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Cinéma du réel 2011

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Leo Hurwitz #1samedi 26 mars <strong>2011</strong>, 14h00, Cinéma 2. Séance présentée par Federico Rossin.1966, États-Unis, 28 minAnglais, n&b, 16 mmImage Manfred Kirchheimer,Gert BerlinerMusiqueJohann Sebastian BachVoix off, montage, commentaireLeo HurwitzPro<strong>du</strong>ction National E<strong>du</strong>cationalTelevisionPrint source Tom Hurwitz,ASCLeo HurwitzThe Sun and Richard LippoldFilm-essai raffiné qui repose sur un socle à la fois raisonné et émotionnel.Qu’est-ce que l’art ? Comment pouvons-nous représenter des concepts abstraits? Comment concevoir l’œuvre d’art et son rapport au réel ? Grâce à sesimages intensément matérielles et densément conceptuelles, Hurwitz noustransporte à travers un véritable tour de force lyrique. La sculpture abstraiteThe Sun de Richard Lippold, filmée au Metropolitan Museum de New York,est mise en rapport dialectique avec les éléments <strong>du</strong> ciel, de la terre et de l’eau,jusqu’à devenir l’allégorie même de la créativité humaine et de ses capacitésillimitées d’imagination et d’expression. Le manifeste pour un cinéma à veniret à faire : une forme qui pense à travers la lumière <strong>du</strong> soleil. (F. R.)1964, États-Unis, 77 minAnglais, n&b, 16 mmImage Manfred Kirchheimer,D’ Arcy Marsh, Gert BerlinerMusique Ulysses KayVoix off ChristopherPlummer, Helen GahahanDouglas, Morris CarnovskyMontage Peggy Lawson,Leo HurwitzScénario Brice Howard, LeoHurwitzPro<strong>du</strong>ction National E<strong>du</strong>cationalTelevisionPrint source Tom Hurwitz,ASCLeo HurwitzAn Essay on Death : A Memorial to John F. KennedyEn 1964, la National E<strong>du</strong>cational Television décida de commander un filmen commémoration de la mort <strong>du</strong> président John F. Kennedy, un an après samort tragique. Sans vouloir banalement utiliser les images de Dallas ni tomberdans un registre facile et larmoyant, Hurwitz privilégia un style soutenuet hardi d’essayiste. Il en résulte un film-collage purement intellectuel, quianalyse la mort comme un concept abstrait et en débusque les traces dansnotre vie de tous les jours. Un montage novateur et complexe tisse des liensentre des éléments tirés de l’art, de la littérature, <strong>du</strong> théâtre ou <strong>du</strong> cinéma,mettant en avant le mouvement même de la pensée de la mort. La mort autravail qui se réfléchit : le cinéma à l’état le plus pur. (F. R.)Dédicaces& Ateliers

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