ASPECTS OF TOTAL QUALITY MANAGEMENT APPLIED IN ...

Annals of the University “Constantin Brâncuşi”of Tg-Jiu, No. 1/2008, Volume 2,
ISSN: 1842-4856
série de conditions légales et des mesures générales spécifiques, ainsi l’appui ferme et effectif
d’autres organismes internationaux pour la réorganisation du tourisme roumain, par:
la promulgation de la Loi du Tourisme;
la clarification des conditions de coopération avec les firmes étrangères,
encourageant les investissements de capital;
la réalisation, par des zones, d’organismes de management pour la modernisation de
l’infrastructure et la coordination intégrée d’investissements;
le renforcement et l’extension d’activités des comissions régionales: La Comission
Européenne du Tourisme La Comission du Tourisme Danubien, La Comission de la
Mer Noir etc.
L’intégration du tourisme roumain dans les structures européennes pourra se réaliser seulement
par la résolution à plus de problèmes avec les quels se confronte en présent l’activité touristique
parmi lesquels : structures de réception (d’accueil), le facteur humain, l’infrastructure, la
pollution, le système informationnel statistique, la sécurité et la sûreté des touristes, le système
de paiement, les politiques promotionnelles etc.
Les structures de réception sont inconformes tant que volume que qualité. On y pense aux
équipements de logement détériorés, le manque de confort et d’hygiène de la plupart de ceux-ci,
l’insuffisance et la variété réduite des dotations destinées au divertissement, des aménagements
non-propices pour la pratique des sports d’hiver, la faible diversité des programmes de
distraction.
La qualité du facteur humain, une composante essentielle dans la matérialisation du produit
touristique, pose aussi des problèmes assez importants tant comme insuffisance numérique qui
manque de formation professionnelle, de solicitude et amabilité.
La situation non-conforme d’autres composantes du secteur tertiaire, beaucoup d’entre celles-ci
constituant des conditions propices et des facteurs de développement du tourisme.
En fait, s’impose la modernisation de l’infrastructure, qui est essentielle, par l’intermède de
laquelle on facilite l’acces du touriste à l’offre: la situation actuelle des routes, des autoroutes,
des voies ferrés, des moyens de transport n’enchante personne!
C’est pour ça, qu’on impose la réalisation des autoroutes à un niveau occidental, avec
signalisation visuele conforme au système sollicité, dotées avec des moyens de communication
en cas de necessité.
La modernisation de l’infrastructure doit commencer dès les points de frontière d’entrée dans le
pays, qui sont en même temps ceux qui donnent et font la première impression aux touristes
étrangers qui visitent la Roumanie. Notre pays doit aussi faire un effort particulier pour
s’approcher du niveau de l’offre et d’exigences actuelles, parce-que leur image se situe à la suite
d’autres pays:
la densité des routes publiques rapportées à 100 km/territoire indique une situation,
du tout, calmante. Celle-ci évolue de 26,8 en 1985 à 30,5 en 1995 et 30,6 en 2006 en
comparaison à 37,7 pour Yugoslavie et 57,8 pour Tchécoslovaquie dès 1995;
les 113 km d’autoroutes réalisés en Roumanie jusqu’à présent ne situe à un niveau
de 9,5 fois plus petit que Tchécoslovaquie, de 8 fois que Hongrie et presque 8 fois
que Yugoslavie dès l’année 2006 en fonction de l’indicateur ”densité à 100
km 2 /territoire”.
la longueur des routes nationales roumaines modernisées avec des recouvrements
lègers de 14683 km, reste la même dans la période 1995-2005.
Pour l’étape suivante, on prévoit le développement étapisé d’une réseau d’autoroutes et routesexpresses
sur les principales directions de trafique, en corrélation aux nécessités imposées par la
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