12.07.2015 Views

Management et gestion des unités commerciales - Editions Bréal

Management et gestion des unités commerciales - Editions Bréal

Management et gestion des unités commerciales - Editions Bréal

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

Doc. 1 Du capitalisme au manager <strong>et</strong> au leaderChapitre 3LA NOTION DE MANAGEMENTQuestion 1 La première étape a consacré la légitimité du chef d’entreprise propriétaire du capital. La seconde aconsacré celle <strong>des</strong> savoir-faire professionnels. Enfin, la dernière étape fait place à la reconnaissance du leadermeneur d’hommes.Question 2 Le management a supplanté le capital parce que aujourd’hui, détenir seulement le capital ne suffitplus à bien manager l’entreprise. En eff<strong>et</strong>, pour bien exécuter ses fonctions, un chef d’entreprise doit se fairerespecter naturellement, c’est-à-dire faire preuve de charisme <strong>et</strong> inspirer l’exemple par son action, c’est-à-direêtre compétent.Doc. 2 Un exemple de managementQuestion Il ne pourrait y avoir un style de management idéal, applicable dans toutes les circonstances <strong>et</strong> danstoutes les entreprises parce que chaque manageur est unique, avec sa personnalité, sa culture, sa sensibilité, <strong>et</strong>également parce que chaque entité sociale est un cas particulier.Doc. 3 Le management <strong>des</strong> jeunesQuestion Les enjeux du management <strong>des</strong> jeunes pour UNISYS concernent surtout l’anticipation sur la <strong>gestion</strong>prévisionnelle du personnel jeune. Il s’agit, dans un secteur aussi volatil que l’informatique, de proposer un plande carrière à c<strong>et</strong>te catégorie de personnel, en maintenant intact leur intérêt pour le travail <strong>et</strong> leur motivation ausein d’UNISYS.Doc. 4 Les leviers de la fidélisationQuestion Le facteur humain étant au centre de l’organisation, le leader d’une équipe ne peut plus dans lemanagement moderne se limiter aux intérêts exclusivement matériels de ses membres car la dimensionpsychosociologique (par exemple, la motivation) y est importante.Doc. 5 Kurt Lewin <strong>et</strong> les théories du leadershipQuestion 1 Le style de leadership influe directement sur deux dimensions : celle de la productivité <strong>et</strong> celle duclimat social du groupe. La productivité est un indicateur de compétitivité pour l’entreprise. Seul un climat socialserein (conditions de travail, relations entre les membres, <strong>et</strong>c.) perm<strong>et</strong> de ne pas comprom<strong>et</strong>tre la productivité.Question 2 K. Lewin distingue trois formes de leadership ou de mode d'exercice du commandement :- le leadership autoritaire qui se tient à distance du groupe <strong>et</strong> use <strong>des</strong> ordres pour diriger les activités du groupe ;- le leadership démocratique qui s'appuie sur <strong>des</strong> métho<strong>des</strong> semi-directives visant à encourager les membres dugroupe à faire <strong>des</strong> sug<strong>gestion</strong>s ;- le leadership du laisser-faire qui ne s'implique pas dans la vie du groupe <strong>et</strong> qui participe au strict minimumaux différentes activités.Au sein du premier groupe dirigé autoritairement, le rendement est manifestement plus élevé que dans les autresgroupes. Pour autant, la pression portée sur le groupe fait qu'il n'y a pas de véritable relation de confiance, ce quise traduit parfois par <strong>des</strong> actes de défiance ou de rébellion. Lewin observe que les membres du groupe avec unleader démocratique manifestent <strong>des</strong> relations plus chaleureuses <strong>et</strong> amicales, participent beaucoup plus auxactivités du groupe <strong>et</strong>, une fois le leader parti, continuent le travail <strong>et</strong> font preuve d'autonomie dans le travail.Enfin, le laisser-faire semble constituer la pire <strong>des</strong> métho<strong>des</strong>.Le groupe n'obtient pas de résultats satisfaisants, reste paradoxalement très dépendant d'un leader peu impliqué<strong>et</strong> demeure constamment en quête d'informations <strong>et</strong> de consignes. En définitive, ces recherches montrent lasupériorité d'un mode de management démocratique, fondé sur <strong>des</strong> métho<strong>des</strong> semi directives, sur d'autresapproches du commandement.13

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!