Berichte über Landwirtschaft - BMELV

Landwirtschaft ohne Ausgleichszahlungen? Mögliche Folgen für Einzelbetriebe und Regionen
expected, regular profits after deduction of the allowances/subsidies showed a negative development.
However, the differences between the holdings in Saxony-Anhalt and Bavaria showed that
the holding size alone is no guarantee for future survival. Under the changed framework conditions
the proprietary structure of the holdings – not including other adjustment measures – becomes paramount
for their stability. Thus, in the short and medium term the bavarian holdings under consideration
would in any case have displayed less serious existential problems than their counterparts in
Saxony-Anhalt - even without payment of allowances and subsidies.
In the interest of a „full-coverage“ statement, aspects of „agriculture without compensatory payments“
were calculated for the whole of Germany using a model on the basis of standard profit
contributions. For the regions the calculations were mainly based on data for the „Kreise“ (districts).
Although agriculture will always to be ruled by the dictum „live or die“ and unprofitable crops
will continue to be replaced by others, adjustment reactions by agricultural holdings are left out
of the model for synoptic reasons. The aim is to show what kind of changes are to be expected in
the different regions without allowances or subsidies, if present structures were to be maintained.
For the values „standard profit contributions per hectare“, „standard producer income“ „profit“ and
„calculatory profit“ a set of figures illustrates opposing situations, i. e. the situation with and without
paid allowances and subsidies.
The studies show that regions and agricultural holdings would be affected differently if payments
and subsidies were abolished or reduced progressively. In many regions simply continuing as usual
will therefore be neither sensible nor possible and the final discussion will invariably concern the
question of what form adjustment reactions could take.
Résumé
L’agriculture sans versements de compensation?
Eventuelles conséquences pour les exploitations individuelles et les régions
Il n’est pas possible de prognostiquer avec précision le développement de la future politique agricole,
mais toutefois il y a lieu de supposer à juste titre qu’elle abandonnera de plus en plus les versements
de compensation.
Afin de mettre en évidence les conséquences que pourrait avoir un tel bouleversement concernant
des formes sélectionnées d’exploitations similaires, couronnées de succès, situées en Saxe-Anhalt
et en Bavière, les différences entre les résultats obtenus par les exploitations bénéficiant ou non de
subventions ou de primes ont été établies et justifiées. Comme il fallait s’y attendre, le bénéfice apuré,
réglé, dû aux conséquences des subventions ou aux primes se développa d’une manière négative.
Les différences entre les exploitations de la Saxe-Anhalt et de Bavière montrent toutefois clairement
que l’importance de l’exploitation à elle seule n’apportait aucune garantie pour l’existence futur de
la dite exploitation. Dans de telles conditions cadres changées, la structure des exploitations – sans
l’inclusion de quelconques mesures d’adaption - acquiert une importance primordiale pour sa stabilité.
Les exploitations de Bavière examinées auraient à court ou moyen terme, moins que leurs
partenaires similaires de Saxe-Anhalt, sans jouir du versement des subventions et de primes, à faire
face à de sérieux problèmes d’existence.
Afin de permettre de faire des déclarations d’ensemble, on a, à l’appui d’un modèle sur la base de
montants de la garantie standards pour l’ensemble de l’Allemagne, calculé des aspects d’une «agriculture
ne bénéficiant pas de versements de compensation». En tant que base régionale, les calculations
données de large envergure prenaient pour base le niveau du cercle. Bien que, également à l’avenir,
la maxime répandue dans l’agriculture «croître ou céder», se fera entendre et que des cultures peu
rentables seront remplacées par d’autres plus efficaces, cette, ces réactions d’adaption d’exploitations
agricoles pour des motifs de vue d’ensemble ne sont prises en considérations. On devra se borner à
mettre en évidence les changements qui privés de subventions ou de primes seraient tendantiellement
attendus dans les différentes régions si les structures actuelles étaient maintenus à l’avenir. Pour les
valeurs «montants de la couverture standards par hectar», «revenus de l’entreprise standard», «bénéfice»
et «bénéfice calculé», une série d’illustrations expose pour chaque cas la situation contraire,
c’est-à-dire avec ou sans le payment de subventions et de primes.
Il ressort clairement des examens entrepris que des régions et des formes d’exploitations agricoles
seraient différemment et sensiblement touchées si les subventions et les payments actuels étaient
supprimés ou faisaient l’objet de réductions constamment en hausse. Dans de nombreuses régions
un comportement «simplement comme par le passé» ne sera donc plus raisonable ou même, n’aura
plus raison d’être, et c’est pourquoi la discussion de la question de savoir comment se présenteront
les réactions d’adaption clôturera cette étude.
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