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iniure ôe reproche.le n'ay ditmot,nonp,ui dedifli ^
qu vn mutCjÔen'ay point ouuert ma bou- n,e' '
cncparccque cek s'eft faid parvous.Reti¬
rez deinoy vos battures,ôec.C'eftvous (dit
il)quii'auezfai(5 ,d' autant queparkdifpéfa
tiô de voftre prouidéce,vous m'auez voulu
rendrcplus efprouue par ce moyen. Et le
mefine encores en vn autre endioit , où
nous hfons : Deliurez mon ame du mef- Frameaia
chant, ton glaiue des ennemis de ta main: tuaroab ,
faind Hierofnie le tourne ainfi de l'He- 1Dimias
brcu.Deliurez mon ame de lafureur du mef- f1*
chant, qui eft voftre glaiue. Or par cemoe
àeframea,ou de Glaiue, le Prophète a figni¬
fie toutesles chofes qui nous aduiennenc
en cc mode, foiét bônes foiét fakheufes,k
diuine prouidence l'ordonnant ôe le permettât
ainfi pourle falut des efleus.Cc qu'e¬
ftant bien entédu dukind perfonnage lob,
iln'attribuapasau diable, quiluy auoitruïné
tous ks bicns,ceft accidentmais à Dieu,
côme à l'autheur de ce,quandii dift, Lc Sei¬
gneur les m'a baillé, le Seigneur les m'aauf-
fîoftez,ôec.
IIII.
Mais vous me direz encores: Ceft enne¬
my nc m'a point endommagé cn mes biens
ou richeffes , ains en l'honneur ( que ks
gens de bien ont plus cher queles biens)
m'ayant diffame par fesmefdikncesôc in- in-
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