Catálogo - FCAT

grow in quantity in different regions of the continent, but
the first organizations that promote a young, and still weak,
cinematographic industry come into being. During this period,
a self-defined cinema that seeks to explain the new identity
of the continent starts to develop. At the same time, in the
80s, international recognition grows.
We will also take a brief look at how, in different African
regions, different film models and lines developed according
to the historical evolution of each country and its areas of
influence.
Related Filmography:
Djibril Diop Mambety, Touki Bouki (1973)
Med Hondo, Sarraounia (1986)
Gaston Kaboré, Wend Kuuni (1982)
Souleymane Cissé, Yeelen (1987)
Lionel Rogosin, Come Back Africa (1959)
Flora Gomes, Mortu Nega (1988)
Day 4. Contemporary African Cinema and Video: The
Filmmaker, his Camera and his World
During the 90s, and framed by a new crisis identity, African
filmmakers started to redefine their cinema, seeking to pull
away from the differentiating labels promoted by the everincreasing
African film festivals.
We will also define the birth and development of the
Nollywood film/video industry (Nigeria), and examine the
potential tools the new technologies offer this African
audiovisual sector.
Related Filmography:
Mahamat-Saleh Haroun, Bye Bye Africa (1999), Abouna
(2002), Daratt (2007)
Jean-Pierre Bekolo, Aristotle’s Plot (1997)
Adberrahmane Sissako, Heremakono (2003), Bamako (2006)
Idrissa Ouédraogo, Yaaba (1989), Tilaï (1990), Samba Traoré
(1992), The Heart’s Cry (1994)
Kunle Afolayan, Araromire (2009)
Day 5. The Festival as a Meeting Place – Master Class
with one of the Guest Filmmakers
During this session, we will explore the meaning of (African)
film festivals, not only as spaces for film exhibition, but as
alternative learning systems and cultural industries. Taking
advantage of the fact that we have African filmmakers and
creators on site, this last session will be devoted to a master
class with one of the most prominent filmmakers present at
Cordoba and shared with the course’s attendees.
345 | Espacio Universidad
nombre de cinéastes mais également du nombre d’œuvres
venues de différentes régions du continent. En outre,
apparaissent les premières structures visant à la promotion
d’une industrie cinématographique naissante, encore fragile.
À cette période, se développe un cinéma introspectif qui
cherche à expliquer la nouvelle identité du continent. Dans
les années 1980, la reconnaissance internationale s’accroît.
Nous observerons également comment dans les différentes
régions du continent divers modèles et lignes directrices se
forgèrent, variables selon l’évolution historique de chaque
pays et selon ses aires d’influences.
Filmographie :
Djibril Diop Mambety, Touki Bouki (1973)
Med Hondo, Sarraounia (1986)
Gaston Kaboré, Wênd Kûuni (1982)
Souleymane Cissé, Yeelen (1987)
Lionel Rogosin, Come Back Africa (1959)
Flora Gomes, Mortu Nega (1988)
4e jour. Le cinéma africain contemporain et la vidéo : le
cinéaste, sa caméra et le monde
Dans les années 1990, dans un nouveau climat de crise de leur
identité, les cinéastes africains redéfinissent leur cinéma, en
tentant de s’éloigner des étiquettes de différenciation mises
en place par des festivals de cinéma africain de plus en plus
nombreux.
Nous étudierons également la naissance et le développement
de l’industrie du cinéma-vidéo de Nollywood (Nigeria), ainsi
que le potentiel que les nouvelles technologies numériques
offrent au secteur audiovisuel africain.
Filmographie :
Mahamat-Saleh Haroun, Bye Bye Africa (1999), Abouna
(2002), Daratt (2007)
Jean-Pierre Bekolo, Le complot d’Aristote (1997)
Adberrahmane Sissako, Heremakono (2003), Bamako (2006)
Idrissa Ouedraogo, Yaaba (1989), Tilaï (1990), Samba Traoré
(1992), Le Cri du cœur (1994)
Kunle Afolayan, Araromire (2009)
5e jour. Le festival, lieu de rencontres – Master class avec
l’un des cinéastes invités
Durant ce cours, nous explorerons la place des festivals
de cinéma (africain) non seulement comme espaces de
projection cinématographique mais aussi comme moyens
alternatifs de connaissance et comme éléments de l’industrie
culturelle, entre autres. Profitant de la présence de
réalisateurs et de créateurs africains, cette dernière session
sera un cours magistral donné par l’un des cinéastes présents
à Cordoue.