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La vie des maîtres - Jeff Le MAT

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<strong>La</strong> <strong>La</strong> <strong>La</strong> <strong>La</strong> <strong>vie</strong> <strong>vie</strong> <strong>vie</strong> <strong>vie</strong> <strong>des</strong> <strong>des</strong> <strong>des</strong> <strong>des</strong> <strong>maîtres</strong>, <strong>maîtres</strong>, <strong>maîtres</strong>, <strong>maîtres</strong>, Bair Bairdddd Bair Bair Thomas TT<br />

Thomas<br />

homas homas Spaldin Spaldin Spaldin<br />

Livre Livre Livre Livre VV<br />

VV<br />

Je me trouvais en Espagne, près de l’une <strong>des</strong> plus<br />

gran<strong>des</strong> mines de cuivre du monde, quand une famille russe<br />

arriva avec une petite fille de onze ans dont le père s’était<br />

embauché à la mine. Ils me dirent que leur enfant possédait<br />

ce que l’on appelle la « touche de guérison ». Par exemple,<br />

elle posait sa main sur une personne et lui disait : « Je vous<br />

aime, et je vous aime même tellement que votre maladie s’en<br />

est allée et j’ai rempli d’amour l’espace qu’elle occupait ». Et<br />

nous avons constaté que c’était exact. Dans le cas d’une<br />

difformité, la personne devenait absolument parfaite. J’ai vu<br />

un malade qui avait presque atteint les derniers sta<strong>des</strong> de<br />

l’épilepsie. <strong>La</strong> fillette posa sa main sur lui et dit : « Ton corps<br />

entier est plein d’amour et je ne vois que la Lumière. » En<br />

moins de trois minutes la maladie avait complètement<br />

disparu. <strong>La</strong> lumière et l’amour émanant du corps de cette<br />

fillette étaient si puissants que nous pouvions les voir et les<br />

ressentir.<br />

Alors que j’étais encore un petit garçon, je jouais un jour<br />

avec d’autres enfants, juste hors de notre maison à<br />

Cocanada, sur la côte orientale de l’Inde. L’obscurité<br />

approchait très rapidement, car il n’y a pas de crépuscule<br />

dans cette région. Un petit garçon ramassa un bâton et m’en<br />

frappa le bras. Il m’en fractura les deux os, et ma main<br />

retomba inerte. Bien entendu, au début, ce fut horriblement<br />

douloureux, puis mes pensées se remémorèrent un exposé<br />

que m’avait fait mon professeur : « Va dans l’obscurité et<br />

mets ta main dans celle de Dieu, car c’est mieux qu’une<br />

lumière et plus sûr qu’un chemin connu. » <strong>La</strong> Lumière<br />

m’entoura, et presque immédiatement la douleur disparut<br />

complètement. Je grimpai sur un grand banian pour être<br />

seul, et la lumière continuait à m’entourer. Je la considérai<br />

comme une Présence, mais je n’oublierai jamais l’incident<br />

Tandis que j’étais assis seul sur une branche de cet arbre,<br />

ma main se redressa toute seule. Je restai sur l’arbre toute<br />

la nuit ; au matin il n’y avait plus aucune trace de fracture à<br />

mon bras, sauf une enflure dans la région où les deux os<br />

avaient été cassés. Mes parents croyaient que les servantes<br />

s’étaient occupées de moi et m’avaient mis au lit. <strong>Le</strong><br />

lendemain matin, quand je leur racontai ce qui s’était passé,<br />

ils ne purent me croire et m’emmenèrent immédiatement<br />

chez un docteur. Celui-ci dit que les deux os avaient été<br />

fracturés mais s’étaient parfaitement ressoudés. Depuis lors,<br />

ma main ne me causa jamais plus d’ennuis.<br />

Spaldingggg 588

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