revue finissante - Les âmes d'Atala

Irrumations fin-de-siècle
Sugdayat en tapotant mon gland du bout de ses doigts réunis. Ce n’est pas à
lui de te conduire. C’est toi qui doit le diriger », in Capitaine C. Devereux de
l’état-major de l’armée des Indes, Vénus indienne (1902), Terrain vague, Paris,
1992, p.252-253.
21 Jean Lorrain, Monsieur de Phocas (1901), La Table Ronde, 1995, éd. cit.
p.177.
22 Vladimir Jankélévitch, « La décadence », in Dieu, la chair et les livres, éd.
cit. p.45.
23 Dans Dracula, Van Helsing laisse entendre que la transfusion sanguine peut
conduire à un transfert de la personnalité.
24 Rachilde, La Tour d’amour (1899), Le Mercure de France, Paris, 1994,
p.117.
25 Octave Mirbeau, Le Jardin des supplices (1898), Fasquelle, 1957, p.144.
Notons qu’il s’agit ici d’une stimulation manuelle et non orale du sexe
masculin.
26 Michel Foucault, « L’Acte, la dépense, la mort » in Histoire de la sexualité II,
L’Usage des plaisirs, Tel Gallimard, Paris, 1984, p.166.
27 Hippocrate, De la génération, II, p.2. Cité par Michel Foucault, « L’Acte, la
dépense, la mort », in Histoire de la sexualité II, L’Usage des plaisirs, éd. cit.
28 Jean Lorrain, Monsieur de Bougrelon (1897), Passage du Marais, 1994,
p.91.
29 Ibid. p.91
30 Jean Lorrain, Monsieur de Bougrelon, éd. cit. p.91
31 Ibid. p.92.
32 Ibid. p.42.
33 Jean Lorrain, Monsieur de Bougrelon, éd. cit. p.36
34 Jean Lorrain, Monsieur de Phocas, éd. cit. p.124.
35 Jean Lorrain, Monsieur de Bougrelon, éd. cit. p.36
36 Ibid. p.36
37 Georges Bataille, Les Larmes d’Eros, éd. cit. p.62.
38 Jean Lorrain, Monsieur de Phocas, éd. cit. p.173.
39 Georges Bataille, Les Larmes d’Eros, éd. cit. p.103.
40 Il existe parmi les paraphilies recensées ce qu’on a appelé l’apotemnophilie
qui désigne l’obsession chez un individu d’être amputé d’une partie de luimême.
Le terme acrotomophilie est plus approprié lorsque l’attirance envers la
partenaire repose sur le fait que celle-ci soit nécessairement amputée
41 Jean Lorrain, Monsieur de Phocas, éd. cit.
42 Elle pourrait devoir cette fi guration aux phéniciennes et aux Egyptiennes
qui exhibaient leurs lèvres en signe de leur habileté à prodiguer cette caresse.
Cléopâtre est ainsi connue pour ses prouesses buccales puisqu’elle aurait, au
cours d’une nuit, étreint une centaine de nobles romains entre ses lèvres et
lorsque Lorrain, ou d’autres, cite la reine égyptienne aux côtés d’une Hérodiade
ou d’une Judith, nul doute que derrière la menace de la décollation se cache celle
de la castratrice fellation !
43 Gilbert Lascaut, Les Monstres dans l’art occidental, Klincksieck, 2004.
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