DZIEŁA - Cyfrowa Biblioteka Narodowa Polona

310 Dokumenta. — V.
parce qu'elles le sont par les gens qui sont au timon des
affaires, qui peuvent prendre beaucoup sur eux, qui cachent
ou représentent les choses au monarque, sans expérience
malgré sa bonne volonté, de manière qu'ils trouvent convenable
à leurs vues personnelles. Dans cette position, ne pouvant
pas extorquer la signature du traité de commerce immédiatement,
je trouve essentiellement important de ne pas interrompre
la négociation dans son cours, afin de ne donner
aucun prétexte aux changements ou aux questions sur les articles
déjà convenus. Vous savez que 'interruption, la substitution
d'un autre négociateur, le départ motivé par l'indécision
d'une des parties transigeantes, pourraient y prêter. C'est pourquoi
je sacrifie mon loisir, ma santé, mes intérêts et le plaisir
que j'aurais eu de revoir au plus tôt ma patrie et mes amis,
au bien de cette patrie. Je crois par là suivre vos conseils,
car j'aurais pu me prévaloir de la permission que le roi
m'a accordée, ;mais je ne l'aurais pu faire qu'en exposant les
objets maintenant covenus au risque d'être révoqués en doute,
et peut-être le premier d'être mis en avant J ), ce qui ne saurait
avoir lieu vis-à-vis de moi, qui tiendrai ces messieurs en
haleine, pourvu que je sois soutenu par la fermeté de mes
commettants. Vous avez approuvé ma dépêche relative à cet
objet, veuillez donc contribuer à ce que l'exécution en soit
facilitée ou plutôt qu'elle ne soit pas obstruée. La proposition
chimérique de s'assurer de l'approvisionnement, dont la Porte
n'a pas besoin, est un obstacle suscité à la signature immédiate
du traité. Il faut qu'on me donne une réponse négative
à peu près comme celle lors des clauses. Elle n'est pas de nature
à être soutenue, et elle ne le sera pas tant que l'on
') Piszący chciał może powiedzieć : że na niego pierwszego złożonoby
winę niedoszłych układów przymierza, które już było zawarte 1791, ale jeszcze
nie ratyfikowane i następnie zerwane pokojem 16 stycznia 1791 r. przez Moskwę
i Turcyą podpisanym.
Dziennik Bułhakowa. 311
aura besoin de différer, si l'on ose encore le faire longtemps.
J'en suis assuré par les Turcs, qui influent dans le conseil.»
Lucchesini będąc na wizycie u Essena, uskarżał sic, iż
całe niepowodzenie negocyacyi księcia Czartoryskiego w Dreźnie
przypisują tu Bischofswerderowi i dodał, że mając po obiedzie
jechać do zamku, nie omieszka wymówić tego królowi,
a mianowicie : że wszystko to jest równie nieprawdą, jak i przeszłoroczne
uskarżania się posła polskiego w Stambule Potockiego,
iż mu tam poseł pruski przeszkodził do zawarcia z Turcyą
handlowego traktatu. Wieczorem tegoż dnia nadesłał Lucchesini
Essenowi następującą karteczkę: »Le croiriez-vous ?
Ayant fait sentir au roi que je savais quelque chose de ce qui
a été répondu par écrit chez vous à ces messieurs d'ici, il a
nié tout net d'avoir aucune nouvelle de là sur cette matière;
que, selon lui, l'arrivée de Bischoffsverder décidera l'affaire ;
qu'il n'avait au reste aucune nouvelle du prince Adam sur
quelque mémoire à lui remis. Cela est bien gauche, pour ne
pas dire pis. Il a ajouté encore qu'on avait à dire ce qu'on
voulait, qu'il était très-bien informé, que l'Électeur avait une
grande envie d'accepter la couronne. «
Pomimo jednak tych wszystkich wykrętów, jest rzeczą
niewątpliwą, że w Dreźnie wręczono Czartoryskiemu notę, którą
tu utaić pragną. Na tutejszym Dworze już odstępują od myśli
oddania tronu saskiej infantce, a zamyślają o bracie elektora;
lecz projekt ten nie podoba się królowi pruskiemu, jak
o tern odzywał się Lucchesini.
SJJ2Ó Illt:'
Wieści krążące tu o drezdeńskiej negocyacyi codzień
inne ; usiłują tu wciąż oszukiwać w téj materyi. Marszałek Potocki
dziś jeszcze perorował: »Quc les nouvelles de Dresde
sont excellentes, et qu'avant la rentrée de la diète l'acceptation
de l'Électeur sera positive, qu'il n'attendait que la fin des
diétines, qui étant toutes ou favorables ou pas contraires à la
constitution et à la succession, ne pouvaient donner de pré-