Mémoires 1881 Tome 17 - Ouvrages anciens sur Saint-Omer (Pas ...

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à un propriétaire'aiant loué sa'charge ni à d'autres'-non
locataires, sur : cinquante 'livres contre 'ies-'ôontréveharis
et confiscationides cheveux., -■. - ,i i. : •: ^,n;i'v' ,!■.
' 28. 'Chaque rhâitrë représen fera' aux doïèh'et'égards'-sôn
journal ; po'ûr vérifier" quels 's'ôhVTes !l ap'prëntiïs'' où 'ses
g'arçoris, :l le ; tout sdiis 1 expurgation' J de serment;''sur' vingt
livres; les veuves et'locataires sont 1 astreints' aii 'même
serment par rapport'à leurs garçons, 1 sous'-les mêmes
peines. , :i ,, -. y ^pendre des - bassins blancs-,,$t non , pas^ des rjaunes
comme les chirurgiens; avec cette inscription. :jCéans,on
fait lejwjj, on, tient bainletétuyes..^ ,,,-, ,,,.,„,;, ;,,..•, ,
Les chirurgiens ne peuvent peindre leurs bdutiquesien-
■ bleu; etc^jSui'jCinquante liyres., .,-,il|,iri> .,;. --sr^'hu ,i
' i?('Tahlc-alp : Iwhétiijueaux archivés de laville)v,. >■
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lieglement des maîtres perruquiers.
Mayeur et Echevins" de la ville et cité de Saint-Omer," à
tous ceux qui ces présentes lettres verront, salut : Savoir
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laisons que, vu la requête a nous présentée par le doyen,
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égards dos «corps et communauté des perruquiers, baigneurs,
étuvistes de'cette ville du'treize mai'de.r'nier,
tendante à ce que, pour éviter toutes contestations et
procès'que ladite-communauté est' obligée 'd'essuyer et