1882 - Université Libre de Bruxelles
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géographiques, lor squ’ils voyagent à l’étranger. Voici<br />
les instrum ents dont sera doté l'Observatoire <strong>de</strong><br />
Liège, et pour lesquels les Chambres ont voté un<br />
crédit <strong>de</strong> 96,000 francs : Cercle m éridien, in stru <br />
m ents <strong>de</strong> passages, équatorial, pendule astronomique,<br />
chronographe, chercheur <strong>de</strong> comètes, instrum<br />
ent universel, instrument <strong>de</strong> nivellement,instrument<br />
à m esurer les distances, m étéorographe universel,<br />
théodolite m agnétique <strong>de</strong> Lam ont, instrum ent <strong>de</strong>s<br />
variations magnétiques. Ces instruments seront<br />
installés dans l’Institut astro-physique, annexé à<br />
l ’<strong>Université</strong> <strong>de</strong> Liège, qui a été récemm ent érigé sur<br />
le plateau dit « <strong>de</strong> Cointe » (commune d'Ougrée), à<br />
douze m inutes environ <strong>de</strong> la station <strong>de</strong>s Guillemins.<br />
— La Société belge <strong>de</strong> géographie a été autorisée<br />
à prendre le titre <strong>de</strong> société royale. Fondée le<br />
27 août 1876, elle est aujourd’hui très prospère; elle<br />
compte, sans y comprendre les correspondants étrangers,<br />
1,100 mem bres, dont 475 appartiennent à<br />
l ’arm ée, 260 à l’enseignement.<br />
— La livraison <strong>de</strong> la R evue <strong>de</strong> droit in te rn a <br />
tional qui vient <strong>de</strong> paraître, contient un intéressant<br />
m ém oire sur les vestiges d’un droit international<br />
dans l’ancienne Chine, par M. W . A. P.<br />
M artin, directeur du Tung-wen College à Péking,<br />
m ém oire lu en anglais au <strong>de</strong>rnier congrès <strong>de</strong>s<br />
Orientalistes et traduit en français pour la Revue<br />
par l’auteur lui-m êm e, avec l'assistance <strong>de</strong> M. Hornung.<br />
Les traités récents par lesquels la Chine a<br />
noué <strong>de</strong>s relations plus intimes avec les puissances<br />
occi<strong>de</strong>ntales, dit M. M artin, et surtout 1'établissem<br />
ent <strong>de</strong> rapports diplomatiques au moyen <strong>de</strong> légations<br />
perm anentes, ont attiré fortement l'a'ttention<br />
<strong>de</strong>s m andarins chinois sur le droit international.<br />
P our eux, c’est une étu<strong>de</strong> nouvelle dont leurs<br />
<strong>de</strong>vanciers n ’auraient pu se form er une idée pendant<br />
les vingt siècles d’existence <strong>de</strong> l ’empire centralisé.<br />
Cependant les Chinois ont eu quelque chose <strong>de</strong> sem <br />
blable dans un temps plus reculé. M. M artin en<br />
fournit la preuve, et conclut en ces term es : « Les<br />
m andarins chinois ont été frappés <strong>de</strong> l'analogie<br />
qu’offrait le système politique <strong>de</strong> l’Europe, et surtout<br />
celui du moyen âge, avec celui <strong>de</strong> leur pays aux<br />
tem ps anciens. Ils ont trouvé dans leurs anciens<br />
livres <strong>de</strong>s mots, <strong>de</strong>s idées et <strong>de</strong>s usages semblables à<br />
ceux <strong>de</strong> notre droit international mo<strong>de</strong>rne. Aussi<br />
seront-ils d'autant plus disposés à accepter le futur<br />
co<strong>de</strong> européen qui, on peut l ’espérer sans être trop<br />
utopiste, est <strong>de</strong>stiné à former un lien <strong>de</strong> paix et <strong>de</strong><br />
justice entre toutes les nations ». M. F . M artens,<br />
qui prépare la publication d'un Traité <strong>de</strong> droit<br />
international communique un extrait <strong>de</strong> ce travail,<br />
sous le titre : " Le fon<strong>de</strong>ment du droit international<br />
». Cette étu<strong>de</strong> est suivie d ’un second article<br />
<strong>de</strong> M. Molengraaff sur « le contrat d'affrètement »,<br />
d’une suite au travail <strong>de</strong> M. W estlake concernant<br />
" la doctrine anglaise en m atière <strong>de</strong> droit international<br />
privé », et d'une « revue <strong>de</strong> la jurispru<strong>de</strong>nce<br />
française en m atière <strong>de</strong> droit international " , par<br />
M. L. R enault. Parm i les notices, nous mentionen-<br />
rons spécialement les résolutions adoptées par la<br />
quatrièm e commission <strong>de</strong> l’Institut <strong>de</strong> droit international,<br />
dans sa session tenue à W iesba<strong>de</strong>n, relativement<br />
aux « réformes à introduire dans les institutions<br />
judiciaires actuellement en vigueur dans les<br />
pays d’Orient par rapport aux procès dans lesquels<br />
est engagée une personne ressortissant à une puissance<br />
chrétienne d ’Europe ou d’Am érique. » Ces conclusions<br />
seront présentées à l’Institut, dans sa prochaine<br />
session, en même temps qu’un avant-projet<br />
<strong>de</strong>stiné à être soumis à l'examen et à l ’adoption <strong>de</strong><br />
tous les gouvernements.<br />
— Il y a quelques m ois, nous attirions l ’attention<br />
sur la Bibliothèque belge illustrée et nous applaudissions<br />
à une entreprise qui a pour but <strong>de</strong> doter la<br />
Belgique d'ouvrages à l'usage <strong>de</strong> la jeunesse composés<br />
par <strong>de</strong>s écrivains nationaux. Les volumes<br />
publiés <strong>de</strong>puis cette époque sont venus prouver que<br />
l’œuvre est réellem ent digne <strong>de</strong> sympathie et d ’encouragement.<br />
Citons d ’abord Les F rasques <strong>de</strong><br />
M ajesté, par Mlle M arguerite Van <strong>de</strong> W iele, un<br />
récit dans lequel on trouve une gran<strong>de</strong> finesse d ’ob<br />
L’ATHENÆUM BELGE 143<br />
servation, m ais qui a le défaut <strong>de</strong> finir trop brusquem<br />
ent. Dans les P etits Contes, M. Camille Lem onnier<br />
déploie son vigoureux talent. M. P. Francotte, dans<br />
les E xp lorations d 'u n jeu n e naturaliste, étudie la<br />
nature par l'observation <strong>de</strong>s infiniment petits<br />
<strong>de</strong>puis les protozoaires jusqu’aux vertébrés. Le<br />
champ est un peu vaste pour un exposé élémentaire,<br />
bien que l’auteur sache généralem ent être intéressant<br />
et éviter les détails trop spéciaux. L ’étu<strong>de</strong> sur<br />
le r öle <strong>de</strong> l’eau dans la nature, que M. De Reul a<br />
intitulée : Un g ra n d artiste, m érite tous les éloges.<br />
La simplicité et la clarté s’unissent ici à une variété<br />
extrême, qui tient constamment en éveil l’attention<br />
du jeune lecteur. Il faut espérer que la colloboration<br />
<strong>de</strong> M. De Reul à la Bibliothèque belge illustrée ne<br />
s’arrêtera pas à ce seul volume, aussi bien écrit que<br />
composé avec art Nous ne pouvons accor<strong>de</strong>r autant<br />
d ’éloges aux planches, dont l’exécution est loin <strong>de</strong><br />
justifier le titre <strong>de</strong> Bibliothèque » illustrée ».<br />
— M. Eug. Van Overloop publie chez l’éditeur<br />
Hayez un volume intitulé: Les Origines <strong>de</strong> l’a rt en<br />
Belgique. Les Ages <strong>de</strong> la p ierre (4 fr.), accompagné<br />
<strong>de</strong> dix planches phototypiques. Un second volume<br />
traitera plus spécialement la question <strong>de</strong>s races.<br />
— L'éditeur Martinus Nijhoff, à La Haye, annonce<br />
la publication <strong>de</strong> la prem ière livraison du<br />
M id<strong>de</strong>lne<strong>de</strong>rlandsch W oor<strong>de</strong>nboek, par feu E. V erwijs<br />
et J. Verdam . L’ouvrage aura 72 livraisons.<br />
Prix <strong>de</strong> la livraison pour les souscripteurs : 1 fl .<br />
— Un comité, composé <strong>de</strong> membres <strong>de</strong> l’Académie<br />
<strong>de</strong>s sciences <strong>de</strong> Paris, <strong>de</strong> l’Académie <strong>de</strong><br />
mé<strong>de</strong>cine, <strong>de</strong> la Société d ’agriculture, <strong>de</strong> la<br />
Faculté <strong>de</strong>s sciences et <strong>de</strong> l’Ecole norm ale supérieure,<br />
s’est constitué, sous la prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong><br />
M. J. B. Dumas, en vue d’offrir à M. Pasteur une<br />
médaille commémorative <strong>de</strong> ses travaux.<br />
— L a Société royale <strong>de</strong>s sciences <strong>de</strong> Götlingue<br />
met au concours la question suivante pour 1885 :<br />
“ Exposé détaillé <strong>de</strong> recherches étendues relatives<br />
à la structure microscopique, c’est-à-dire anatom ique<br />
et micro-chimique, du protoplasme chez les végétaux.<br />
» Clöture du concours le 31 août 1884. Le<br />
1er prix est <strong>de</strong> 1,700 m arks, le 2a, <strong>de</strong> 680.<br />
— M Francis Darwin prépare une biographie <strong>de</strong><br />
son père. Il prie les amis et correspondants <strong>de</strong><br />
Charles Darwin <strong>de</strong> vouloir lui com m uniquer, afin<br />
d’en prendre copie, les lettres qu’ils possé<strong>de</strong>raient.<br />
DÉCÈS. — François Guessard, membre <strong>de</strong> l’Académie<br />
<strong>de</strong>s inscriptions, archiviste, auteur <strong>de</strong> travaux<br />
relatifs à l’histoire <strong>de</strong> la langue et <strong>de</strong> la<br />
littérature françaises du moyeu âge, m ort le 7 mai,<br />
à l’âge <strong>de</strong> 68 ans.<br />
George Reinhold Pauli, historien allemand, m ort<br />
le 3 juin, à Brème, à l ’âge <strong>de</strong> 59 ans.<br />
Herm ann Hettner, littérateur, m ort à Dres<strong>de</strong>.<br />
Adolf Schöll, littérateur et archéologue, m ort à<br />
W eim ar, à l’âge <strong>de</strong> 77 ans.<br />
Ferd. F rh r. v. Meerheimb, écrivain m ilitaire<br />
allem and.<br />
Caspar P eter Paludan-M ülle r, archéologue et<br />
historien danois, m ort à l'âge <strong>de</strong> 77 ans.<br />
R e v u e s é t r a n g è r e s . N o t ic e s d’o u v r a g e s b e l g e s .<br />
— Bibliothèque <strong>de</strong> l’Ecole <strong>de</strong>s Chartes, <strong>1882</strong>. 1. 2.<br />
Desmazières, Bibliographie tourna isienne.<br />
B u lletin <strong>de</strong> la Société <strong>de</strong> législation comparée.<br />
Févr. Lim elette. Le nouveau Co<strong>de</strong> pénal du Grand-<br />
Duché <strong>de</strong> Luxembourg. — Mai. Fai<strong>de</strong>r, La force<br />
publique et la paix intérieure.<br />
De Ne<strong>de</strong>rlandsche Spectator. 21. P . Fre<strong>de</strong>ricq,<br />
De l ’enseignement supérieur <strong>de</strong> l’histoire.<br />
Deutsche L itteraturzeitung. 22. De Laveleye,<br />
Der wahre G rund <strong>de</strong>r seit 1873 bis jetzt anhalten<strong>de</strong>n<br />
wirthschaftlichen K risis, uebersetzt durch<br />
O. von Bar.<br />
SO C IÉ T É S S A V A N T E S .<br />
ACADÉMIE ROYALE DE BELGIQUE. CLASSE DES<br />
BEAUX-ARTS. Séance du 1er ju in . — M. le secrétaire<br />
perpétuel donne lecture d’une lettre, datée <strong>de</strong> Troie,<br />
le 23 m ai, que vient <strong>de</strong> lui adresser M. H. Schliem<br />
ann, récemment élu associé <strong>de</strong> la classe. M. Schlie-<br />
m ann annonce qu’il a recommencé les fouilles<br />
d'iiion, en collaboration avec <strong>de</strong>ux éminents arch itectes<br />
d’Allemagne et d ’A utriche, et qu’il a fait <strong>de</strong>s<br />
découvertes d’un intérêt capital. « L ’énorm e couche<br />
<strong>de</strong> décombres et <strong>de</strong> mines brûlées, couche que<br />
j ’avais, dit-il, considérée, avec Burnouf et Virchow,<br />
comme appartenant à une seule ville, contient les<br />
strata <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux villes différentes qui ont péri dans<br />
d'affreuses catastrophes ; et ce qu’il y a <strong>de</strong> plus c u <br />
rieux, c’est que les squelettes <strong>de</strong>s maisons <strong>de</strong> la ville<br />
brûlée supérieure, celle dans laquelle j'avais cru<br />
reconnaître l'Ilion hom érique, ne sont que lilliputiens<br />
en comparaison <strong>de</strong> ceux <strong>de</strong> la ville inférieure,<br />
et que celle-ci n’avait sur la colline d’H issarlik que<br />
son acropole, sa ville basse s'étendant sur le haut<br />
plateau au sud et à l’est, tandis que la ville brûlée<br />
supérieure ne s’étendait point hors <strong>de</strong> la colline<br />
d'Hissarlik et ne l’occupait pas même entièrem ent.<br />
» Les (rois monticules en briques, m arqués en H<br />
sur le plan III dans mon Jlios, dans lesquels M. B urnouf<br />
avait cru voir les restes d'un m ur d’enceinte du<br />
la troisième ville, ne sont, en réalité, que les ruines<br />
d ’un vaste bâtim ent carré, en briques, d e 13 m ètres <strong>de</strong><br />
largeur sur environ 30 m ètres <strong>de</strong> longueur, et d’un<br />
second édifice, qui a 7 m ètres <strong>de</strong> largeur et probablement<br />
moins <strong>de</strong> 30 m ètres <strong>de</strong> longueur. Quoique<br />
ces <strong>de</strong>ux bâtim ents soient situés parallèlem ent l’un<br />
à l'autre, ils sont séparés par un espace <strong>de</strong> 0ra50 <strong>de</strong><br />
large ; il est donc probable que ce sont <strong>de</strong>s temples<br />
parce que ceux-ci n'ont jam ais <strong>de</strong> m ur mitoyen...<br />
» Ces murs ont été évi<strong>de</strong>mment brûlés, quand ils<br />
étaient déjà bâtis, à l’ai<strong>de</strong> d’immenses bûchers <strong>de</strong><br />
bois qu’on allum ait simultanément <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux côtés.<br />
On augm entait l’incan<strong>de</strong>scence par d’énormes poutres,<br />
qu’on avait soin d'introduire dans le m ur du<br />
cöté extérieur, et dont nous voyons à présent les<br />
creux et l’effet du brasier, qui a toujours pénétré<br />
toute l'épaisseur du m ur. Après cette opération, les<br />
m urs furent couverts d’un enduit en plâtre <strong>de</strong> 2 centim<br />
ètres et <strong>de</strong>mi qu’on trouve partout, excepté dans<br />
les ouvertures<strong>de</strong>s portes, preuve évi<strong>de</strong>nte que celles-<br />
ci avaient <strong>de</strong>s châssis en bois. »<br />
M. Schliemann énumère ensuite les objets en<br />
bronze qu’il a recueillis et pense, vu la gran<strong>de</strong> quantité<br />
<strong>de</strong> fusaioles ornementés,employés comme offran<strong>de</strong>s<br />
à Pallas-Athéné, la divinité tutélaire <strong>de</strong> la ville,<br />
et ne portant aucune trace d’usure, que ces bâtiments<br />
ont été <strong>de</strong>s temples ayant appartenu à <strong>de</strong>ux<br />
époques différentes, car, dit il, le plus grand, qui<br />
paraît être aussi le plus ancien, a <strong>de</strong>s fondations en<br />
gran<strong>de</strong>s pierres <strong>de</strong> 3 m ètres <strong>de</strong> profon<strong>de</strong>ur, tandis<br />
que les fondations du plus petit ont à peine 50 centim<br />
ètres; en outre, les dimensions <strong>de</strong>s briques dans<br />
ces <strong>de</strong>ux bâtiments sont totalem ent différentes. Il a<br />
aussi réussi à découvrir une gran<strong>de</strong> porte <strong>de</strong> l’A cropole,<br />
qui semble avoir été au service particulier <strong>de</strong><br />
ces <strong>de</strong>ux édifices vers lesquels le chemin m onte en<br />
pente rapi<strong>de</strong>.<br />
M. Schliemann term ine sa lettre <strong>de</strong> la m anière<br />
suivante :<br />
« J'ai aussi exploré les tumuli coniques, dits<br />
tombeaux héroïques, que la tradition attribue à<br />
Patrocle et à Achille. Dans tous les <strong>de</strong>ux j ’ai trouvé<br />
<strong>de</strong>s poteries archaïques helléniques, que l’archéologie<br />
ne peut pas faire rem onter au <strong>de</strong> la du IXe siècle<br />
avant Jésus-C hrist. J'ai aussi à moitié exploré le<br />
vaste tumulus attribué à Protesilaos, qui est situé<br />
sur le rivage opposé <strong>de</strong> l’Hellespont, et qui n’a pas<br />
moins <strong>de</strong> 125 m ètres <strong>de</strong> diam ètre. Il est jonché <strong>de</strong><br />
tessons <strong>de</strong> poterie préhistorique, la plus ancienne<br />
que j ’aie encore jam ais trouvée à H issarlik, ainsi que<br />
d'arm es et d’ustensiles en pierre ..<br />
» Le pou d ’or découvert jusqu’à présent a été<br />
trouvé dans le plus grand temple <strong>de</strong> la <strong>de</strong>uxième<br />
ville, qui semble être, sous tous les rapports, id en <br />
tique avec la <strong>de</strong>scription qu'Homère nous a faite <strong>de</strong><br />
la Troie <strong>de</strong> Priam avec sa ville basse et sa P e rgame.<br />
"<br />
M. W auters continue la lecture <strong>de</strong> son travail<br />
sur les Van<strong>de</strong>r Meire. Il termine en faisant l ’histoire<br />
du Bréviaire G rim ani, réfute les opinions qui<br />
en contestent l'origine flaman<strong>de</strong> et discute les thèses