
- Page 168 and 169:
22 Contrats importantsCe chapitre r
- Page 170 and 171:
23 Informations provenant de tiers,
- Page 172 and 173:
25 Informations sur les participati
- Page 174 and 175:
Annexe 1 - Rapport de gestion du Di
- Page 176 and 177:
MONTANT DES RESERVATIONS - RESIDENT
- Page 178 and 179:
PORTEFEUILLE FONCIER MAITRISE AU 31
- Page 180 and 181:
CHIFFRE D’AFFAIRESVoir l’analys
- Page 182 and 183:
Du fait de l’amélioration de la
- Page 184 and 185:
i) Flux de trésorerie(En millions
- Page 186 and 187:
PremierDeutschland GmbH(Frankfurt)P
- Page 188 and 189:
6 - PRISES DE PARTICIPATIONS OU PRI
- Page 190 and 191:
Personne concernée Fonction Autres
- Page 192 and 193:
Personne concernée Fonction Autres
- Page 194 and 195:
1) pour la mission de suivi et clô
- Page 196 and 197:
Mandataires sociaux non dirigeantsM
- Page 198 and 199:
Année 2009 Année 2010Jean Taverni
- Page 200 and 201:
Ce montant résulte :- d’une part
- Page 202 and 203:
Ils sont toujours rééligibles.Nul
- Page 204 and 205:
1. management environnemental de l
- Page 206 and 207:
Les mesures de baisse des charges o
- Page 208 and 209:
Annexe 2 : Rapport du Président du
- Page 210 and 211:
Ses membres sont :- Gérard MARGIOC
- Page 212 and 213:
Les membres du Directoire sont auto
- Page 214 and 215:
- le Directeur Délégué en charge
- Page 216 and 217:
Les comptes consolidés semestriels
- Page 218 and 219:
Rapport des commissaires aux compte
- Page 220 and 221:
Annexe 3 : Rapport des Commissaires
- Page 222 and 223:
ModalitésLe Conseil de surveillanc
- Page 224 and 225:
1. Avec M. Olivier MITTERRANDNature
- Page 226 and 227:
ModalitésLe Conseil de surveillanc
- Page 228 and 229:
Annexe 1Facturation des prestations
- Page 230 and 231:
Annexe 4 : GlossaireAvancement comm
- Page 232:
Société d’opération : correspo