hiver - Historical Revisionism by Vrij Historisch Onderzoek
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——————————————————————> Conseils de révisions / <strong>hiver</strong> winter 2007<br />
De jeunes iraniens à l'air sérieux, en costumes et chemises ouvertes, côtoient des rabbins ultraorthodoxes<br />
appartenant à une secte juive condamnant la création d'Israël, alors que des révisionnistes<br />
européens se livrent à des journalistes étrangers.<br />
Les juifs ultra-orthodoxes portent par dessus leur long manteau noir un drapeau israélien barré<br />
d'une ligne rouge et portant le slogan: "nous sommes juifs, pas sionistes".<br />
L'un d'eux, le rabin Yisroel Dovid Weiss, qui ne nie pas l'holocauste, a expliqué être venu "pour<br />
révéler au monde le détournement de l'holocauste par les sionistes et l'Etat d'Israël".<br />
La liste des participants, originaires de plus de trente pays, constitue un véritable gotha des<br />
révisionnistes, dont bon nombre ont un casier judiciaire à cause de leurs prises de positions.<br />
Le Français Robert Faurisson est là, mais a décidé de réserver la primeur de ses propos à son<br />
auditoire plutôt qu'aux journalistes. Cet ex-professeur de littérature a été condamné à de multiples<br />
reprises par la justice de son pays pour ses thèses niant la réalité du génocide des juifs.<br />
Un absent notoire est l'historien britannique David Irving, qui purge une peine de trois ans de<br />
prison en Autriche. Mais une copie de son livre "La guerre d'Hitler" est en vente à la librairie du<br />
centre.<br />
"Les consciences sont éteintes face au dogme de l'holocauste, qui est vendu comme un fait<br />
historique, alors même qu'on ne peut pas le remettre en question. C'est un viol mental", a dit à l'AFP<br />
l'Australien Fredrick Töben<br />
"C'est mon devoir d'être ici, si nous ne pouvons pas parler librement c'est un crime contre<br />
l'humanité", a poursuivi M. Töben, qui a purgé une peine de prison en Allemagne pour incitation à la<br />
haine raciale.<br />
Les murs du centre portent des posters prétendant exposer les "mythes" de l'holocauste,<br />
contestant que de la fumée se soit jamais échappée des cheminées des fours crématoires d'Auschwitz<br />
ou encore critiquant le film La liste de Schindler.<br />
Une affiche, portant une flèche et le mot "vérité", montre M. Irving et ses collègues Ernst<br />
Zuendel et Germar Rudolf, devant un tribunal pour incitation à la haine raciale.<br />
M. Töben a quant à lui amené dans ses bagages un modèle miniature, de la taille d'une très<br />
grande table, du camp de concentration de Treblinka. Il a expliqué vouloir l'utiliser, avec ses<br />
figurines et trains miniatures, pour démontrer selon lui que les chambres à gaz n'ont jamais<br />
existé.<br />
La plupart des historiens du troisième Reich estiment qu'environ six millions de juifs ont été<br />
exterminés dans l'holocauste.<br />
La négation du massacre organisé des juifs pendant la deuxième guerre mondiale est punissable<br />
de prison dans de nombreux pays européens.<br />
fpn-sjw/pcl/hj AFP 111411 DEC 06<br />
http://www.mehrnews.com/en/<br />
IRAN: APRÈS LES DÉCLARATIONS DU PRÉSIDENT AHMADINEJAD<br />
Téhéran réunit une conférence sur la « réalité » de la Shoah<br />
Henri Tincq<br />
ON EN PARLE dans les organisations juives comme d'une « véritable ignominie ». Une<br />
conférence internationale - dont l'objectif semble être de contester la réalité de la Shoah - devrait<br />
attirer, lundi 11 et mardi 12 décembre à Téhéran, soixante-sept « historiens et chercheurs » de trente<br />
pays, dont les Etats-Unis, la France, l'Allemagne, l'Autriche.<br />
Jamais une manifestation à forte tonalité négationniste de cette ampleur n'avait eu lieu<br />
dans un pays musulman. A l'initative de deux organisations néonazies (américaine et suisse), une<br />
conférence de même nature avait failli se tenir en 2001 à Beyrouth, mais avait été annulée après un<br />
appel d'intellectuels de quatorze pays arabes (dont les Palestiniens Edward Saïd, décédé depuis, et<br />
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