A l'Occident de Menstragaleste, 1980 - les Romans de Guy RICHART

A l’Occident de Menstragaleste
existence dans l'honnêteté et le courage d'Anderson. Jamais le Prince
de la Plaine n'agissait par intérêt personnel. Il ne se connaissait pas de
faiblesse, en dehors d'une tendance à être orgueilleux et à aimer les
femmes. Il ne craignait que les réactions des Elfes de la Vallée des
Souffres. Ces monstres heureusement, semblaient être surveillés par
des puissances insoupçonnées et remplies de bonnes intentions à
l'égard des Menstragalais. Cependant, les lamas avaient bien rappelé
aux Océaniens que leur sécurité ne devait pas être laissée à d'autres.
La Terre Pacifique portait l'avenir du monde en son sein. La
civilisation qu'elle abritait, lancerait l'humanité vers une forme nouvelle
bien plus bénéfique que tous les modèles ayant déjà existé. Cette
société, si elle survivait, sauverait la Terre de la destruction la
menaçant. Il fallait donc que les hommes concepteurs de cette nation la
protègent de toutes leurs forces pour lui permettre de se développer.
Anderson et les Océaniens devraient neutraliser les capitalistes
occidentaux et les soviétiques, improprement qualifiés de communistes.
Ceux-ci mettraient, un jour où l'autre, l'équilibre écologique de la
planète en danger et leur cupidité les pousserait peut-être à envisager
l'invasion de Menstragaleste. La puissance Militaire des habitants de
l'Océanie pourrait certes, vaincre leurs ennemis potentiels. Mais il valait
mieux tenter d'approcher amicalement ces derniers et les convertir en
douceur aux joies de la vie, telle qu'elle était organisée dans le
Pacifique.
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