revue finissante - Les âmes d'Atala

Johan Grzelczyk
27 Cf. par exemple 37 [8] 1885, p. 315 : « Les deux doctrines qu’elle [la morale]
prêche avec prédilection sont « l’égalité des droits » et « la pitié pour tous
ceux qui souffrent » […] Croire que de pareilles « idées » puissent encore être
modernes donne mauvaise opinion de cette modernité ».
28 GM 4, p. 227. C’est nous qui soulignons.
29 JGB 22, p. 40. C’est encore nous qui soulignons.
30 GM 12, p. 270
31 JGB 44, pp. 60-62
32 Ibid. Ibid. Ibid Voir aussi EH, p. 294 où Nietzsche fustige les « libres penseurs », « plats
pantins des « idées modernes » ».
33 JGB 44, pp. 60-62
34 « Die Gleichheit selber ». Voir FW 18, p. 67
35 GT 6, p. 33
36 FW 350, p. 249
37 JGB p. 174. Voir aussi GM 4, p. 227 : « Le plébéisme de l’esprit moderne ».
38 JGB 202, p. 114. Notons toutefois que si Nietzsche se voit contraint d’accorder
la victoire aux « instincts grégaires », il n’admet pas moins à l’occasion que le
règne de l’« égalité même » n’est pas encore totalement réalisé. Ainsi moque-t-il
la prétention des femmes à accéder à « l’indépendance économique et juridique
du commis » (JGB 239, p. 115 ) ou encore glose-t-il sur celle des ouvriers à
accéder eux aussi au bonheur étriqué de la petite bourgeoisie laborieuse (GD
40, p. 136).
39 GM 37, pp. 231-232. Voir aussi JGB 46, p. 64 et EH, « Pourquoi je suis un
destin », § 7, p. 340 où Nietzsche précise « l’inversion de toutes les valeurs en
valeurs hostiles à la vie » (c’est nous qui soulignons).
40 14 [37] 1888, p. 40
41 AC 38, p. 198
42 AC 38, pp. 197-198. Voir aussi GM19, p. 326 où il est question de la « fausseté
moralisatrice moderne » ou encore 26 [358] 1884, p. 271 où Nietzsche souligne
l’existence de « la fausseté psychologique foncière » de l’homme moderne.
43 GM 24, p. 285
44 GM1, p. 267
45 WB 6, p. 127
46 2 [113] 1885-1886, p. 123 : « le besoin moderne de musique […] apparaît dans
l’histoire en même temps que le besoin croissant de narcotiques ».
47 WB 6, p. 128
48 FW 370, pp. 277-278
49 35 [12] 1874, p. 228
50 16 [41] 1888, p. 251
51 WA 5, p. 30. Voir aussi 14 [63] 1888, p. 49 : « le héros, tel que Wagner le
conçoit, qu’il est moderne ! qu’il est hardi ! comme il l’a conçu complexe et
plein d’esprit ! Que Wagner a bien su, avec son héros, aller au-devant de trois
besoins fondamentaux de l’âme moderne – elle veut du brutal, du morbide et
du naïf… ».
52 WA 5, p. 30
53 WA 6, p. 30
54 HL 9, p. 151
55 Ibid.
56 Voir notamment JGB 260, p. 184
57 11 [26] 1875, p. 439
58 GD 37, p. 132 . A propos du rapport de Nietzsche à la Renaissance, voir
aussi GD 37, p. 131 (« Une chose est certaine, c’est que nous ne pouvons nous
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