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illait derrière lui. Alors il gagna l’ombre en boitant et elle vit un grand prêtre à l’allure de soldat, la cinquantaine, vêtu d’un manteau et d’un chapeau de lainage noir, le jésuite qu’elle avait rencontré sept ans auparavant à la Hofbräuhaus, celui qui avait regretté de lui dire que son oncle était un homme dangereux. — Vous êtes nazie à présent ? lui demanda-t-il. Elle lui dit que non. Puis elle se souvint qu’il s’appelait Rupert Mayer. — C’est votre bijou qui tend à le faire croire, dit-il. Elle tripota la croix gammée en or qui ornait son cou. — Un cadeau. Voulez-vous vous asseoir ? — J’ai des confessions dans peu de temps. Un catholique ne peut être antisémite, reprit le jésuite d’un ton ferme. Vous savez cela ? Elle répondit par l’affirmative sur un ton amical, mais peu convaincue. — Il y en a beaucoup qui ne le sont pas, dit Mayer en joignant les mains. Alors, vous aimez l’Allemagne, malgré le climat politique ? — Oui. C’est un beau pays. — Bon. Cela fait combien de temps maintenant que vous vivez ici ? — Quatre ans. Il fronça les sourcils en continuant son inventaire. — Vous êtes heureuse ? Elle se sentit offensée d’une certaine façon. — Pourquoi cette question, père Mayer ? — La Fräulein d’aujourd’hui n’est pas celle que j’ai rencontrée il y a sept ans. — Je suis plus vieille, dit-elle. — Non. Je le vois bien. Le joug n’est pas facile à supporter. Les larmes lui brouillèrent la vue et elle se détourna pour les retenir. Décidément, elle pleurait pour un oui ou pour un non à présent. Elle entendit le prêtre lui parler. — Ça va, Fräulein Raubal ? Elle hocha la tête et agita la main. Pour lui dire de partir. Elle finit sa bière et repoussa la chope tandis que le prêtre touchait son chapeau et se préparait à traverser Neuhauserstraße, 294
appuyé sur sa canne. Elle le regarda attendre qu’un flot de camions soit passé, puis elle se leva et se dirigea vers lui d’un pas hésitant. — Quelle circulation ! sourit-il. — C’est vrai, lui dit-elle. Je ne suis pas heureuse. — Cela ne me surprend pas, répondit-il d’un ton compatissant. — Vous voulez bien m’entendre en confession ? 295
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RON HANSEN LA NIÈCE D’HITLER Rom
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4 Pour Bo.
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tournoyer dans un geste saugrenu un
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Angela confia Geli à tante Johanna
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— À quelques minutes de la Westb
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produisit une feuille de papier pli
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avaient volé le gros lot. Et il a
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Tous écoutèrent en silence pendan
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II 34, Schleissheimerstraße, 1913
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Dès qu’elle fut entrée dans la
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— En Bavière ! Elle se retourna
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25 mai 1913 : « Adolf Hitler, pein
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Puis il croisa les jambes et, les m
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— Je n’ai pas l’habitude d’
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ses poings un être velu, ou un sin
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III Le caporal et le Schatzkamme, 1
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campagne était la première femme
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empoisonnée. Nous ne pouvons pas n
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yeux, je n’étais plus aveugle !
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Et Hitler reprit la parole. Angela
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— Tout ce qui ne va pas en Autric
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débouler dans les rues en civil, p
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La vallée de la Ruhr, la principal
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Ensuite Hitler ordonna au général
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Au lever du soleil, les putschistes
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évolutionnaires se réfugièrent d
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V La veuve joyeuse, 1923 Comme l’
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— Eh oui, je dois, je suis oblig
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pris en sténo, et ces notes envoy
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petit trait d’humour, ne ratant p
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— Le concierge de l’hôtel Sach
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— Et puis j’ai honte que ce soi
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mais laissé en liberté, tandis qu
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d’Hitler et de caricatures rudime
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— Tout simplement que l’avenir
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— Il n’y a pas de sport dans ce
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— Je suis le mystique du parti, d
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derrière elles la forêt noire se
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violettes et un pantalon de serge b
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— Haendel ! Cet Anglais ! Elle ra
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— Vous ressemblez à un desperado
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— Mais c’est moi qui suis cens
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du sabotage organisé par les chefs
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marquée NSDAP, déposant chichemen
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— Vous ne comprendriez probableme
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Emil lui dit qu’elle irait s’as
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enflammés qui s’étaient levés
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avait beau ne pas donner l’impres
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mariages mixtes. Dans un accès de
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avant de s’appuyer familièrement
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Mercedes personnalisée de son oncl
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grande médaille d’argent de Bulg
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VIII Haus Wachenfeld, 1927 La premi
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pour sa nièce à Munich, à moins
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écupérait le courrier à la boît
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champagne provoquait des migraines,
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C’est donc un Hitler agacé, vêt
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— Vous jouez du piano, Fräulein
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— Ma parole, vous avez rudement g
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Angela resta à Haus Wachenfeld pou
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les cinq hommes et les prostituées
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— On est en train de faire cuire
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Elle secoua la tête. — Eh bien,
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Et ce fut son tour d’être mal à
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tandis que les autres étudiantes o
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Comme elle voulait agrémenter un p
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— Moi aussi j’aime vos yeux. Il
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Emil eut un sourire affecté devant
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— Après tout, c’est peut-être
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Emil et Geli comme à des enfants q
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attention inquiète entre Emil et e
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dessus de ses épaules, son visage
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— Si seulement j’avais quelqu
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X Les amis d’Hitler, 1928 De tous
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peine aux plats, aussi plein d’ad
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Comme Angela ne l’avait pas prév
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Il sourit. — Et pourtant, je suis
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Julius Schaub avait entouré ses ge
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elle l’avait pris de force dans s
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dessus le marché il était sans le
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Carin était plus grande que lui et
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ennemis de l’Allemagne pour leur
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— Asseyons-nous, dit-il, et ils s
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XI Pique-nique, 1928 Elle abandonna
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— Nous l’aimons tous, renchéri
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— Ça, c’est un bon jeu, sourit
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Bas autrichiens et la Bavière au X
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considérait tout trajet sur une gr
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eau encore si froide qu’elles eur
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Konzerthaus, avec un cabinet médic
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— Pourquoi ? Léo prit deux cigar
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il la renvoya en la faisant lenteme
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— Et c’est exactement pour cela
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Zeppelin du dernier chic, un bichon
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De sa fenêtre du troisième étage
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— Et vous ? — Moi, j’aime cha
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étudiant en médecine, grand, blon
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Göring traita Goebbels de « pied-
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Il avait raison. Elle serait en fau
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— Il y a une chose que tu dois sa
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Je rentre ? se demanda Geli. Ses pi
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XIII Études de nus, 1929 Les leço
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chevelure reconnaissable sous des b
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petits verres de cognac Asbach Ural
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Soudain Hitler partit à grandes en
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— C’est très bien. Il commenç
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dans le miroir, et avec un nœud à
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XIV 16, Prinzregentenplatz, 1929 En
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pierre grise représentant Wotan su
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Anni grimaça un sourire. Une buand
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un smoking noir et tenait une flût
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sujet d’un ancien article du Wash
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pardessus made in London, car il s
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Elle voyait bien qu’il essayait d
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Elle s’avança vers la tête du l
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ou beaucoup plus vieilles. Trois po
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— Racontez ! — Il y avait cinq
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de la porte, faisant trembler toute
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XV Élections, 1930 Un homme d’af
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l’air d’une vieille chanson à
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Page 272 and 273: secondes elle se sentit si faible q
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Page 326 and 327: gouvernante du chalet d’Obersalzb
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Page 330 and 331: sa femme et leurs six jeunes enfant
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Page 336 and 337: Convaincus que leur Führer devait
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Page 340 and 341: NOTE DE L’AUTEUR Cet ouvrage est
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