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1882 - Université Libre de Bruxelles

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assistant du cours <strong>de</strong> physiologie à l ’<strong>Université</strong> <strong>de</strong><br />

Gand, avaient déjà travaillé à Roscoff et m ’avaient<br />

parlé,avec éloges,<strong>de</strong> l’accueil qui y était réservé aux<br />

étrangers. J'ai pu m ’assurer, par moi-même, <strong>de</strong><br />

l’exactitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> leurs appréciations. Le directeur,<br />

M. <strong>de</strong> Lacaze-Duthiers,et les autres personnes attachées<br />

au laboratoire m ’ont comblé d’attentions.Tout<br />

ce qui était nécessaire à mes recherches, locaux,<br />

instrum ents, livres, animaux, tout absolument a été<br />

mis à m a disposition avec la plus gran<strong>de</strong> libéralité.»<br />

— Le sujet choisi par l ’Académie <strong>de</strong>s Inscriptions<br />

pour le prix Fould, à décerner en 1884, est : « L h is-<br />

toire <strong>de</strong>s arts du <strong>de</strong>ssin à l’époque <strong>de</strong> Périclès ». Le<br />

prix est <strong>de</strong> 20,000 francs. Les étrangers peuvent<br />

prendre part au concours.<br />

— P arm i les livres annoncés par la maison<br />

Teubner figure un ouvrage <strong>de</strong> M. Hetzog, professeur<br />

à l’<strong>Université</strong> <strong>de</strong> Tubingue : Geschichte u n d System<br />

<strong>de</strong>r r öm ischen Staatsverfassung. Le tome P r, qui<br />

paraîtra au mois d’août 1883, com prendra la pério<strong>de</strong><br />

royale et la République.<br />

— Il va paraître à Florence un M useo italiano<br />

d i antichità classiche, qui contiendra <strong>de</strong>s articles<br />

d’archéologie et <strong>de</strong> philologie classiques, avec planches.<br />

La direction eh est confiée à M. D. Compare<br />

tti.<br />

— M. François Lenorm ant vient <strong>de</strong> term iner son<br />

voyage archéologique dans la Calabre et la B asili-<br />

cate, et, d’après une lettre communiquée à l’Académie<br />

<strong>de</strong>s inscriptions, les résultats ont dépassé ses<br />

espérances. E n compagnie <strong>de</strong> M. Barnabei, il a<br />

visité Lucera, Ascoli, Ordona, Melfi, Rapolla,<br />

Venosa, Banzi, Acerenza, Potenza, Metaponte,<br />

Tarente, Rossano, Catanzaro et les ruines voisines<br />

<strong>de</strong>s Castra Hannibalis, Teriolo, Nicastro et le site<br />

probable <strong>de</strong> Terina, Pizzo, Monteleone, Mileto,<br />

Nicotera, le site <strong>de</strong> Medma, Palmi etR eggio. Dans<br />

plus <strong>de</strong> la m oitié <strong>de</strong> ces localités, dit-il, il n’avait été<br />

précédé par aucun archéologue. Il a recueilli plus<br />

<strong>de</strong> 200 inscriptions latines inédites, une trentaine <strong>de</strong><br />

grecques. Il a réuni <strong>de</strong> nouveaux renseignements<br />

pour la déterm ination du site précis <strong>de</strong> T erina et a<br />

découvert les ruines encore inconnues <strong>de</strong> Medma<br />

(avec une fontaine m entionnée par Strabon et un<br />

théâtre) et d’Hipponion. Il a recueilli <strong>de</strong> nouveaux<br />

et im portants documents sur l’existence d'une poterie<br />

apulienne à décors géométriques, qui offre avec<br />

celle <strong>de</strong> Chypre une ressemblance extrêmem ent<br />

étroite. En <strong>de</strong>rnier lieu, il a visité la Via Aquilia<br />

dans toute sa longueur ; il a découvert les ruines <strong>de</strong><br />

Consilinum, inconnues jusqu’ici ; il a examiné celles<br />

<strong>de</strong> Velia, les plus im portantes et les mieux conservées<br />

<strong>de</strong> l’Italie méridionale, avec celles <strong>de</strong> Guathia<br />

et après celles <strong>de</strong> Poestum . Il rapporte, outre <strong>de</strong>s<br />

copies d ’insci'iptions inédites ou m al connues, <strong>de</strong>s<br />

antiquités diverses, <strong>de</strong>s spécimens <strong>de</strong> m atériaux <strong>de</strong><br />

construction, etc. Au point <strong>de</strong> vue <strong>de</strong> l’archéologie<br />

préhistorique, il a reconnu que plusieurs <strong>de</strong>s lieux<br />

colonisés par les Grecs, comme Métaponte etH ippo-<br />

nion, avaient été déjà <strong>de</strong>s stations im portantes dans<br />

l’âge <strong>de</strong> la pierre polie, et il a retrouvé <strong>de</strong>s débris <strong>de</strong><br />

la poterie noire italique prim itive, dont la fabrication<br />

s’est étendue sur tout le m idi <strong>de</strong> la péninsule II<br />

a relevé <strong>de</strong>s traces nombreuses et intéressantes <strong>de</strong><br />

la civilisation et surtout <strong>de</strong> l’architecture du tem ps<br />

<strong>de</strong>s Norm ands et <strong>de</strong>s Hohenstaufen.<br />

— On a découvert récem m ent à Pom péi une<br />

fresque, représentant le Jugem ent <strong>de</strong> Salomon,<br />

qui a causé une surprise générale dans le mon<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong>s archéologues. M. Lanciani écrit, à ce sujet,<br />

à Y A thenæ um <strong>de</strong> Londres :<br />

“ Qui se serait jam ais imaginé qu’une scène inspirée<br />

par l’E criture Sainte serait découverte sur<br />

les m urs d’une ville absolument païenne, dissolue<br />

et m atérialiste? L âpeinture, dont j ’ai une reproduction<br />

exacte sous les yeux, appartient au genre burlesque;<br />

et bien que le caricaturiste ait un peu exagéré<br />

la difformité conventionnelle <strong>de</strong> ses différents<br />

personnages, on peut néanmoins reconnaître aisém<br />

ent chacune <strong>de</strong>s particularités du récit <strong>de</strong> la<br />

Bible. A droite, le roi Salomon, le sceptre en m ain,<br />

est assis sur son tribunal entre <strong>de</strong>ux assesseurs.<br />

L’ATHENÆUM BELGE 279<br />

Déjà il a donné l’ordre à l'officier <strong>de</strong> faire <strong>de</strong>ux parts<br />

du petit enfant; la fausse mère s’apprête, avec une<br />

parfaite indifférence, à recevoir sa moitié, taudis<br />

que la vrafe donne les signes du plus violent désespoir,<br />

agenouillée <strong>de</strong>vant le roi, s’arrachant les cheveux,<br />

m anifestant sa douleur <strong>de</strong> toutes les m anières.<br />

Tout cela est exprimé sur un ton anim é, plein <strong>de</strong><br />

verve et <strong>de</strong> comique. L ’exécuteur, accoutré comme<br />

un personnage <strong>de</strong> Lecocq, brandissant un coutelas<br />

six fois plus grand que l’enfant, les gar<strong>de</strong>s, les<br />

huissiers à la verge noire, aux jam bes grêles comme<br />

<strong>de</strong>s cure-<strong>de</strong>nts et aux crânes démesurés, les assesseurs<br />

faisant <strong>de</strong>s grimaces à la pauvre mère et prenant<br />

plaisir à ce spectacle, tous ces détails ren<strong>de</strong>nt<br />

le tableau extrêmem ent curieux.<br />

« On a m is en avant bien <strong>de</strong>s conjectures pour<br />

expliquer l'apparition inattendue <strong>de</strong> ce tableau à<br />

Pom péi. Les uns ont pensé que la maison a pu être<br />

achetée par un ju if riche ; cette conjecture, toutefois,<br />

est en désaccord avec le fait que tous les autres<br />

détails <strong>de</strong> la m aison ont un caractère absolument<br />

païen, qu’aucun ju if honnête n’aurait jam ais accepté<br />

ni toléré. D’autres pensent que la légen<strong>de</strong> du jugement<br />

peut s’être introduite dans la tradition et la<br />

littératu re étrangères ; mais à ce siy'et il n ’existe ni<br />

certitu<strong>de</strong> ni témoignage. L ’explication la meilleure<br />

et la plus satisfaisante qui puisse être proposée est<br />

celle-ci : Il est vrai que les Rom ains avaient pour<br />

les Juifs un tel m épris qu’ils négligèrent toujours<br />

<strong>de</strong> s’enquérir <strong>de</strong> leur histoire et <strong>de</strong> leur littérature.<br />

L’ignorance <strong>de</strong>s Rom ains à ce sujet est attestée par<br />

les absurdités qu’écrivent Tacite et autres chaque<br />

fois qu’ils parlent <strong>de</strong>s Juifs et <strong>de</strong>s Chrétiens. D’un<br />

autre cöté, l’école d’Alexandrie, spécialement après<br />

la version <strong>de</strong>s LXX, était très au courant <strong>de</strong> l’archéologie,<br />

<strong>de</strong> l’histoire et <strong>de</strong>s traditions hébraïques.<br />

Le .charmant épiso<strong>de</strong> du jugem ent <strong>de</strong> Salomon<br />

a pu <strong>de</strong>venir populaire dans la bonne société<br />

d ’Alexandrie. A Pom péi il existait une grân<strong>de</strong> et<br />

riche colonie <strong>de</strong> m archands d’Alexandrie;' rien<br />

d’étonnant que l’un d’eux ait choisi pour décorer <strong>de</strong><br />

fresques sa m aison un <strong>de</strong>s sujets provenant <strong>de</strong><br />

légen<strong>de</strong>s très populaires dans sa m ère-patrie. E t ce<br />

qui rend cette supposition extrêmement probable,<br />

c’est que dans la même chambre on a découvert<br />

d ’autres fresques représentant <strong>de</strong>s scènes d’Egypte,<br />

comme un crocodile allant en chasse sur les rives<br />

du N il, <strong>de</strong>s pygm ées, etc. »<br />

DÉCÈS. — Charles Maynz, professeur émérite <strong>de</strong><br />

droit rom ain à l'<strong>Université</strong> <strong>de</strong> Liège, né à Essen,<br />

m ort à Liège, à l’âge <strong>de</strong> 70 ans.<br />

P : A : F . G érard, auditeur général honoraire<br />

près la Cour m ilitaire, à <strong>Bruxelles</strong>, m ort à l ’âge <strong>de</strong><br />

82 ans, auteur <strong>de</strong> travaux historiques.<br />

Franz-H erm ann Troschel, professeur <strong>de</strong> zoologie<br />

à l'U niversité <strong>de</strong> Bonn, m ort, le 6 novembre, à<br />

l’âge <strong>de</strong> 72 ans.<br />

Franz von Kobell, professeur <strong>de</strong> minéralogie et<br />

conservateur <strong>de</strong>s collections m inéralogiques <strong>de</strong><br />

l’E tat, àM un'ch, m ort, le I l novembre, à l ’âge <strong>de</strong><br />

79 ans.<br />

J : T . E rbstein, archiviste du royaume <strong>de</strong> Saxe,<br />

m ort, le 5 octobre, à Dres<strong>de</strong>, à l’âge <strong>de</strong> 80 ans.<br />

Johann-Gottfried Kinkel, né à Obercassel, professeur<br />

d’archéologie et d’histoire <strong>de</strong> l’art à l'Ecole<br />

polytechnique <strong>de</strong> Zurich, m ort à l’âge <strong>de</strong> 67 ans.<br />

Napoleone Caix, philologue italien, m ort à l’âge<br />

<strong>de</strong> 37 ans.<br />

M arino Palm ieri, professeur <strong>de</strong> physique à l’<strong>Université</strong><br />

<strong>de</strong> Naples.<br />

Edward H enry Palm er, linguiste anglais, m ort à<br />

l’âge <strong>de</strong> 42 ans.<br />

J : Th. R einhardt, inspecteur du Musée zoologique<br />

<strong>de</strong> l’<strong>Université</strong> <strong>de</strong> Copenhague, m ort à l ’âge <strong>de</strong><br />

66 ans.<br />

REVUES ÉTRANGÈRES. NOTICES D’OUVRAGES BELGES.<br />

H istorische Z eitschrift. 6. Correspondance du<br />

cardinal <strong>de</strong> Granvelle, par Poullet. — Gachard,<br />

Histoire <strong>de</strong> la Belgique au commencement du<br />

XVIIIe siècle.<br />

Göttingische gelehrte A nzeigen. 48. Sancti<br />

Ephraem Syri Hymni et Serm ones,ed.T h: J.L am y.<br />

T. I.<br />

The A ca<strong>de</strong>m y. 25 nov. Ch. Loomans, De lu<br />

connaissance <strong>de</strong> soi-m êm e.<br />

The N ation 9 nov. E. Hubert, De la condition<br />

<strong>de</strong>s protestants en Belgique.<br />

lievista gênerai <strong>de</strong> legislacion. Sept: oct. T honissen,<br />

L ’organisatiou judiciaire, etc., <strong>de</strong> la loi<br />

salique.<br />

SO C IÉ T É S S A V A N T E S .<br />

ACADÉMIE ROYALE DE BELGIQUE. CLASSE DES<br />

LETTRES. Séance du 6 novem bre.— L a Classe vote<br />

l ’impression, dans le recueil <strong>de</strong>s m ém oires in 8°,<br />

d'un travail <strong>de</strong> M. Alphonse W illem s, intitulé :<br />

« Notes et corrections à YH ippolyte d ’E uripi<strong>de</strong>. »<br />

M. Thonissen donne lecture d'une notice intitulée<br />

: « La justice crim inelle en France <strong>de</strong> 1826 à<br />

1880. » Après quelques considérations sur la valeur<br />

<strong>de</strong>s tableaux statistiques qui s’éten<strong>de</strong>nt sur <strong>de</strong>s pério<strong>de</strong>s<br />

<strong>de</strong> longue durée, l ’auteur examine, au point<br />

<strong>de</strong> vue <strong>de</strong> la science du droit pénal, le rapport sem i-<br />

séculaire que le gar<strong>de</strong> <strong>de</strong>s sceaux <strong>de</strong> France a<br />

récemment adressé au Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la République.<br />

Il considère ce rapport comme un modèle à suivre<br />

dans les recherches <strong>de</strong> cette espèce et voudrait<br />

qu’une publication analogue p arû t dans tous les<br />

pays <strong>de</strong> l’Europe. E ntrant ensuite dans quelques<br />

détails, il prouve que, pour les crim es les plus g raves,<br />

l’assassinat, le m eurtre, l’incendie, le faux et la<br />

fabrication <strong>de</strong> fausses monnaies, la crim inalité suit,<br />

en France, un mouvement <strong>de</strong> décroissance très sensible<br />

; m ais, arrivant aux chiffres relatifs aux crimes<br />

contre les m œurs, M. Thonissen conslate, pour<br />

quelques-uns <strong>de</strong> ces méfaits, notam m ent pour les<br />

attentats à la pu<strong>de</strong>ur sur <strong>de</strong>s enfants, une augm entation<br />

effrayante. Il en déduit les conséquences pour<br />

la détermination exacte <strong>de</strong> l ’état <strong>de</strong> crim inalité chez<br />

nos voisins du Midi. M Thonissen signale, à cette<br />

occasion, dans la rédaction du rapport, une innovation<br />

heureuse,consistant dans l’indication <strong>de</strong>s motifs<br />

qui ont poussé les coupables vers le crim e. Il cite<br />

notam m ent la statistique relative au m eurtre. Les<br />

mobiles <strong>de</strong> ce crime se répartissent <strong>de</strong> la m anière<br />

suivante : cupidité, 14 p. c.j adultère, 2 p. c.; dissensions<br />

domestiques, 21 p. c.; am our contrarié,<br />

2 p. c.; débauche, concubinage, 7 p. c,; haine, ressentiments,<br />

vengeance,20 p. c.; querelles <strong>de</strong> cabaret,<br />

<strong>de</strong> jeu, 10 p. c.; rixes fortuites, 12 p c.; causes d iverses,<br />

12 p. c. M. Thonis8en,en term inant, fait<br />

ressortir la nécessité, pour les divers pays <strong>de</strong> l ’Europe,<br />

d’adopter un plan uniforme pour la constatation<br />

<strong>de</strong>s résultats <strong>de</strong> l’adm inistration <strong>de</strong> la justice.<br />

La classe entend ensuite la lecture d'une notice<br />

par M. Loise.<br />

COMMISSION ROYALE D’HISTOIRE. Séance du 6 novembre.<br />

— M. Devillers donne lecture d ’une notice<br />

porlant pour titre : « Le Hainaut sous le règne <strong>de</strong><br />

Maximilien d’A utriche. » Dans une communication<br />

précé<strong>de</strong>nte, M. Devillers a retracé les faits qui se<br />

passèrent au comté <strong>de</strong> Hainaut <strong>de</strong>puis la m ort <strong>de</strong><br />

Marie <strong>de</strong> Bourgogne ju sq u a la ratification <strong>de</strong> la<br />

paix d’A rras, conclue le 23 décembre 1482 La notice<br />

qu’il présente aujourd’hui fait suite à ce travail ;<br />

il y raconte ce qui se passa au même pays en 1483,<br />

1484 et 1485. La relation qu’il donue s’appuie sur<br />

un grand nombre <strong>de</strong> documents inédits, tirés <strong>de</strong>s<br />

comptes et <strong>de</strong>s registres du conseil df la ville <strong>de</strong><br />

Mons, <strong>de</strong>s comptes <strong>de</strong>s états <strong>de</strong> H ainaut, <strong>de</strong>s m é ­<br />

moires <strong>de</strong> la ville <strong>de</strong> Valenciennes, par Jean Cocqueau.<br />

ACADÉMIE ROYALE DE BELGIQUE. CLASSE DES<br />

SCIENCES. Séance du 4 novembre. — M. Gilkinet<br />

donne lecture <strong>de</strong> son rapport sur une note intitulée :<br />

S u r le glycogène chez les M ucorinées, par M. Léo<br />

E rrera. » Dans un mémoire précé<strong>de</strong>nt, dit-il, l’auteur<br />

a découvert dans les Champignons ascomycètes,<br />

un hydrate <strong>de</strong> carbone soluble, le glycogène,<br />

qui n avait été reconnu jusqu’à présent que dans le<br />

règne anim al et dans les Myxomycètes, cette classe

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