Document de référence - ANF Immobilier

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un résultat exceptionnel d’environ - 0,7 million d'euros (contre environ
18,0 millions d'euros au 31 décembre 2005),
l'impôt sur les sociétés représentant environ - 0,1 million d'euros (contre
environ - 4,3 millions d'euros au 31 décembre 2005).
Lors de son rachat par Eurazeo, ANF a cédé les titres de participation qu'elle
détenait ce qui a généré un résultat exceptionnel de 18 millions d'euros au
31 décembre 2005.
Les produits d'exploitation se sont élevés à environ 27,6 millions d'euros au 31
décembre 2006 (contre environ 26,7 millions d'euros au 31 décembre 2005)
soit + 3,0 % :
o Les revenus locatifs ont progressé de 6,6 % du fait d'une augmentation
des loyers due principalement aux renégociations des baux à Lyon. Ils
atteignaient 24,3 millions d'euros au 31 décembre 2006 (contre
22,8 millions d'euros au 31 décembre 2005) et étaient répartis au
31 décembre 2006 à hauteur de 56 % pour Marseille et 44 % pour
Lyon.
o Les remboursements de charges locatives ont représenté environ
3,3 millions d'euros au 31 décembre 2006 (contre environ 3,9 millions
d'euros au 31 décembre 2005).
Les charges d'exploitation ont augmenté à 22,8 millions d'euros au
31 décembre 2006 contre 20,4 millions d'euros au 31 décembre 2005. Elles se
décomposent essentiellement de la manière suivante :
o Les achats et charges externes ont diminué de 4,9 % à 7,7 millions
d'euros au 31 décembre 2006 contre 8,1 millions d'euros au 31
décembre 2005. Ils sont constitués des charges sur immeubles et des
charges de fonctionnement de la Société.
o Les autres postes de charges principalement constitués des charges de
personnel (5,2 millions d'euros au 31 décembre 2006 à comparer à
4,8 millions d'euros au 31 décembre 2005) et des impôts et taxes
(3,1 millions d'euros au 31 décembre 2006 à comparer à 3,7 millions
d'euros payés en 2005 du fait de l'assujettissement des immeubles à la
TVA, entraînant une réduction de la contribution sur revenus locatifs).
Les dotations aux amortissements sont passées de 3,7 millions d’euros au
31 décembre 2005 à 6,3 millions d'euros au 31 décembre 2006. Cette variation
provient essentiellement de la dotation sur la quote-part amortissable des
immobilisations réévaluées lors de l'adoption du statut SIIC.
Le résultat financier au 31 décembre 2006 représentait une perte de 0,8 million
d'euros (contre + 0,2 million d'euros au 31 décembre 2005). Il était constitué
principalement, pour les produits, par les dividendes de la SGIL (0,2 million)
et pour les charges, par les frais financiers générés par les 53,9 millions
d'emprunts. La variation d'environ 1 million d'euros résulte essentiellement de
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