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La vie des maîtres - Jeff Le MAT

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<strong>La</strong> <strong>La</strong> <strong>La</strong> <strong>La</strong> <strong>vie</strong> <strong>vie</strong> <strong>vie</strong> <strong>vie</strong> <strong>des</strong> <strong>des</strong> <strong>des</strong> <strong>des</strong> <strong>maîtres</strong>, <strong>maîtres</strong>, <strong>maîtres</strong>, <strong>maîtres</strong>, Bair Bairdddd Bair Bair Thomas TT<br />

Thomas<br />

homas homas Spaldin Spaldin Spaldin<br />

Livre Livre Livre Livre II II II II<br />

nombre de choses à dire et espérait ne blesser personne, car<br />

il n’avait aucune intention critique. Il dit encore : Nous<br />

sommes venus dans ce pays croyant y trouver <strong>des</strong> résidus de<br />

peupla<strong>des</strong> depuis longtemps mortes et disparues. Au lieu de<br />

cela, nous trouvons <strong>des</strong> gens dont nous ne pouvons même<br />

pas comprendre la <strong>vie</strong> magnifiquement active. Si les choses<br />

que nous avons vues pouvaient être publiées dans nos pays,<br />

vous auriez le monde entier à vos pieds.<br />

<strong>Le</strong>s trois dames répondirent qu’elles ne désiraient<br />

nullement avoir le monde entier à leurs pieds. Elles<br />

expliquèrent que l’humanité avait déjà beaucoup trop<br />

d’idoles, mais manquait d’idéal.<br />

À ce moment, tous les visiteurs, à l’exception de celui qui<br />

avait frappé le premier à la porte de la tente, se levèrent en<br />

disant qu’ils étaient obligés de partir. Ils nous serrèrent la<br />

main et nous invitèrent à leur rendre visite quand nous<br />

voudrions. Puis ils disparurent aussi subitement qu’ils<br />

étaient venus, laissant Raymond et son détachement les<br />

yeux écarquillés devant l’endroit où ils s’étaient tenus.<br />

Au bout d’un instant, Raymond s’adressa à l’homme qui<br />

était resté et lui demanda son nom. Il répondit qu’il<br />

s’appelait Bagget Irand. Alors Raymond lui dit :<br />

Prétendez-vous être capable d’aller et de venir à volonté sans<br />

moyen de transport visible, comme nous venons de le voir,<br />

au mépris de toutes les lois connues de la physique et de la<br />

gravitation ?<br />

Bagget Irand répondit : Nous ne méprisons aucune loi,<br />

nous ne violons aucune loi divine ni humaine. Nous<br />

coopérons. Nous travaillons selon les lois naturelles et<br />

divines. <strong>Le</strong>s moyens de transport dont nous nous servons<br />

sont invisibles pour vous mais parfaitement visibles pour<br />

nous. <strong>La</strong> difficulté <strong>vie</strong>nt précisément de ce que, ne les voyant<br />

pas, vous n’y croyez pas. Nous les voyons, nous y croyons,<br />

nous les connaissons, et nous pouvons les utiliser.<br />

Imitez-nous, ouvrez votre intelligence. Vous ne tarderez pas<br />

à découvrir que ces lois et règles sont parfaitement précises<br />

et pourraient rendre infiniment plus de services à<br />

l’humanité que les lois limitées, auxquelles vous avez<br />

recours. Vous n’avez fait qu’effleurer les possibilités<br />

humaines. Nous aurons toujours grand plaisir à vous<br />

assister par tous les moyens en notre pouvoir.<br />

Chander Sen expliqua que Bagget Irand était venu pour<br />

nous inviter à passer par son village lors de notre retour à<br />

notre campement de départ. À cette époque de l’année, le<br />

Spaldingggg 204

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