A l'Occident de Menstragaleste, 1980 - les Romans de Guy RICHART

A l’Occident de Menstragaleste
hommes et de l'amour avec sa soeur aînée qui était mariée. Dans la
bibliothèque du manoir des Brighton, la petite Lady avait aussi trouvé
un jour, un vieux livre oublié, avec des gravures explicites, représentant
des amants en pleine étreinte. Elle l'avait lu attentivement. C'est ainsi
qu'en se caressant, elle avait alimenté son excitation en évoquant ces
images, dans lesquelles, elle avait remplacé les jeunes hommes par
Reck Anderson. Heureuse d'avoir appris son corps et ses joies, elle
lança à son ami: " maintenant, je voudrais te voir jouir. ” Reck fut
réellement gêné. L'adorable coquine était réellement excitante mais,
bien qu'il soit Menstragalais et large d'esprit, il hésitait à satisfaire la
demande de la Britannique. Il la regarda avec surprise puis, fondit
devant la moue ravageuse que faisait sa compagne ainsi que les
adorables seins roses pointant tendrement vers lui.
Comment souhaites-tu que je m'y prenne ? demanda-t-il.
Je vais te déshabiller. Ensuite, tu te câlineras devant moi, proposa-telle.
Sans plus attendre, la jolie blonde se mit à déboutonner le pyjama de
son interlocuteur en le couvrant de doux baisers. Lorsqu'il fut
entièrement dévêtu, elle le scruta avec passion puis, déclara: “ je
comprends maintenant ce que ressent un garçon en admirant une jolie
fille nue. ” Le jeune homme était assis sur le lit, le dos appuyé sur son
oreiller. Ses muscles tendus dessinaient les agréables courbes de ses
bras, de ses cuisses et de ses fesses. L'érection qui dressait
solidement son pénis le long de son ventre n'était, en aucune façon,
vulgaire. Il était beau et excitant aux yeux de la petite Lady. En souriant,
celle-ci se blottit contre son ami et l'invita à commencer sa conquête du
plaisir. Ce dernier donc, débuta une masturbation délicate, dont il
parvint, dès les premières secondes, à rendre agréable l'observation.
Le Prince de la Plaine, les yeux fermés, les mâchoires légèrement
contractées, glissait lentement vers l'orgasme. Élisabeth appréciait le
spectacle. En effet, son compagnon était superbe pendant l'amour,
contrairement à ce qu'elle avait entendu au sujet des hommes jusquelà.
De temps à autre, Anderson tournait ses lèvres vers celles de
l'Anglaise, afin de recevoir un tendre baiser qui le faisait gémir. Au
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