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La Grande Controverse par Ellen White (Version Complete)

Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profond qui est manifesté dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus essentiaux - la vérité et la liberté. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais très moderne.

Ce livre révèle un conflit aigue, répandu et profond qui est manifesté dès l’âge des ténèbres jusqu’à nos jours. Il s’agit des principes les plus essentiaux - la vérité et la liberté. Voulez-vous en connaître les raisons cachées de la mise en danger de ces valeurs ? En vous ouvrant un nouveau monde, l’auteur vous permettra de jeter un coup d’œil derrière les coulisses d’une partie de l’histoire qu’ils essaient se dissimuler - un histoire qui effectivement a modelé la contemporanéité. Il contient non seulement des révélations bouleversantes, mais également une vision encourageante de notre avenir. D'après l’auteur, le cœur de la lutte s'étend au-delà de la tentative séductrice de présenter faussement le caractère d’une guerre très ancienne mais très moderne.

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APPENDICE<br />

(a1) LES TITRES DE L’ EVEQUE DE ROME. – " Le pape est désigné <strong>par</strong> un assez grand<br />

nombre de dénominations. Autrefois, lorsqu’on s’adressait à lui, on l’appelait : Beatitudo Vestra,<br />

Magnitudo Vestra, Excellentia Vestra, Majestas Vestra. Parmi les titres les plus usités, on compte<br />

: Pontifex Maximus, Surnus Pontifex qui furent donnés jadis à des evêques et à des archevêques,<br />

Sanctitas et Sanctissime Pater (Sa Sainteté, Très Saint Père). Quant au titre de Vicaire de Jésus-<br />

Christ, il fut donné à l’évêque de Rome, puis à des évêques et à des rois, et ne fut appliqué<br />

exclusivement au pape que vers le XIIIe siécle. Enfin la célèbre formule : le Serviteur des<br />

Serviteurs de Dieu (Servus servorum Dei) se rencontre pour la première fois dans une lettre de<br />

saint Augustin. Grégoire Ier l’adopta <strong>par</strong>mi ses titres ; toutefois elle ne devint d’une application<br />

générale qu’à <strong>par</strong>tir d’innocent III, et, vers le milieu du XVe siècle, elle fut exclusivement réservée<br />

pour les bulles. " (P. <strong>La</strong>rousse, Dictionnaire Universel, art. " Papauté " , vol. XII, p. 137.)<br />

" Depuis Innocent III les papes, non contents de se faire appeler successeurs ou vicaires de<br />

saint Pierre, ou comme Gregoire VII de s’identifier avec cet apôtre, prennent le titre de „vicaires<br />

de Christ" ou „vicaires de Dieu" . „Ce que fait le pape dans l’Eglise, dit Innocent, ce n’est pas un<br />

homme qui le fait, mais Dieu lui-même <strong>par</strong> son vicaire" et cela, disent ses commentateurs, en vertu<br />

d’un coeleste arbitrium <strong>par</strong> lequel il peut changer la nature des choses, intervertir le droit, sans<br />

avoir à alléguer d’autre raison que sa volonté. ,,Personne, dit le moine Augustin Triumphus, ne<br />

peut en appeler du pape à Dieu, attendu que sa sentence est celle de Dieu même (unum<br />

consisttirium et ipsius papae et ipsius Dei). Aussi bien que le Christ, il est l’époux de 1’Eglise ; il<br />

juge tout le monde et ne peut être jugé <strong>par</strong> personne." Enfin le canoniste Zizelin ne craint pas de<br />

l’appeler Dominum Deum nostrum papam, et le poète normand Geoffroy de Visinaut de déclarer<br />

que Dieu, en créant le monde, en a divisé le gouvernement en deux <strong>par</strong>ts, le ciel pour lui, la terre<br />

pour Innocent III. " (Histoire du Christianisme depuis son origine jusqu’à nos jours, <strong>par</strong> Etienne<br />

Chastel, tome III, p. 188, 189, Paris, Fischbacher, 1385.)<br />

(a2) LE CULTE DES IMAGES. – Le culte des premières communautés Chrétiennes,<br />

dérivant immédiatement quant à ses formes de celui des synagogues, était naturellement sans<br />

images. Les chrétiens des premiers siècles raillaient volontiers les païens de la venération<br />

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