DZIEŁA - Cyfrowa Biblioteka Narodowa Polona
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68 Dokumenta. — II.<br />
dation entamée 1 ). Mon ambassadeur a eu ordre de prévenir<br />
Votre Majesté de ma résolution à cet égard. En lui en faisant<br />
part encore directement, je ne puis que lui témoigner la satisfaction<br />
avec laquelle j'ai remarqué derechef en cette occasion<br />
importante et pendant tout le cours de la présente assemblée<br />
nationale, les sentimens d'amitié que Votre Majesté me conserve<br />
et sa persévérance dans le principe que les intérêts de<br />
la Pologne doivent être inséparables de ceux de l'Empire de<br />
Russie. Une vérité comme celle-ci et à laquelle mes dispositions<br />
invariables envers la République serviront toujours d'appui<br />
efficace, mérite, ce me semble, d'être accréditée de plus en<br />
plus sous les auspices de Votre Majesté, dans l'esprit de la<br />
Nation. Persuadée que celle-ci se laissera constamment guider<br />
par les lumières supérieures de Votre Majesté, et par la confiance<br />
et le profond dévouement qu'elle a su se concilier, du<br />
: ) W wspomnianych powyżej Zapiskach Chrapotoickicgo znajdujemy kilka<br />
interesujących szczegółów do téj sprawy :<br />
17 maja (v. s.), 1788: »Połuczeno pismo kniazia Potemkina, cztob po-<br />
spieszit' konwencieju z Polakami, poka pruskoj Dwór nie prowiedał«.<br />
24 września, 1788: >Dan reskript grafu Stackelbergu, cztob udierżywał<br />
naszu partiu w Polsze, nie smotria na protiwoborstwie Dwora pruskawo, ibc-<br />
zdieś ni o czem jeszcze predłagajemo nie byio; no, budie dojdiet do izjasnienia,<br />
to staniem otwieczat', czto nie priliczno Dworu ich mieszatsia w diela graidan-<br />
skia i politiczeskia drugich niezawisimych dierżaw«.<br />
30 września: «Aprobowany pisma Vicekanclera (Ostermanna) w Warsza<br />
wie i Berlinie k ministram naszim w toj sile, daby, dla uspokojenia pruskawo<br />
Dwora, otkryt osnowanie sojuża z Polszeju nami predpołagajemawo et que si<br />
cela fait ombrage, on est près de s'en désister*.<br />
13 października: »Prijechawszy iz Warszawy kurier priwiez od grafa<br />
Stackelberga depeszi s deklaracieju Korola pruskawo, czto on nie dopusiit<br />
Polszu zakluczit' s nami sojuz, predłagaja takowoj-źe s soboju i obnadeżywaja,<br />
czto Porta nie wpadet w polskia granicy. Siej postupok pokazalsia strannym,<br />
tiem boleje czto nie doźdaliś otwieta naszewo. Ja skaza): c'est un dessein pré<br />
médité. Konieczno ; nosił na niz, gdie skazali (imperatorowa): on n'aurait pas<br />
fait cela sans deux guerres, où nous sommes engagés! Po pereskazie, prawda».<br />
Cztcnija obs~.cz. mosk. ist., 1862, t. II, s. 62, 112, 115, 120.<br />
Korespondencya króla z Katarzyną II. 59<br />
moins auprès de tous les bons patriotes en Pologne, je m'attends<br />
à des succès entièrement décisifs dont ces effets seront<br />
s Uivis, et que de cette façon le système salutaire qui a subside<br />
jusqu'à présent entre mon Empire et la Pologne, sera plus<br />
°l Ue jamais raffermi. Je suis, etc. etc.<br />
KRÓL DO KATARZYNY IL<br />
(Donosi o trudnościach jakich doznaje na sejmie, który Dwór<br />
Madame ma Soeur.<br />
berliński podburza.)<br />
Varsovie, le 22 novembre 17S8.<br />
J'ai l'honneur de répondre à la lettre de Votre Majesté<br />
'ïïipériale du 28 octobre, qui m'a été remise le 17 du coura<br />
nt mois.<br />
Toute ma conduite personnelle, celle des personnes qui<br />
^e sont le plus attachées et mes discours publics font preuve<br />
^Ue je n'ai rien omis pour justifier l'opinion que Votre Majesté<br />
veut bien avoir de mes sentimens patriotiques, et par là<br />
même de ceux que je professe pour Votre Majesté, et que<br />
J a ' tâché de réaliser par tous les moyens qui ont été en<br />
mon pouvoir.<br />
Elle en est sûrement instruite, ainsi que des circonstances<br />
qui y apportent journellement des obstacles plus forts. Us<br />
deviennent si considérables et si critiques, on s'applique avec<br />
ta nt de soin à fasciner les esprits de mes compatriotes, que<br />
toutes mes représentations restent inutiles. L'esprit de parti et<br />
1 animosité augmentent tellement depuis que l'opposition s'est<br />
ac quise la pluralité, qu'après avoir exercé déjà des actes de<br />
Persécution contre deux des mes meilleurs serviteurs, elle a<br />
Menacé déjà aussi de s'attaquer même à ceux de mes ministres,<br />
Qu'ils supposent avoir participé à mon désir de joindre la Polo-