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sophisticated princes and enigmatic xv century paintings - Abolala ...

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PREFACE 7<br />

Le gr<strong>and</strong> nombre de peintures que je me proposais d’étudier, et la variété des<br />

problèmes à résoudre, nécessitaient le concours de plusieurs personnes envers<br />

lesquelles je serai toujours reconnaissant :<br />

En Allemagne : Peter Klein de l’Université de Hambourg (dont les analyses dendrochronologiques<br />

me fournirent des informations fort utiles), Rainald Grosshans de la<br />

Gemäldegalerie de Berlin, Malte Prietzel du Humboldt-Universität de Berlin, et<br />

Jochen S<strong>and</strong>er du musée Städel de Frankfort. En Autriche : Michael Alram du<br />

Kunsthistorisches Museum de Vienne; en Belgique : Bart Lambert de l’Université de<br />

G<strong>and</strong> et mon ami philologue, Xavier Tremblay, qui vit à Tournai mais enseigne à<br />

l’Université de Cologne. En Gr<strong>and</strong>e-Bretagne : Elaine Campbell et Deborah Swallow<br />

de l’Institut Courtauld, et Richard J. Walsh de l’Université de Hull. En France :<br />

Sophie Jugie, directrice du musée des Beaux-arts de Dijon, Jacques Paviot de<br />

l’Université de Paris, et Bertr<strong>and</strong> Schnerb de l’Université de Lille, ainsi que la<br />

restauratrice de talent Véronique Stedman. En Italie : Cristina Acidini Luchinat,<br />

directrice du Soprintendenza Speciale per il Polo Museale Fiorentino. Aux Etats-Unis<br />

: Maryan Ainsworth du Metropolitan Museum de New York, Michael Br<strong>and</strong> et<br />

Thomas Kren du musée Getty, Matthew Canepa du College of Charleston, Geoffrey<br />

Herman du Jewish Theological Seminary de New York, et Lloyd de Witt du<br />

Philadelphia Museum of Art. Je remercie spécialement Mahrukh Tarapor du<br />

Metropolitan Museum de New-York, qui m’encouragea à mettre sur papier le fruit de<br />

mes recherches avant toute autre démarche d’exposition.<br />

Il peut paraître assez bizarre pour un chercheur, dont l’activité principale a été à ce<br />

jour la miniature persane, de s’aventurer dans le domaine de la Renaissance italienne<br />

et nordique, et de contester l’opinion des experts au sujet d’un bon nombre de chefsd’œuvre.<br />

Mais même si la moitié de mes conclusions sont rejetées, l’autre moitié<br />

suffit pour signaler le désarroi de l’histoire de l’art médiévale en ce moment. Il se peut<br />

que, venant d’une culture dans laquelle les insinuations et les constructions imagées<br />

abondent, j’avais une prédisposition pour déceler les peintures énigmatiques et à<br />

double niveau de lecture. Il se peut aussi qu’à l’âge de Google et Wikipedia, la<br />

recherche est devenue plus facile et plus rapide qu’autrefois. Mais le gr<strong>and</strong> problème,<br />

tel que je le vois, est un manque d’intérêt pour le contexte historique. On ne peut<br />

comprendre les peintures complexes sans connaître l’histoire de la période dans<br />

laquelle elles étaient produites ; et aucune de mes découvertes n’aurait été possible<br />

sans une connaissance minimale de l’histoire du XV e siècle européen. Cette étude ne<br />

fait que souligner la valeur de l’histoire pour la compréhension des œuvres d’art.<br />

(Houston - May 2007)<br />

Par rapport à la version anglaise, l’édition française comporte l’annexe III en plus, et<br />

propose une conclusion différente pour le destinataire du Tableau A. Je suis<br />

reconnaissant à Danielle Eclache pour les corrections apportées au texte français.<br />

(Houston – Février 2009)

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