DZIEŁA - Cyfrowa Biblioteka Narodowa Polona

36 Dokumenta. — I.
Soyez de mon avis aux diètes, aux diétines, ne me gâtez pas;
actuellement la diétine de Kiiovie en excitant Trypolski contre
Chański. Voilà la manière de rentrer chez moi. Je vous avertis
seulement d'avance, devant le prince, que je me souviens trop
bien de ce qu'il en a coûté à moi et à la Pologne, -pour avoir
(quoique par un motif vertueux peut-être) suivi l'idée qu'un
jeune roi ne devait pas se croire plus sage que de vieux oncles
qui l'ont élevé. Or, depuis cette terrible leçon, je vous
avertis que ni vous ni personne ne doivent se promettre de
gouverner à ma place, ni de disposer des grâces «. — Tu Branicki
znowu się wyparł Trypolskich, a począł mówić prawie
sejmowym stylem, źe w Polsce każdy ma swoje zdanie, ile
kiedy przy wolności i słuszności. Wtedy ja: »Nous nous connaissons
trop bien pour qu'un pareil langage soit de mise. Vous
savez que jamais roi ne désira plus sincèrement le bien de son
pays que moi. Ainsi, si vous êtes réellement patriote, vous
devez être avec moi et non pas contre moi«. Gdy on kontynuował
swoim stylem, jam powiedział: »Je suis roi, je vous
tends la main, je vous ouvre la porte, vous ne voulez pas y
entrer. Je n'ai donc plus lien à vous dire; je laisse le prince
votre oncle, votre père, juge de votre conduite «. I wyszedłem,
prawda źe zagrzany tak, źe po twarzy mojej poznali to Nassau
i drudzy. W kilka minut wróciłem się do tego pokoiku, gdziem
zawołał znowu księcia Potemkina i rzekłem jemu: »Je suis bien
aise que cette scène se soit passée devant vous. Dites vousmême
à présent si un roi pouvait faire plus et si Branicki a
répondu à mon avance ?«
Potcmkin: »Je crois que. Potocki et la Czartoryska l'ont
ensorcelé, qu'il en a peur, et qu'il n'ose pas faire et dire comme
il devrait. Excusez, pardonnez, Sire, mais je vous promets que
je le réduirai«. Ja: »Que je sois sûr de votre amitié, et je continuerai
à espérer en tous sens«. •— On tu wielkie znowu
oświadczenia ponowił. — Ja: » Quand pourrai-je donc remettre
cet écrit à l'Impératrice?» — On: »A six heures, quand nous
rentrerons chez elle«. Ja: >Puis-je espérer qu'elle restera ici
Korespondencya króla z Kicińskim. 37
jusqu'au 8, ou du moins jusqu'à demain?« — On: »Vous aurez
remarqué que dans la chaloupe, quand l'Impératrice allait à la
galère pour dîner avec vous, elle a dit: que le 8 était un jour
lui lui est particulièrement agréable puisque c'est votre fête et
la naissance du prince Alexandre; qu'elle a bu à votre santé
en grand verre au bruit du canon, et que tout cela était pour
Marquer qu'elle célèbre votre fête d'avance«. — Ja: »J'ai
remarqué que vous avez fort adroitement jeté un mot en ma
feveur «.
On: »Je ferai toujours comme ça, quand je pourrai; je
v
°us avertis, Sire, que Mamonof viendra ici pour vous remer-
Cl
er du cordon bleu, je vous conseille de le prier alors de faire
e
n sorte que l'Impératrice reste encore deux jours, et j'appuierai«.
"— Mamonof przyszedł, mnie podziękował a potem oddał list
którego tu kopia, oraz znaki orderu bardzo bogate 1 ) oraz medal
bardzo duży złoty, z wyobrażeniem po jednej stronie jéj,
Po drugiej statuy Piotra wielkiego, z komplementem, źe ponieważ
wyrażałeś Wasza Królewska Mość ciekawość poznania téj
s
tatui, dla tego to posyła imperatorowa WK. Mości. Po podziękowaniu
mojem, za tę wcale niespodziewaną dekoracyą,
z
astałem w drugim pokoju księcia Potemkina, mocno zagrzewającego
Mamonowa, który censetur słuchać go we wszystkiem,
a
by przełożył wiele uszkodzi Pani mnie, odjazdem swoim przed
dniem ósmym.
Potem pojechaliśmy z Potemkinem objeżdżać niby to
z
wizytami znaczniejszych magnatów po różnych galarach.
Wszędzie prawie skończyło się na biletach z napisem le comte
Poniatowski. O szóstej wróciliśmy się do imperatorowćj, która
sama jedna, zdaje mi się, źe przestrzeźona, czekała na to, żem
Ja jéj miał oddać pismo moją ręką pisane, N. 2. Przyjęła grzecznie
mówiąc, źe jak przeczyta, odpowie. — Potem odbyła się
ta ceremonia chrztu, która prawie za zabawkę uszła i dykte-
') Świętego Andrzeja.