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Mortalités, effondrements et affaiblissements des colonies d'abeilles

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Figure 12 (annexe 4) : Carte <strong>des</strong> régions anglaises <strong>et</strong> galloises appartenant au réseaud’épidémiosurveillance du CSL <strong>et</strong> champs d’activité de « l’unité nationale de l’abeille » (National BeeUnit) (Source : CSL NBU)BeekeepersBee healthpanelResearchCommercialFieldinspectionsNBUV<strong>et</strong>erinary MedicinesDirectorateCommission OIEDiagnosticsImports/ExportsTrainingConsultancy2) FONCTIONNEMENT DU RESEAULe réseau d’épidémiosurveillance fonctionne via un site informatique nommé « BeeBase ».Ce site comprend :- une partie publique, consultable par chacun <strong>et</strong> notamment, par les apiculteurs quipeuvent y trouver de nombreuses informations sanitaires ;- une partie interne, sécurisée, à laquelle les inspecteurs ont accès depuis leurdomicile.Le système d’enregistrement <strong>des</strong> apiculteurs dans c<strong>et</strong>te base n’est pas réglementé ; cesderniers sont encouragés à se déclarer, volontairement, dans le but d’accéder, ensuite, auxinformations, conseils <strong>et</strong> formations délivrés par les agents du CSL sur les pratiquesapicoles.La principale vocation de ce système informatique correspond au contrôle <strong>des</strong> maladiesapicoles.Le système d’inspection est basé sur une identification <strong>des</strong> ruchers à risques via unsystème GIS (système d’information géographique) qui perm<strong>et</strong> d’élaborer <strong>des</strong> plans <strong>des</strong>urveillance <strong>et</strong> d’inspection assortis de cartes numériques, <strong>et</strong> d’étudier l’épidémiologie <strong>des</strong>maladies (cf. figure 13).Chaque inspecteur régional possède une liste <strong>des</strong> ruchers de sa région, du suivi <strong>des</strong>quels ilest responsable. La fréquence <strong>des</strong> visites de chaque rucher est à peu près annuelle ; elledépend <strong>des</strong> plans de surveillance programmés, qui sont fonction <strong>des</strong> risques présentés parles ruchers.Deux types de réseaux fonctionnent actuellement en parallèle. Ils correspondent :- à un réseau de type « alerte » fonctionnant sur la base du risque estimé, à partir decertains foyers ou lieux particuliers ;- à un système de surveillance complémentaire nommé « random », qui concerne lesruchers non concernés par les zones à risque.148

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